Cette rencontre s'est réalisée il y a quelques années.
Je discutais depuis quelques semaines avec Stéphane, un homme de 40 ans qui vivait en couple avec Marc un plus âgé que lui. Ils vivaient tous les deux dans un appartement d'une petite ville au sud-ouest de Rennes.
Stéphane et moi avions échangé plusieurs fois au sujet de différents fantasmes. Nous nous étions aussi assurés que nos testes étaient bons.
Il a très rapidement évoqué le fait qu'il avait un gros appétit sexuel. Quand il était excité, il débandait à peine et pouvait jouir plusieurs fois. Il aimait tellement baiser que son conjoint avait accepté l'idée que Stéphane puisse trouver d'autres partenaires. Je dois avouer que la simple pensée de devoir subir les assauts de Stéphane "le priape" m'excitait au plus haut point. Mon attirance pour lui était encore renforcée par la taille de son engin. Stéphane m'avait en effet adressé des photos de son mandrin qui, je dois l'avouer, ne me laissaient absolument pas indifférent. Il avait un membre épais, long, aux veines bien apparentes. Lorsque que je le questionnais sur ses mensurations, Stéphane confirma ce que j'avais vu sur les photos : ce n'était pas une queue qu'il avait, mais une véritable matraque de 21*6. Inutile de dire que je n'avais jamais pompé une aussi grosse queue. Inutile de dire aussi que je ressentais à la fois de l'excitation et de la crainte d'imaginer Stéphane me fourrer son pieu dans mon fondement. Inutile de dire enfin qu'il était impossible pour moi de ne pas le rencontrer.
Je me dois aussi de préciser un dernier point qui fut évoqué dans nos échanges. Stéphane savait que j'étais un passif chaud, que j'adorais sucer et recevoir du sperme dans la bouche et sur le visage. Il me précisa que, dès son arrivée chez lui, je devrais me déshabiller et arriver nu dans son salon où il m'attendrait sur son canapé : "à partir du moment où tu rentreras chez moi, tu seras ma pute, ma chienne, et je te baiserai comme le mérite une belle salope comme toi".
Un jeudi matin d'octobre, j'arrive donc chez Stéphane excité comme jamais, mais avec toujours une légère pointe d'appréhension. La porte était ouverte. Stéphane se montre au bout du couloir et s'adresse à moi : "Salut ma salope ! Tu ne m'avais pas dit que tu étais une chienne en costume cravate. Ce sont les chiennes comme toi que je préfère baiser. Enlève tes fringues... sauf ta cravate!" me dit-il avec autorité et une forme de lubricité dans ses yeux.
Je me déshabille et entre dans le salon. Stéphane était allongé sur son canapé, le peignoir ouvert, et sa main astiquant son magnifique engin. Je m'approche de Stéphane qui en profite pour s'asseoir sur le canapé. Je m'agenouille alors devant lui pour soupeser l'objet de mes rêves. Sa queue est énorme, elle est si chaude, elle palpite.
"Fais-toi plaisir", me dit-il. "Touche-la, tète la, caresse-la, branle la!". Je ne sais plus où donner de la bouche tellement je suis excité. Je la lèche sur toute la longueur, je la caresse, ma langue descend sur ses grosses couilles bien lourdes. "Tu ne t'attendais pas à cela ma salope, hein ? Palpe bien mes burnes en me pompant le gland. Tu sens comme elles sont pleines ? Tu vas te régaler ma pute". Je suis à la fête. J'essaie tant bien que mal d'accueillir son gland dans ma bouche. Mais il est si gros que cela m'est difficile. "Tu es une bonne pompeuse. Tu m'excites espèce de chienne. Caresse-moi la queue maintenant et viens me lécher mon trou". Voyant ma réticence, Stéphane continue : "Dépêche-toi. Il est tout propre. Je veux que tu m'enfonces ta langue dedans. Montre-moi comment une grosse chienne comme toi lèche bien". Je m'applique, je lèche, je salive, je durcis ma langue pour entrer dans son petit trou qui s'ouvre sous les caresses. Je sens sa queue qui palpite, tellement Stéphane est excité.
"Mets-toi à 4 pattes et tu vas venir avec moi". Stéphane avance et me prend en laisse avec ma cravate. "Tu m'as tellement excité que je vais te baiser et te faire gémir comme une pute". Il tire sur la cravate et me conduis dans sa chambre. Il me fait monter sur le lit. "Allonge-toi sur le dos et mets ta tête au bord du lit". Dans cette position, la tête à l'envers, je vois son énorme sexe et ses boules au-dessus de mon visage. Dans un premier temps, il me pose ses couilles sur mon nez et ma bouche. Il les frotte en me demandant de sortir ma langue pour apprécier l'offrande. Il recule ensuite afin de placer son gland à l'entrée de ma bouche que j'ouvre au maximum afin de sucer son gland. Il se retire soudain en me donnant quelques coups de sa queue sur mon visage. La situation m'excite. Ma queue est dure, alors même qu'il n'a pas daigné s'y intéresser.
Tout d'un coup, j'entends la porte d'entrée qui s'ouvre et qui est refermée bruyamment. Une voix inconnue s'élève : "Stéphane, tu es là ?". Stéphane, qui, entre temps, m'a fait changer de position afin d'avoir ma tête en haut du lit avec des oreillers pour me maintenir la nuque, lui répond : "Viens Marc ! Je suis dans la chambre avec cette chienne de Nicolas dont je t'ai parlée. Je lui fais goûter la Bête". Marc entre et voit Stéphane agenouillé devant moi avec sa queue qui force l'entrée de ma bouche. "Tu te joins à nous ?", lui dit Stéphane. Marc semble hésitant et argue d'un travail à terminer pour nous laisser tranquille. Stéphane insiste : "Allez ! Reste un peu ! Laisse-le te pomper ! Il suce vraiment bien et, la tienne, il pourra l'avaler !" Marc se déshabille rapidement et nous rejoint. Stéphane me place en levrette de telle sorte qu'il se place derrière moi et que je puisse me pencher vers la queue de son ami. Je me mets tout de suite à l'ouvrage pour faire grossir la queue aux mensurations plus modestes que celle de Stéphane. La queue de Marc durcit. Je lui tiens ses boules dans une de mes mains. Marc a l'air d'apprécier. Dans cette position instable, mais ô combien excitante, Stéphane s'occupe de moi en glissant un doigt, puis deux doigts qui ont été préalablement enduits de gel. "Regarde Marc ! Mes doigts entrent facilement. Je vais lui en foutre un troisième à cette pétasse". Je sens les doigts de Stéphane qui me fouillent et qui ne sont que le prélude au regard de ce qui m'attend. Stéphane retire ses doigts et me pose sa lourde queue sur les fesses. Il place sa matraque à l'entrée de mon cul et commence à pousser très doucement. De mon côté, je fais en sorte de l'aider, mais sa queue est vraiment énorme. Il rajoute du gel sur mon trou et je sens le gland qui entre, qui avance très lentement, mais inexorablement. Le gland vient enfin de trouver son chemin. Sous le choc, je stoppe ma fellation et pousse un grognement pour manifester la douleur ressentie. Stéphane me rassure :"Je vais te laisser t'habituer à son diamètre. Ton trou va s'y faire. Et, si tu es venu ici ma salope, c'est bien pour que je t'encule à fond". Au bout de quelques minutes, la douleur s'estompe. Je me remets à pomper la queue de Marc qui est beaucoup moins expressif que Stéphane. Je sens finalement que Stéphane a rentré son engin, je sens le haut de ses cuisses contre mes fesses et ses grosses couilles collées aux miennes. Je suis aux anges : l'anus rempli par un braquemart et la bouche qui se régale d'une queue commençant à perler. Stéphane décide de passer aux choses sérieuses. Il s'engage dans de longs va-et-vient qui me font sentir à chaque instant l'importance de la longueur et de la circonférence de la grosse bite qui est en train de me saillir. Marc a l'air de bien apprécier le mouvement. Je le sens d'un seul coup qui se contracte et qui me lâche en pleine bouche trois giclées d'un sperme épais et abondant. Me tenant la tête afin d'éviter que je cherche à esquiver sa jouissance, Marc se laisse aller et me dit :"Avale mon jus. Prends tout salope". Je ne peux m'empêcher cependant de laisser couler une partie de son jus qui coule sur le lit. "Nettoie le lit. Lèche tout". Il se retire finalement de la chambre en me remerciant de l'avoir bien pompé.
Pendant ce temps-là, Stéphane a continué de me ramoner. Au début, doucement. Puis, de plus en plus fort. J'en prends plein le cul. J'entends ses couilles claquer à chaque fois que son chibre me remplit si divinement. Stéphane accélère le mouvement, il souffle. "Je suis en train de t'élargir ton trou de salope. Tu n'es qu'une traînée. Dis-moi que tu aimes cela. Vas-y, dis-le!". "Je suis ta pute. J'aime comment tu me bourres. Je n'ai jamais été défoncé par une queue pareille. Encule-moi encore Stéphane!". Je n'avais jamais vu quelqu'un d'aussi endurant. Cela faisait au-moins 15 minutes qu'il me baisait à fond. Je sentis à son souffle que Stéphane n'en pouvai ...
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