Ce récit a été noté : 3.7 / 4

 
( 0 = histoire nulle   4 = histoire TOP )


Ajouter à ma liste
Week-end en forêt

Publié par : _js_ le 29/04/2020

L’expérience que je vais vous raconter m’est arrivée il y a une dizaine d’années, en 2010 ou 2011 (je ne sais plus avec certitude).

Je faisais partie depuis mes années d’étude d’un petit groupe d’amis, peu nombreux mais fidèles, avec qui j’avais pu passer de nombreuses soirées étudiantes, à danser, chanter, boire et faire la fête. 3 filles et 3 garçons, voilà qui nous étions.

Linda, l’une de ces amies, avait rencontré un mec, depuis un peu plus d’un an, avec qui elle comptait emménager, et entamer une relation sérieuse. À l’occasion des 40 ans de ce garçon, nous étions tous invités à fêter son anniversaire à l’occasion d’un week-end, dans une maison de chasse qui lui était prêtée.

Le rendez-vous était pris depuis plusieurs semaines : il me fallait me rendre le 1er juillet, au beau milieu des bois, jusqu’à cette maison de chasse accessible par une route unique traversant ce domaine forestier.

Quand j’arrivai sur place, après quelques hésitations (mon sens de l’orientation est assez limité !), je retrouvai immédiatement mon petit groupe d’amis qui fort heureusement était arrivé avant moi. Nous n’étions pas seuls : au moins une dizaine de jeunes adultes s’affairaient ici et là, à installer des tables dehors, à préparer le barbecue, à monter le bivouac…

La maison de chasse étant trop petite, et surtout absolument pas équipée en couchages, il était question que nous dormions sous tentes, et j’avais donc apporté mon propre matériel de camping.

Je n’ai découvert qu’à ce moment-là avec qui je devrais partager ma tente :

« Tu comprends, vous êtes tous les deux tout seul, et Yohan n’a pas de matériel de camping, il a juste un sac de couchage ».

Pas de problème ! Yohan était mon coup de coeur depuis nos années d’étude, il le savait très bien et même si ce beau et grand garçon n’était pas porté sur les garçons, ma sexualité n’avait jamais posé de problème entre nous, bien au contraire. Nous avions, lui et moi (un peu alcoolisés), échangé quelques baisers, et même légèrement joué à touche-pipi lors d’une soirée mémorable. Mais rien de plus.

Je vous passe les détails sur la journée, sans intérêt pour vous. Sinon que la perspective de me retrouver en tête à tête avec Yohan dans cette petite tente m’excitait énormément et que je me demandais ce qui pourrait arriver si je forçais un peu la main au destin.

Je n’étais d’ailleurs pas le seul à fantasmer sur cette situation : Linda nous a lancé, juste avant d’aller se coucher : « et ne faites pas trop de bêtises, tous les deux ! »

Ça y est, c’était le moment. Yohan était là, à portée de main, seul avec moi.
Il a ôté son t-shirt et son short de plage, a conservé son boxer (comme il le faisait toujours pour dormir) et a ouvert son sac de couchage pour s’étendre à l’intérieur.

Prudent, j’ai fait de même. Je n’ai pas osé ôter mon slip, alors que je dors nu systématiquement depuis mes 10 ans. Par peur de le brusquer sans doute, je n’ai pas proposé d’ouvrir complètement nos sacs de couchage pour n’en former qu’un seul, alors que j’en brûlais d’envie.

À la lueur de la lampe de poche, nos regards se sont croisés, un peu gênés. On a souri et puis on a éteint pour se coucher.

Aucun geste, presque aucun souffle, pendant de longues minutes qui m’ont paru être des heures.
Et puis j’ai lâché l’affaire, abandonnant finalement tout espoir de rapprochement. Je me suis retourné face à la paroi extérieure, prêt à me laisser m’endormir.

C’est à ce moment-là que Yohan a bougé lui aussi. Il s’est tourné doucement et a fait basculer son grand corps de mon côté, jusqu’à m’effleurer.
Sa respiration était à peine perceptible, mais je sentais un léger souffle sur ma nuque.

J’ai décidé de jouer le jeu. Juste au cas où…
Je me suis reculé légèrement, pour me retrouver collé à lui, mon dos plaqué contre son torse poilu.
Un doute persistait : dormait-il finalement, ou était-il éveillé ?
Après quelques minutes encore, pour en voir le coeur net, j’osai promener ma main vers mes fesses.
Le sac de couchage était entrouvert, et c’est bien une érection que je rencontrai, à quelques centimètres de moi.

Ma parole ! Yohan bandait pour moi ? Vraiment ? J’avais du mal à y croire, mais je décidai de m’abandonner à mon envie. Quelle que soit la ...

... Connectez-vous pour lire la fin de cette histoire érotique | Inscription 100% gratuite


Mots-clés : Histoire 100% vécue, Gay, Fellation, Jeunes