Jules se sentait énervé ce jour-là. La voiture, les routes, tout le monde l'agaçait. Il avait l'impression de ne plus rien contrôler. Cela faisait des kilomètres que son sexe dur dans son pantalon occupait tout son esprit. Son envie de jouir était si forte!
Il avait besoin de se libérer de ce poids qui pesait sur sa poitrine. Alors, sans attendre, il se gara sur le bord de la route de campagne, et rentra dans le bois qui la bordait. Il s'était déjà masturbé quelques fois dans la nature, mais jamais il n'avait ressenti autant d'excitation. En quelques secondes, on pantalon était tombé sur ses genoux, sa queue raide dressée, et il commença à se masturber comme un fou furieux. Il ressentait chaque caresse sur son sexe. Pour augmenter le plaisir, il s'enfonça un, puis deux doigts dans son anus. Ses mouvements rapides l'amenaient au bord de l'orgasme.
Soudain, il se rendit compte qu'il n'était pas seul. Marcel et Robert, deux ramasseurs de champignons d'âge mûrs, le panier sous le bras, l'avaient surpris. Jules, embarrassé, restait là, figé, incapable de bouger.
Marcel et Robert étaient des hommes costauds et impressionnants, mais ils ne paraissaient pas agressifs, au contraire. Jules était sûr qu'ils ne feraient pas mal à une mouche. Les bosses qui déformaient leurs pantalons étaient explicites sur leurs intentions. Ils s'avançaient lentement vers lui, une chose évidente en tête : ils allaient pratiquer des actes sexuels avec lui, comme s'ils étaient des rois, le soumettant à leurs volontés.
Ils firent en sorte de se mettre tous les trois à l'aise, et Jules se retrouva bientôt à grimacer de plaisir sous leurs caresses. Les deux hommes agissaient avec fermeté, exigeant de lui qu'il se laisse complètement aller. La pluie commença à tomber, entamant un rideau de pluie sur les feuilles des arbres, ajoutant un peu plus de tension à l'atmosphère. Des gouttes fraîches environnèrent les trois corps, commençant le ballet des gestes mouillés. Les doigts glissèrent le long de son corps excité, stimulant ses muscles tendus à chaque mouvement, saisissant son membre d'une manière qui le poussait presque à l'épuisement.
Jules se retrouva bientôt à perdre la notion du temps. Il gémissait, emporté par des sensations extraordinaires. Il sentait les lèvres chaudes de Marcel se refermer autour de sa verge, tandis que Robert allait et venait dans ses chairs intérieures. Leurs mains agiles s'activaient pour lui donner un maximum de plaisir.
Jules continuait d'o ...

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