Dans nos échanges de messages très coquins, il m’a expliqué ce qu’il cherchait. Il ne devait y avoir aucun doute, aucune réticence de ma part si je décidais de venir sonner à la porte de sa maison située près de Thionville en Moselle (57). D’après nos échanges, il voulait pourvoir devenir régulièrement, sur deux ou trois heures, le maitre d’un gros travesti âgé entre 55 ans minimum et 85 ans maximum. Pour quoi faire ?
Il voulait faire de sa chienne (comme il disait) une femelle à féconder et à photographier voir filmer, dans le but de pouvoir se branler quand il serait seul. La tenir en laisse. Pouvoir l’enfermer dans une grande cage installée dans le séjour.
Après avoir vu quelques photos de mon petit sexe et de mes fesses, il m’a avoué adorer mes formes, n’ayant plus qu’une idée en tête, celle de m’enculer à fond en restant collé au fond de moi jusqu’au remplissage de mon petit trou serré par son sperme qu’il m’a avoué être très abondant et épais. A mon tour, je lui ai avoué n’avoir jamais été enculé par une bite. Que le seul truc qui s’était enfoncé dans mon intimité de fausse femelle, c’est une langue, un plug de 2,5 cm de diamètre et deux ou trois doigts. A mes aveux, sa réponse était claire : « Je te préparerai en douceur pendant notre séance photos ». Lorsque je t’aurai stimulé et bien ouvert, c’est toi qui te cambreras pour m’offrir ta croupe de grosse chienne, après que tu m’auras léché mes couilles et ma bite poilues ».
Après quelques heures de discussions, la confiance était bien installée. Je décidais d’accepter d’aller sonner à la porte de celui qui allait devenir mon nouveau maître. J’arrive près de chez mon maître. Comme convenu, je lui envoie un message avec mon téléphone. Il me dit que je n’ai pas besoin de sonner. La porte n’est pas fermée à clé. Il m’a vu. Je n’ai qu’à entrer. Il me précise que la salle de bain (pour me changer) sera la troisième porte à gauche (c’est une vieille maison lorraine). Je m’exécute.
Une fois changé et vêtu comme il me l’a demandé (mon collier de chien autour du cou, une laisse, nu et ne portant que la petite culotte blanche que j’avais présentée sur les photos de mon profil), je me présentais debout devant lui. Il était nu devant moi. Son sexe pendait entre ses jambes. A 70 ans, mon nouveau maître était très poilu (dos, torse, sexe et aussi les fesses).
Sous sa cagoule canine, je devinais une barbe.
Il ouvrit la partie basse de sa cagoule et m’ordonna de me mettre à 4 pattes sur le canapé recouvert d'un drap de bain.
Il se plaça derrière moi et commença à me lécher l’œillet. Soudain j’entendis l’appareil photo crépiter derrière moi, sous moi, à côté de moi et face à moi. J’étais à ma grande surprise photographié par son épouse qui tout en photographiant se masturbait la chatte devant cette scène qui semblait l’exciter.
Entre temps, les doigts de mon maître, mon mâle commençaient à me fouiller. La langue et les doigts s’associaient pour tenter de m’ouvrir et cela fonctionnait. Les jouets prenaient ensuite le relais passan ...

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