Je remercie vivement mes fidèles lecteurs pour leurs notes élogieuses.
Je ne pense pas avoir un ego surdimensionné, mais je regrette qu’un certain lecteur se plaise à me mettre 0 systématiquement.
Je suis tout à même de comprendre que mes histoires n’emballent pas tout le monde. Je comprends un 4 ou un 3, voire un deux... mais pourquoi mettre une note en dessous pour une histoire que personne ne vous oblige à lire.
Biens à vous.
On arriva quelques minutes plus tard chez Daoud.
Le vrombissement caractéristique du side-car résonna dans le douar alors que nous stoppâmes devant sa maison. La pétarade brisa le calme habituel de ce petit douar. Soudain, la porte bleue s'ouvrit à la volée, laissant apparaître Younes. Le jeune homme surgit, attiré par le bruit de la moto qu’il avait reconnu. Son apparition fut saisissante, comme s'il incarnait la jeunesse et la vitalité du Maroc. Il était vraiment d'une beauté remarquable, rappelant les sculptures antiques des jeunes dieux grecs. Ses traits fins et harmonieux, mis en valeur par sa peau hâlée par le soleil du Sud, encadraient des yeux, d'un brun profond, pétillant de curiosité et d'intelligence. Une chevelure noire et bouclée encadrait son visage expressif. Assez grand et élancé pour son âge, il se tenait droit, avec une assurance naturelle, me rappelant son père sous la douche attendant mes frictions... Il portait une djellaba simple, dont la couleur claire contrastait avec sa peau bronzée. Ses mains, déjà marquées par le travail, témoignent de son implication précoce dans la vie du douar. Son sourire chaleureux illuminait son beau visage alors qu'il nous accueillait. Il s'avança vers nous d'un pas vif et gracieux, manifestement heureux de notre arrivée. Il alla embrasser son père, puis me serra les deux mains, et commença à tourner autour de l’engin, admiratif et rêveur. Je le trouvais touchant de spontanéité, avec des regards que pour mon Ural.
La soirée fut délicieuse, nous avons bien ri ensemble, et ils m’apprirent de sacrées blagues marocaines, leur registre salace s’intensifiant avec l’avancée de la soirée. Daoud était particulièrement en forme et faisait bien rire ses deux garçons. Je fus surpris de voir que la pudeur, qui l’empêchait de voir son fils nu de seize ans, ne le gênait nullement dans l’évocation de débauches que, pour ma part, je n’aurai pas entendu chez moi. Et pourtant, il m’est arrivé à la piscine de me retrouver souvent à poil avec mon père dans les douches...
- Bon, je vais y aller moi.
- Karim, raccompagne ton ami. À demain Pierre ! et il me décocha un imperceptible coup d’œil.
Nous nous retrouvâmes seuls avec Karim. J’avais déjà enfourché ma moto.
-Tu as passé une bonne journée avec mes parents ?
- Oui excellent, Karim.
- Le retour s’est bien passé ?
- Oui, très bien. Comme j’étais seul avec ton père, j’ai pu rouler plus vite.
-Il est royal mon père, je l’adore. Dis, tu lui as rien dit au moins pour nous deux.
- Non, rassures-toi, je sais conserver un secret. Et puis, peut-être qu’au fond il s’en fout, non ?
Il fit une moue dubitative :
- Hum, ça m’étonnerait, mon père est vraiment un homme à femmes.
-Mais tu m’avais dit que les femmes ne baisaient pas facilement.
Il me regarda fixement, pendant une seconde une brillance de supériorité moqueuse traversa ses prunelles, et, dans l’oreille, il me glissa :
- Ici, il y a les veuves ! et s’en retourna en s’esclaffant.
Quand même assez décontenancé, je démarrais, embrayais et prenais la route du retour. Je sentais mon anus meurtri et l’idée d’une déchirure anale traversa mon esprit. J’essayais de me rassurer en me souvenant que je n’avais vu aucune trace de sang sur le sol de la douche. Une fois dans ma chambre, je repris une deuxième douche pour me laver à fond. J’essayais de savonner mon fondement avec un doigt chargé de savon. Il rentra bien plus facilement que de coutume, mais me procurant à nouveau une douleur, faible mais réelle. Après m’être rincé, je récupérais mon miroir de voyage et, par une position pour le moins grotesque, j’entamais une inspection de mon anus. Pour ce que j’en voyais, n’apparaissaient pas de fissures. En revanche, mon bourrelet anal arborait un gonflement inhabituel. Je me découvrais mes fesses encore toutes rouges et zébrées de griffures… Néanmoins rassuré, j’allumai le brasseur d’air du plafonnier, le brûleur de parfum, j’éteignis toutes les lampes et me couchai nu, avec simplement un paréo léger sur mon ventre, sachant que ce type de ventilation provoquait souvent des diarrhées.
Sur le dos, la tête maintenue par mes deux mains, je me remémorais ma journée qui défilait comme dans un film. Quelle aventure ! Ouf ! Quel beau mec, ce Daoud ! Quelle force ! Quelle fermeté et tonicité dans ses muscles !
Je ne pus m’empêcher de réaliser que je m’étais bien fait sodomiser en fin de compte, moi qui avais toujours refusé de céder aux demandes. Alors, pourquoi aujourd’hui ? D’autant que je n’avais éprouvé presque aucun plaisir. J’avais tellement connu de mecs qui en redemandaient sans cesse, se tortillant de plaisir au bout de ma queue, jouissant même parfois sans que je touche leur sexe ! Moi, rien…
Fermant les yeux, dans le doux bruissement des pales et les effluves du brûle-parfum, j’essayais d’analyser ce souvenir et me remémorer mes ressentis. Oui, il y avait eu la pénétration, qui ...
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