Chers amis; Je continue mon roman... Certains de mes fidèles lecteurs me demandent où en sont les pages 3longées sur Hyères arrêtées au numéro 3. ne vous inquiétez pas, elles vont bientôt reprendre.
Il secoue la tête, hilarant.
— Oui ben, à voir sa tronche, c'est pas moi qui vais lui envier son programme !
Il but une gorgée de son café, puis posa son regard sur moi, plus sérieux cette fois.
— Bon, alors… on fait quoi aujourd'hui ?
Je haussai les épaules, feignant l’indécision.
— Tu as un programme, toi ?
Il dressa lentement, laissant le soleil caresser son visage , avant de déclarer avec une moue réfléchie :
— Ben, soit tu t'occupes de Madeleine et dans ce cas, je vais devoir me trouver une autre occupation…
Il me lance un regard en coin.
— Soit on se trouve un truc à faire ensemble.
Puis, espiègle, il ajouta :
— Mais bon, vu l'état de ta Belge… je peux déjà te dire que ton programme est mal barré.
Il prit une bouchée de son petit-déjeuner , mastiquant tranquillement avant d'ajouter, faussement dramatique :
— Et alors, niveau amabilité… j'ai failli lui demander si elle venait d'assister à un enterrement !
Je poussai un rire franc, levant la tête.
— Ouais, c'est clair que ce matin, elle n’était pas d'humeur à plaisanter.
Il m'accorda un sourire complice, accompagnant ma réponse.
— Alors, frère ? Je t'abandonne à ta bite ou on se fait une virée ?
Je poussai un sourire en coin, le regardant avec malice , avant de lancer :
— Tu vas pas me demander de retourner au hammam encore aujourd'hui, hein, Peter ?
Un beau sourire illumina son regard.
— Frère, j'ai l'air d'un addict ou quoi ?
Je haussai un sourcil, faussement sérieux.
— Ben, quand même… Trois fois en deux jours, c'est pas mal.
Il ricana, levant les mains en signe d'innocence.
— Ouais, mais t'as vu l'accueil que j'y ai eu aussi ! Et se prenant le sexe à pleine main et lui parlant:
— Hein ma grande, tu as bien travaillé ! Et avec un sourire espiègle, il ajouta :
Nan, aujourd'hui, on va laisser Djamila souffler un peu… sinon elle va finir par nous demander de payer un abonnement. Et l’argent file vite quand même. Elle est pas donnée !
Pensif et amusé , je lui répondis :
— Bon, alors ? On roule quelque part ?
Il croisa les bras derrière sa tête, s'étirant avec paresse, avant de me fixer avec un regard de défi .
— Si tu tiens toujours debout après hier soir, pourquoi pas…
— Ne t'inquiète pas pour moi.
Il sourit, puis, avec un air faussement grave :
— Mais à une seule condition…
Il plissa les yeux, intrigué, s'approcha légèrement, posant un coude sur la table , et me lance avec un sourire de gamin sûr de lui :
— Laquelle ?
— Aujourd'hui, on change un peu…
Il l'attendit, intrigué.
— C'est toi qui vas conduire mon side-car.
Son sourire s'étira aussitôt, mélange d'excitation et de défi.
— Ah oui ?
—Oui . Histoire que tu découvres tout son potentiel. Tout ce qu’elle a dans le ventre, ma mémère !
Il frappa joyeusement la table du plat de la main, comme un gosse qu'on viendrait de gâter.
— Putain, ça, c'est une idée !
Puis, avec un clin d'œil provocateur :
— Tu t'accrocheras bien, frère… Parce que moi, je vais lui faire cracher ses tripes, à ta bécane !
Il prit les commandes avec un enthousiasme débordant, et dès les premiers kilomètres, je sentis qu’il prenait un pied monumental. Le rugissement du moteur faisait écho dans l’immensité du paysage, et chaque bosse, chaque ornière sur la piste devint un prétexte à tester les capacités de franchissement de mon URAL.
Il riait comme un gosse, envoyant parfois des coups de gaz juste pour sentir l’énorme machine bondir sous lui, maniant le guidon avec une assurance croissante, se jouant des creux de l’oued et des sentiers sablonneux.
Lorsque nous atteignîmes l’oasis de Sidi Flah, à 80 km environ, le contraste entre le désert aride et la végétation luxuriante nous frappa immédiatement. Là, le Dadès s’étirait en méandres, dessinant des plages de sable fin, bordées de palmiers et d’acacias, où l’eau claire scintillait sous le soleil brûlant.
Peter coupa le moteur, sauta au sol en riant, puis frappa du plat de la main le réservoir de la moto.
— Putain, frère ! Cet engin, c’est une bête ! J’ai jamais autant pris mon pied dans un pilotage !
Je descendis plus calmement, observant les reflets du soleil sur l’eau paisible.
— Ouais… Et maintenant, après la poussière, un bon bain s’impose.
Peter d’un geste vif, retira son t-shirt et se dirigea déjà vers la rive, l’excitation toujours brillante dans ses yeux.
Allongés sur le sable chaud, bercés par le chant lointain du vent dans les palmiers, nous étions comme des lézards, immobiles sous le soleil brûlant, savourant cette torpeur bienheureuse après notre baignade rafraîchissante. Peter, enduit de crème solaire, paressait les yeux mi-clos, sa poitrine se soulevant lentement, sa respiration profonde et paisible. Moi, je laissais mon regard errer sur le paysage, profitant de cette oasis magnifique, mais mon attention revenait inévitablement à lui, à ce corps sculpté par la nature et le mouvement, à cette peau si claire, presque dorée maintenant sous l’effet du soleil.
J’en profitais pour glisser quelques regards furtifs, admirant ses formes, son allure parfaite, cette manière qu’il avait d’être à la fois décontracté et puissant. Et puis, mon regard était toujours attiré par quelque chose d’autre. Mais là, c’était un détail qui, peu à peu, devint impossible à ignorer. La bosse naissante sur son maillot de bain. Je m’immobilisai l’espace d’un instant, captivé malgré moi, pris par une force invisible, un aimant puissant. Elle gonflait lentement, devenant plus visible à chaque seconde, jusqu’à distendre complètement la toile fine de son maillot de voile. J’étais tétanisé entre la gêne et la fascination, incapable de détacher mes yeux de cette scène presque irréelle.
Peter, lui, n’avait pas bougé, toujours dans son état de semi-léthargie, sa respiration aussi tranquille que celle d’un homme en train de rêver.
Je brisai le silence, essayant de jouer la désinvolture, mais ma voix trahissait mon trouble :
— Tu penses à Djamila ?
Ses paupières se soulevèrent légèrement, et sans la moindre hésitation, il répondit :
— Comment t’as deviné ?
Je haussai un sourcil, puis pointai d’un regard moqueur son maillot tendu.
— Ben… Il n’y a qu’à regarder ton maillot.
Et là, il me désarçonna totalement.
D’un geste totalement naturel, sans la moindre gêne, il prit son sexe en main à travers la toile, l’examina presque distraitement, puis sourit en murmurant :
— Eh bien ma belle… On a des envies ?
Il fit légèrement bouger son bassin, puis ajouta, toujours aussi détendu :
— La foufoune de Djamila te manque ?
Je le regardai, interloqué, sans trop savoir comment réagir.
— À la voir dans cet état, ça me semble évident… lançai-je, hésitant entre amusement et sidération.
Et puis, sans prévenir, il alla encore plus loin. Sans aucune gêne, sans le moindre trouble apparent, il sortit carrément son sexe de son maillot, le tenant comme un médecin examinerait un patient, l’inspectant avec un sérieux presque comique.
Je sentis mon cœur battre plus fort, ma gorge se serrer légèrement.
Puis, calmement, il fit glisser son prépuce vers l’arrière, révélant son gland rouge pourpre, qu’il observa une seconde avant de lancer :
— Et toi ?
Je haussai les sourcils, perdu dans l’absurdité de la situation.
— Moi ?
Il sourit en coin, toujours en examinant son sexe :
— Non, je parle à mon gland ! Toi, t’es bien irrité, hein ?
Son regard brilla d’un éclat amusé.
— Pas facile le franchissement du p’tit cul de la belle, hein ?
Je restai sans voix.
Puis, il tourna la tête vers moi, comme s’il venait de se souvenir de ma présence, et me lança avec un naturel déconcertant :
— T’as vu ?
Il fit un léger mouvement, faisant rebondir son sexe entre ses doigts.
— Elle en redemande, hein ? Toujours vaillante ma belle !
Et me toisant au niveau de mon slip de bain :
— Et toi… Toi tu penses pas à Madeleine, ça se voit ! Même si au repos tu présentes encore une sacrée protubérance ! Bon allez ma belle, rentre à la maison sinon tu vas être jalouse. Et il éclata d’un fou rire en rangeant son engin.
J’étais incapable de répondre immédiatement, totalement décontenancé par son attitude. Que cherchait-il réellement à me dire, au juste ? Pourquoi cette absence totale d ...
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