J'ai rendu visite à une connaissance rencontrée quelques temps auparavant, une dame assez âgée (comme moi), au physique encore agréable, un peu rondouillarde mais bien appétissante ce qui n'est pas pour me déplaire. Nous devisions de choses et d'autres assis sur le canapé, un peu serrés l'un contre l'autre, j'avais passé mon bras par-dessus son épaule et elle avait posé sa main sur mon genou. Au fil de la conversation, imperceptiblement sa main commença à bouger, puis ses mouvements se transformèrent en petites caresses qui, tout en continuant la conversation l'air de rien, remontèrent lentement le long de ma cuisse, me transmettant des sensations de bien être très concrètes. Arrivant au niveau de mon entre-jambes ses mouvements se firent plus insistants, et elle ne pouvait que constater l'état du bien être dans lequel elle m'avait mis. Sans me demander la permission, elle descendit lentement la fermeture éclair de mon pantalon, ce qui libéra immédiatement mon membre qui s'y trouvait alors trop à l'étroit, puis je la vis soudainement se pencher et happer gloutonnement ma queue dans sa bouche avide, mais ses lèvres s'avérèrent œuvrer avec beaucoup de douceur et de délicatesse. Je subissais désormais ses mouvements buccaux qui contraignirent ma queue à enfler et à devenir plus roide, et ses mouvements de langue, très agiles et très précisément appliqués, n'étaient pas faits pour me calmer, surtout que je sentis simultanément une main caresser mes couilles avec la plus grande dextérité. Je ne savais plus quelle position prendre, d'instinct j'écartais les cuisses et avançais mon bassin pour avoir plus d'aisance et mieux apprécier ces doux attouchements, c'est qu'alors que je sentis une main en profiter pour s'aventurer plus avant et un doigt venir titiller l'entrée de mon trou mignon. J'étais dans tous mes états et aspirais désespérément à ce que ce doigt aille plus avant, mais la volonté de ma partenaire n'était pas de me satisfaire si vite, mais de me garder plus longuement dans un état d'excitation. Dans un souffle je demandais innocemment "tu veux que je te baise ?". En bonne fille bien éduquée elle ne pouvait pas parler la bouche pleine, mais réussit à me faire comprendre son assentiment, tout en poursuivant son action déstabilisatrice. A partir de ce moment, nous savions, aussi bien elle que moi-même, qu'il nous fallait gérer la situation de manière à ce que ne soit pas avalé la substance désormais promue à une autre destination. L'excitation qu'elle me produisait me faisais agiter en tout sens, et sentant que le moment crucial n'était pas loin de se déclencher, elle abandonna sa divine activité, pour changer sa position afin d'obtenir la saillie promise et probablement vivement attendue. Elle portait souvent des jupes ultra-courtes, du style "ras du cul" qui n'étaient plus de son âge, mais qui m'émoustillaient tant à chaque fois que je la croisais. Préméditation ou non, cette fois-ci elle ne po ...

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