Voilà des années que je fais de l'équitation en étant très entouré fémininement. J'ai subi des dragues lourdes et maintenant, avec l'âge, ce ne sont plus seulement les apprenties qui me pèsent.
Heureusement, cette année, c'est un moniteur qui mène la danse et je le trouve très à mon goût. Un concours de circonstances fait que nous nous retrouvons seuls tous les deux pour une séance de quelques heures.
Gérald (le moniteur) me propose de quitter le centre équestre pour effectuer une balade dans la nature. J'acquiesce et je le suis en profitant bien de la vue sur son fessier que je trouve magnifique. Nous effectuons un galop au bout duquel nous descendons de nos montures pour qu'elles se reposent. Nous marchons côte à côte et nous échangeons bien plus de mots que depuis le début de l'année. Gérald me paraît très sensible et notre discussion me rend de plus en plus attiré par cet homme à la silhouette si élégante. Son visage est une oeuvre d'art : des yeux à la dissymétrie parfaite, ni trop grands ni trop petit. Ils sont bleus autant que ses cheveux ondulés sont châtain clair. Son nez est croquant tout comme sa petite bouche aux lèvres si bien dessinées. Son menton et ses pommettes me donne envie de les croquer. Son cou est relativement fin. Son torse est équilibré avec sa carrure : ce n'est pas un haut de nageur ni de bodybuildé. Ce qui est le plus sensuel chez lui, ce sont ses jambes magnifiquement sculptées dont les lignes sont mises en valeur par ce pantalon d'équitation si moulant ! Et comme je le soulignais précédemment il y a ce cul ! Un cul qui ferait bander un crocodile !
La conversation vient sur la présence féminine aux cours d'équitation et je comprends vite que ça le gave grave. C'est le moment de remonter en selle et il me propose un parcours "western". Il ne fait pas trop froid et je n'ai pas froid aux yeux ; j'acquiesce. Nous avançons au galop un moment avant d'atteindre cette rivière qui n'est pas très large et qu'il décide de franchir. Je le suis mais mon cheval en avait décidé autrement et je me retrouve la tête la première dans l'eau. Je suis trempé et le vent me gèle le sang.
Gérald s'empresse de me déshabiller (même le slip), m'entoure de la couverture sèche située sous ma selle. Il réalise un ballot avec mes vêtements, m'aide à monter sur sa selle et s'installe derrière moi pour diriger sa monture.
Il est collé dans mon dos et je sens son souffle. Il m'entoure pour mieux me réchauffer. Si je n'étais transi de froid, je serais aux anges. Nous arrivons dans une bergerie. Il m'installe devant la cheminée dans laquelle il allume un feu qui va vite échauffer l'ambiance. Il dispose mes vêtements de façons à ce qu'ils sèchent et il se replace dans mon dos pour me frotter afin de me réchauffer. Il se tient collé à moi et régulièrement, sa tête se penche devant moi pour me regarder et s'enquérir de mon état. Petit à petit, je reprends des couleurs et il quitte mon dos pour se positionner à mon côté.
Ses mains se portent désormais sur mes pieds qui sont maintenant passés du bleu au blanc. Il les réchauffe et remonte désormais sur mes mollets puis sur mes cuisses. La chaleur me gagne, pas seulement celle du feu ni de ses massages qui deviennent de plus en plus câlins.
Avant que ses mains ne remontent plus haut que le haut de mes cuisses, j'avance mon visage vers le sien et nos yeux entrent en communion, puis nos lèvres suivies de nos langues. Il embrasse aussi divinement qu'il est beau ! Ses mains ont dépassé le haut de mes cuisses et il réchauffe ce qui était déjà chaud bouillant de l'intérieur : ma verge. J'entre en érection et si ses mains peuvent frôler ma peau sur toute sa surface, il me faut le déshabiller à mon tour pour pouvoir lui rendre la pareille.
J'ai encore un peu froid et ...

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