Ce matin du 30 décembre 2020, j'étais affairé à traiter quelques clichés réalisés récemment, je suis photographe de métier et un couple de lesbiennes m'avait missionné fin novembre pour produire un book sur leur couple, mais aussi sur chacune d'entre-elles. Moment un peu chaud qui commença par des prises de vues individuelles en petites lingeries. Puis est venu le moment de réaliser les clichés du couple, les deux coquines ont commencé doucement par des caresses, puis, petit à petit, les strings ont un peu "glissé" pour mieux encore dévoiler leurs "petits abricots", les langues disparaitront peu à peu dedans....j'ai bien faillit jeter l'appareil photo et leur sauter dessus, ou dedans... chose à ne pas faire car un photographe est facilement "blacklisté par un tel manque de sérieux...confortablement installé à mon ordinateur,

je suis occupé à traiter et convertir chaque cliché dans un format optimal quand la sonnette su portillon retentit, je me suis donc précipité à l'extérieur pour ne pas faire attendre mon visiteur, j'ouvre maintenant le portillon métallique et je découvre une grande surprise....la petite Marie, (j'ai choisi ce nom d'emprunt afin de respecter l'anonymat de cette très belle infirmière, La petite Marie s'est occupée de moi pendant environ 6 mois en soins intensifs, réanimation et neurologie dans un centre hospitalier suite à une série de 7 AVC Ischémiques subits entre novembre 2019 et avril 2020, (j'ai bien rédigé 7 AVC ) durant cette hospitalisation, une certaine amitié est née entre quelques infirmières et moi, je suis même tombé amoureux de trois d'entre elles. Une formidable équipe qui m'a désigné comme gentil, attachant et très respectueux. Durant cette hospitalisation et lors des deux premières Thrombectomie réalsées pour tenter de déboucher cette carotide bouchée par un caillot de sang, je suis parti à chaque fois dans l'autre monde puis remmené à la vie de justesse une équipe qui a rempli sa mission..."il faut sauver le soldat Michel.

La petite Marie a profité d'un passage pas loin de chez moi pour prendre des nouvelles de ma santé, je l'invite donc a rentrer et s'assoir sur le canapé afin de partager un ou deux Monbazillac, ce fameux vin liquoreux français produit au sud du vignoble de Bergerac. c'est pratiquement le seul alcool que j'apprécie. nous trinquons donc à notre santé et à ce petit miracle d'être encore en vie et très épargné aussi, car seule la main gauche a gardé des séquelles. assis à coté de mon infirmière préférée, mon coeur bat la chamade, mais plus encore quand je visualise l'écran de mon ordinateur encore allumé avec cette photos des deux lesbiennes qui se "broutent" le minou avec insistance, leurs langues bien enfouies dans leurs chattes, Marie suit mon regard et visualise aussi l'écran de 24 pouces, se lève et se rapproche de l'écran pour mieux voir, le nez collé à l'écran, elle a pensé que c'était une vidéo pornographique que j'aurais mis sur pause, je lui explique que non, que c'est un travail qu'il me faut finir pour un book à livrer à des lesbiennes. elle m'explique qu'elle est bisexuelle, qu'elle baise souvent avec d'autres filles et me demande si je peux lui offrir ces photos, je lui réponds que c'est impossible car un photographe n'a pas le droit sans le consentement des personnes se trouvant sur les photos, elle n'est pas fâchée et me raconte quelques histoires vécues avec d'autres filles, cela m'excite beaucoup et je me rapproche d'elle, place sa main sur mon jeans au dessus de mon sexe en érection parfaite, elle le caresse à travers le jeans et me dit "mais c'est bien dur.....elle tente maintenant de défaire ma braguette et l'invite plutôt a aller dans la chambre, après une petite douche. Sous la douche...je découvre une jeune femme parfaite...un corps de rêve, totalement épilé ou rasé avec des lèvres proéminentes comme je les aime, bien ouvertes, elle aussi me regarde avec étonnement, me touche et commence à me branler en me disant" dans ta chambre à l'hôpital, j'ai pu découvrir tes "raideurs" du matin, qu'elle avait professionnellement recouvertes d'une serviette, "je peux la prendre dans mes mains et même dans ma bouche me dit-elle en gobant ma queue... Elle insiste autour du gland avec sa langue... le pince avec ses dents, et tire comme si elle voulait l'arracher, ca fait un peu mal mais beaucoup de bien .


La suite se déroule au lit avec nos corps encore mouillés, je place ma tête entre ses jambes et lui lèche le petit abricot, j'insiste sur son clito qui commence à grandir, je m'amuse avec ses lèvres qui sont incroyablement grandes, je les tire, je les prends dans la bouche puis je la pénètre le plus loin possible avec ma ...

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