Ça faisait quelques semaines qu’on discutait par messagerie interposée et se rencontrer était prévu mais pas facile à organiser au regard de nos emplois du temps respectifs. On avait, tous les deux, envie de sexe. Pas de chichi ni de blah blah, on se voit, on s’éclate et on rentre.
Il était résolument décidé à « s’occuper de ma bouche et de mes fesses » comme il me l’avait écrit, d’autant qu’entre lui et sa femme, ça n’était plus vraiment ça, et qu’il avait une « envie furieuse d’enfiler sa queue dans des orifices ».
Un créneau se libère, sa femme s’absentant quelques jours. Il me demande si je veux passer chez lui. C’est dans deux jours. J’accepte. À 19h, j’arrive devant le joli pavillon cossu. Je sonne.
P. m’ouvre en costard. Il me dit que c’était juste, il est rentré du boulot il y a moins de 3mn et il n’a même pas eu le temps de se changer. Il ferme la porte d’entrée derrière moi et on ne dépasse même pas le petit vestibule qu’il me met les deux mains sur les épaules et appuie légèrement pour me faire comprendre de me mettre à genoux. Ça ne fait donc pas une minute que je suis là que je suis déjà à genoux en train de lui tâter le paquet dans son pantalon de costume.
Je le sens très excité et je descends doucement sa braguette. En écartant doucement le pantalon, je vois un joli paquet bien gonflé dans un boxer blanc bien moulant. Je descends un peu le boxer et une magnifique queue bien lourde apparaît. Ce n’est encore qu’une demie molle mais elle me parait déjà bien épaisse. Je la prends dans ma bouche.
Je sens, à ce moment-là, un frisson de de plaisir lui parcourir le corps. Je sens bien que c’est une sensation qui lui avait manqué. Je sens sa queue grossir encore et se durcir. Le pantalon gène un peu. Je défais sa ceinture, enlève le bouton et le pantalon glisse tout seul jusque sur ses chevilles. J’en profite, avec sa queue toujours dans ma bouche, pour faire glisser le boxer vers le bas et découvrir deux belles couilles bien pendantes. Je les caresse d’une main pendant que je continue de le sucer.
Lui, se penche sur moi et je sens sa main descendre dans mon dos pour finalement se glisser dans mon jean, puis mon boxer, et je sens son doigt qui s’amuse à glisser entre mes fesses. Je pousse un tout petit gémissement au moment où son doigt se pose sur ma rondelle et essaie légèrement d’entrer.
Il me dit « J’en peux plus, viens », et il me guide jusque dans sa chambre où il commence à me déshabiller rapidement. Lui, il ne lui reste que sa chemise et ses chaussettes, mais c’est à ce moment, avec un peu de recul que je vois sa queue magnifique mais assez massive pointer sous la chemise. Sous la rapidité de la situation je n’avais pas réalisé qu’il était si bien monté. J’en viens à me demander si ça va bien se passer.
Je n’ai pas trop le temps de réfléchir puisque je le vois déjà sortir des capotes et du gel d’une sacoche qui trainait là et en moins de temps qu’il ne le faut pour l’écrire, il a déjà enfilé la capote et mis un peu de gel.
Il me pousse sur le lit. Je suis sur le dos. Il me relève les jambes et décide de me glisser sa langue entre les fesses. Ça ne dure pas très longtemps, malheureusement, mais il me glisse ensuite un doigt qu’il a préalablement enduit de gel, puis un deuxième. La situation est tellement excitante que je m’ouvre assez facilement à ses doigts. Après quelques secondes, il me dit : « Oh putain, faut que je te baise, mais je sens que je ne vais pas tenir longtemps ». Je lui réponds, « Ce n’est pas grave, vas-y ».
Toujours sur le dos, il glisse un coussin sous mes fesses pour me relever un peu le bassin. D’un bras, il tient une de mes jambes en l’air et légèrement écartée. De sa main libre, il attrape sa queue et la présente sur ma rondelle.
Il sait qu’il est bien monté et il pousse légèrement sans forcer. De mon côté, je me détends et je sens ...

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