Bon ! Me voilà de retour de Toulon, où ma patronne et moi devions passer deux jours et deux nuits.
Nous sommes arrivés lundi en milieu d’après-midi à l’hôtel. Celui-ci se situe en bordure du front de mer, près de l’entrée de l’arsenal. Un petit hôtel très sympathique.
Nous avons pris chacun possession de nos chambres et nous nous sommes donné rendez-vous une demi-heure plus tard dans le hall.
La chambre avait une décoration maritime agréable, dans les couleurs blanc et bleu, avec des accessoires décoratifs issus du monde nautique. Après un rafraîchissement dans la salle d’eau, j’ai profité de ce moment pour me changer et adopter une tenue plus sympathique et décontractée.
Il faut que je vous précise que je suis un homme qui porte régulièrement des tenues féminines tout en gardant un côté masculin. Je mixe les deux garde-robes, masculine et féminine.
J’ai gardé mon body lingerie bleu nuit en dentelle et microfibre, passé mon chemisier rayé bleu et blanc, qui s’accorde du coup très bien avec l’ambiance de la chambre. Ensuite, j’ai mis ma jupe en jean bleu que j’avais finalement prise, ainsi qu’un collant élastivoile satiné avec mes escarpins noirs.
Je suis donc descendu dans le hall pour retrouver ma patronne. Celle-ci s’est fait un peu attendre, donc je me suis installé dans l’un des fauteuils mis à disposition des clients. Je n’ai pas manqué d’attirer quelques regards et sourires. Après une petite demi-heure d’attente, elle est enfin descendue et m’a rejoint à l’accueil.
— Je vois que tu t’es mis à l’aise. Tu as bien fait et ça te va très bien.
Je la remercie pour son compliment.
Nous sommes partis explorer les alentours de l’hôtel afin de repérer un restaurant pour la soirée.
On s’est dirigés vers le front de mer et avons déambulé sur les quais. Après avoir localisé deux ou trois restaurants qui nous semblaient bien, nous avons décidé de flâner dans le centre-ville et de faire quelques magasins.
Au détour d’une des ruelles, nous sommes passés devant un magasin de robes de mariée. Sans que je m’y attende, Charlotte, ma patronne, entre à l’intérieur. Ne me voyant pas rester seul à l’extérieur sur le trottoir, je décide de la suivre à l’intérieur. Je ne peux que me demander pourquoi elle est entrée.
Les vendeuses, me voyant entrer et rejoindre Charlotte, ne peuvent retenir un petit sourire. Et la question rituelle ne tarde pas à arriver.
— Pouvons-nous vous aider ? Souhaitez-vous essayer une robe ? C’est pour madame ? Pour monsieur ? Ou pour vous deux ?
Ma patronne me regarde avec un petit sourire et me chuchote :
— Ça te dirait d’essayer ? Ça serait une expérience à tenter, non ?
Je lui ai répondu sur le même ton que je l’avais déjà fait. Elle m’a lancé un regard du genre « pourquoi je ne suis pas étonnée ».
En fait, elle cherchait une robe pour assister au mariage d’une de ses amies et elle en avait repéré une dans la vitrine. Elle souhaitait l’essayer et voir ce qu’il y avait d’autre en magasin.
Me voilà donc à fureter dans les rayons à regarder les robes de soirée avec Charlotte. Parfois, elle m’en désigne une et me demande mon avis. Bref, elle réalise une sélection de trois robes et part en cabine d’essayage.
— La première était de couleur bordeaux, en satin et tulle organza, sans manches et évasée en grands plis à partir de la taille jusqu’aux chevilles. Le haut avait un décolleté en V, comme le dos.
— La deuxième, une robe de soirée longue, moulante, d’un bleu nuit magnifique, avec une partie corset en broderie argentée qui descend sur les hanches. Le dos est partiellement nu.
— La troisième était en deux parties : une tunique moulante bleue recouverte par une robe plus vaporeuse, finement plissée et échancrée sur les bras.
À chaque essayage, elle me demande mon avis, en plus de celui des vendeuses.
Pour ma part, ma préférence va sur les deux premières. En la voyant les porter, cela me donne aussi envie de les essayer. Ce que je ne fis pas. Je n’osais pas le faire en présence de ma patronne. Mais ce n’est que partie remise.
Nous passons une bonne demi-heure dans le magasin. Après essayage, son choix se porte sur la deuxième, la robe bleue moulante argentée. Elle règle son achat et nous reprenons notre shopping. En sortant, les vendeuses, avec un grand sourire, nous invitent à ne pas hésiter à revenir. Elles ne savaient pas à quel point nous allions suivre leurs conseils.
Une fois dans la rue, Charlotte me relance sur mes essayages de robes de mariée. Elle me demande si j’ai réellement déjà essayé des robes et me pose plein de questions à ce sujet. Je réponds au mieux à ses questions. Je lui dis avoir fait quatre magasins de robes de mariée et essayé une bonne dizaine de robes dans des styles différents.
Nous continuons notre promenade. Je sens que ma patronne est de bonne humeur, relaxée, bref cool et détendue, au point que les frontières hiérarchiques passent au second plan. Elle me confie qu’elle souhaite aller dans un magasin de lingerie pour trouver des dessous à assortir à la robe qu’elle vient d’acheter. Elle ne veut pas me mettre mal à l’aise et me demande si cela ne me dérange pas. Je lui réponds que ça ne me dérange en aucun cas et que, d’ailleurs, je regrette de ne pas avoir osé faire un essayage dans la boutique de robes de mariée. Elle me dit :
— Tu vois, j’avais raison de te proposer d’en essayer une ! Je suis persuadée que les vendeuses n’attendaient que ça.
Au bout de quelques minutes, nous trouvons notre bonheur : une petite boutique de lingerie nichée dans une rue piétonne. Ma patronne me lance un regard et me redemande :
— Tu es sûr que cela ne te gêne pas ?
Je lui réponds que non. Nous pénétrons dans la boutique. Pour moi, c’est comme entrer dans un magasin de confiseries.
— Bonjour madame, bonjour monsieur, puis-je vous renseigner ?
La vendeuse qui nous accueille est charmante. Elle est d’âge mûr, dans la quarantaine, habillée de façon chic : un haut blanc en dentelle type corset qui met en valeur sa poitrine, et une jupe crayon en cuir qui lui arrive aux genoux. Le magasin est un mélange de lingerie traditionnelle et de lingerie un peu plus coquine.
Ma patronne lui explique qu’elle recherche un ensemble pour aller avec la robe qu’elle vient d’acheter. Elle lui montre la robe en question. La vendeuse lui demande ses préférences en matière de lingerie. Au vu de la robe, le string s’impose pour le bas. Pour le haut, c’est plus compliqué, vu que le dos est ouvert et que le décolleté est plongeant. Elles conviennent qu’un soutien-gorge corbeille serait la meilleure option. Elle lui demande si elle compte porter des bas et, si oui, lui propose le porte-jarretelles assorti.
Ma patronne choisit quatre modèles de couleurs différentes : bleu, jaune, rouge et vert. Des modèles tout dentelle, d’autres tout satin et d’autres mixtes. Charlotte entre dans la cabine d’essayage et commence celui-ci. Pendant ce temps, la vendeuse se rapproche de moi.
— Et vous, monsieur, rien ne vous tente ? Vous portez un joli body, à ce que je vois. Vous portez bien la jupe aussi, elle vous va à ravir. C’est rare de voir des hommes qui osent se vêtir comme vous le faites et se montrer ainsi en public.
Je la remercie pour ses compliments. Je lui confirme qu’il est bien dommage que les hommes n’osent effectivement pas assumer de sortir ainsi, alors que nous sommes nombreux à nous habiller comme cela, mais en cachette. Pour en revenir à sa question, je lui réponds que je serais peut-être intéressé par un ensemble guêpière, tanga assorti avec des bas, ou un body, mais quelque chose d’un peu original dans les couleurs, avec une préférence pour un mélange satin, dentelle et tulle. Une nuisette peut aussi m’intéresser. Elle me répond :
— Vous ne seriez pas plutôt intéressé par un ensemble identique à celui qu’a choisi votre copine ? Comme ça, vous seriez assortis en jumeaux. Vous formez un si joli couple. Vous faites quelle taille, s’il vous plaît ?
À ce moment, j’entends la voix de Charlotte depuis la cabine d’essayage :
— Je trouve qu’elle a raison, chéri. Ça serait tellement romantique, cette idée de lingerie en jumeaux, c’est chou. Allez ! Fais-moi plaisir, essaye ! C’est moi qui te l’offre.
Heu… comment dire. Je ne m’attendais pas à ce coup de théâtre de la part de ma patronne. Je me demande ce qui lui passe par la tête. Je vois bien qu’elle est de bonne humeur, mais pas d’humeur joueuse.
— Allez, poussin, on est là quelques jours, c’est comme si on était en week-end, profitons-en,
insiste-t-elle.
— Je crois que vous devriez écouter votre femme,
reprend la vendeuse en me faisant un clin d’œil.
— Vous êtes le premier couple avec lequel je peux assortir la lingerie. Ça me fait tellement plaisir.
À ce moment, Charlotte sort de la cabine. Elle porte un ensemble de lingerie magnifique en tulle vert-gris, agrémenté de broderies florales jaunes, le tout associé à du satin vert-gris identique au tulle. Le soutien-gorge corbeille a de larges bretelles avec un décolleté festonné en forme de pétales. Un petit bijou fantaisie en métal doré est accroché à l’entre-seins, ce qui met en relief sa poitrine magnifique. Elle porte le string assorti, avec la même décoration, faisant ressortir le galbe de ses fesses. Le tout est associé à un serre-taille travaillé comme une œuvre d’art. La partie centrale avant est brodée d’une fleur très généreuse sur une trame ...
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