Son gland progressait dans mon fondement, j’accompagnais cette avancée par des poussées sur ce suppositoire bien agréable, très très agréable.

Mes muscles se relâchent il arrivait en butée et cognait ses boules contre les miennes, tout nouveau cela.

Progressivement, il accéléra le rythme de ce va-et-vient et je couinais d’abord en silence et puis bruyamment.

Je me cambrais comme une femelle qui s’offre et ses mains qui m’agrippaient les hanches pour mécaniser le mouvement.

Il bandait de plus en plus dure, je devais certainement l’exciter à fond (le cas de le dire).

Il lâcha une main et me tritura un téton, la température de mon corps s’élevait, je voulais presque m’échapper de son emprise.

Et après sa deuxième main m’a masturbé ma queue qui malgré tout ces traitements était au garde-à-vous.


Je me tortillais de plaisir et je ressentais une grosse bouffée de chaleur à l’endroit de mon anus en interne qui progressait sensation jamais connue auparavant qui s’amplifiait.

Je fus envahi de spasmes extrêmement fort incontrôlable avec des cris comparables à ceux des femmes quand elles jouissent petite baisse d’intensité et cet orgasme revenait au galop.

J’avais éjaculé de ma queue, mais d’un liquide transparent et mon trou était inondé.

Je me couchais sur le côté et ma partenaire continuait à me besogner tout tranquillement et me remis une troisième couche encore plus forte…….

J’ai demandé une pause et pris la direction la douche jambes branlantes pour se remettre en état.

Nous avons bavardé un peu et le sommeil me rattrapa. Mon partenaire blotti contre moi.

Au réveil le matin, je découvrais ce corps nu allongé sur le lit offrant toute sa beauté.

Allongé sur le dos, tel un voyeur, je le regardais avec admiration et avec envie sa queue, je me mis à côté pendant un bout de temps.

Mon sexe commençait à avoir des velléités matinales, ma main n ...

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