Attablés à une terrasse de bistro avec mon épouse nous bavardons de choses et d autres et surtout regardons passer la foule qui en ce printemps est habillée légère et de couleurs vives.
Se présente une créature splendide: pas très grande, des cheveux roux ébouriffés ,un corsage à damner un saint ,des jambes élancées ,bronzées rehaussées par des talons aiguilles . Et surtout un short ,en réalité un bout de tissu violet moulant un popotin éblouissant ,tellement coquin qu'il découvre le "sourire de Vénus"
Elle a selon une expression relativement vulgaire mais imagée. " Un cul qui cause".
Je regarde ce qui me vaut une petite tape de mon épouse;
- Tu oublies nos accords !
Ceux-ci sont simples. Quand nous sommes ensemble j'ai la "permission" de regarder la personne de mon choix mais en aucun cas de la dévisager. Et cela quel que soit le sexe.
Mon épouse ne s'applique pas cette règle. Nous sommes un couple assez libre et nous ne détestons pas associer un tiers dans nos débats amoureux. C'est mon épouse qui est chargée du "recrutement". Elle a donc l'autorisation de regarder, dévisager tout inconnu. En réalité "inconnue" mon épouse ne rechignant pas le commerce d'une femme.
En revanche si je veux faire un extra avec un homme, je peux l'amener à la maison. Mon épouse sans participer toujours ne rechignera pas à être témoin. Car aller voir chez le voisin si l'herbe est plus verte se pratique ouvertement.
Bref cette rouquine a quand m ...

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