Jules et moi vivions notre amour le plus complice possible et ce soir-là, nous avions décidé de jouer les putes avec pour challenge celui qui empocherait le plus de biftons.
Notre lieu de tapinage était un bar gay et Jules a passé au moins une heure dans la salle de bain. Il en est ressorti maquillé comme un phare au milieu de l’océan : il brillait de mille feux et quand je l’ai vu, j’ai eu la trique ! Il avait revêtu ses fringues les plus aguicheuses (talons fins et hauts, bas résilles, mini-jupe en cuir rouge et un charmant chemisier blanc à la dentelle légère. Comme je savais qu’il aurait choisi cette posture, j’avais opté pour un look « petit puceau », vous imaginez bien…
Connaissant la propension de Jules à tricher, je me suis mis à la recherche de billets qu’il aurait pu cacher sur lui. Aussi, j’ai commencé à le complimenter sur sa tenue, sa coiffure et son maquillage et tout en l’embrassant, je l’ai palpé de partout en faisant penser à des caresses coquines. Il en fit de même et nous avons échangé un regard complice qui disait que ni l’un ni l’autre n’était dupe de la fouille en règle.
Arrivés ensemble dans le bar, nous lancions un regard panoramique et repérions deux gars au comptoir qui étaient séparés par un tabouret, visiblement en mode drague. L’un avait la quarantaine et l’autre, la cinquantaine. Jule et moi nous nous regardions et sans nous dire un mot, nous nous dirigions chacun vers notre proie (nous savions à nos regards qui avait choisi qui). C’est Jules qui attaqua et demanda au gars de droite (quinquagénaire) s’il pouvait s’assoir sur le tabouret libre. Il ne regarda même pas le gars de gauche et s’assit avant la réponse à sa question ! Il posa sa main sur la cuisse du gars et lui demande directement ce qu’il lui proposait à boire…
De mon côté, je faisais le timide et m’assis à la gauche du type de gauche et je fis tomber exprès mes clefs entre lui et moi. Quand je vis qu’il bougeait pour les ramasser, j’en fis autant et forcément, nous nous cognâmes l’un l’autre. Je fis alors mine de souffrir du choc et aussitôt, il me prit dans ses bras pour me soutenir et il m’aida à me rassoir tout en s’inquiétant de ma douleur. Je le rassurai et lui dis que ce n’était pas grave. Il me tendit mes clefs et s’arrangea pour entrer en contact avec ma main. Nos regards se croisèrent et il me proposa aussitôt de me commander une boisson pour me « remonter » (en moi, je me dis : remonter ou re-monter ? Il devrait commencer par une première fois avant de penser à la suivante !).
Je le remerciais et lui indiquais qu’une coupe de champagne ferait l’affaire. Il finit rapidement sa bière et il commanda deux coupes. Nous trinquâmes en claquant nos verres tout en nous regardant dans les yeux. En effectuant ce geste, il osa poser sa deuxième main sur ma cuisse et voyant que je n’émettais aucune protestation, il la laissa tout en commençant à la mettre en mouvement. Il me caressait ainsi en allant du genou à de plus en plus haut. Nous continuions à nous regarder et parlions de banalités à endormir un étalon en rut. Nous finissions rapidement nos coupes et je lui dis crânement que j’en boirais bien une deuxième. Le gars ne se défit pas et m’indiqua qu’il voulait bien payer une deuxième tournée à condition que je l’en récompense. Je fis le naïf et il me dit en me faisant un clin d’œil que nous pourrions nous rendre dans les toilettes ensemble. Je continuai de faire l’innocent et je lui dis qu’effectivement après une deuxième coupe, j’aurai probablement envie d’uriner. Il commanda donc deux nouvelles coupes, que nous buvions en continuant cette conversation des plus ennuyantes. Je bus donc rapidement et en lui lançant un regard de braise (en toute innocence), je lui pris la main, descendis de mon tabouret et lui indiquai que nous pouvions nous rendre ensemble aux toilettes. Son regard devint vicieux et je m’en amusai par avance.
Nous descendîmes les escaliers qui mènent aux WC. Je passais devant lui et j’imaginais son regard rivé sur mon joli petit cul bien rebondi. Je me plaçais devant le premier urinoir et là, il me prit la main, me tourna vers lui et approcha son visage du mien. Je rejouai l’innocent et lui demandais pourquoi il m’empêchait de faire pipi tranquillement. Il me répondit : « j’attends ma gâterie ! ». Je lui rétorquai alors « Ha, tu fais partie de ceux qui aiment boire l’urine de l’autre !? Ce n’est pas un problème mais allons plutôt dans la cabine… ». Là il commença à s’énerver et il me dit qu’il ne m’avait pas payé deux coupes pour rien et qu’il voulait que je le suce ! En conservant mon air naïf, je lui indiquais que je ne comprenais pas, que je n’avais jamais touché le sexe d’un autre homme et que je réfléchissais néanmoins à sa proposition. Je le regardai de haut en bas en m’attardant sur cette proéminence au niveau de son entrejambe et lui lançais alors que je n’étais pas si empoté que ça et que ce serait possible s’il me lâchait quelques biftons. Une photo de mon regard à l’énoncé de ces mots nous aurait fait rire, Jules et moi durant des décennies !
Il sortit un billet et sa queue en même temps. N’importe qui pouvait nous surprendre et ça m’excitait encore plus. Je pris le billet en lui faisant comprendre que j’aurais préféré plus et je pris son chibre en main en même temps. Il plaça sa main sur mon crane et appuya pour que je m’agenouille devant lui. Par réflexe, je le pris en bouche afin de le décalotter. Comme son sgeg était encore à demi mou, ce ne fut pas si facile ! J’y parvins cependant avec diligence (c’est une de mes spécialités). Je commençai alors à lécher ce gland qui prônait au bout d’une tige assez banale, moyenne en longueur et épaisseur. Je trouvais que la peau de son prépuce et de toute sa queue était très douce. Ma langue se promenait du gland vers les boules et j’avalai une première couille en lui arrachant un petit cri de plaisir. Je relâchai cette glande de taille normale et laissai glisser ma langue tout au long de sa tige afin de reprendre le gland en bouche. De la position horizontale, la tige tendait désormais vers la verticale et j’engloutis le tout d’un coup, en gorge profonde. Je fixais son regard. Je sentis tout son bassin basculer vers l’avant et je lui arrachai un grondement qui venait du fond de sa gorge : monsieur appréciait mon savoir-faire. Je le voyais également dans ses yeux. J’effectuais alors des allers retours tout en jouant avec ma langue. Je le sentais de plus en plus excité et ses mouvements de bassin en était un signe indubitable. D’un coup, d’un seul, il me bloqua la nuque alors que j’étais en gorge profonde et il éjacula plusieurs giclées pour un volume assez conséquent. Je me reculais brusquement et recrachai le tout pour faire ma pucelle (j’en appréciais pour autant la saveur et je regrettais presque de ne pas avoir laisser ce précieux liquide mariner longuement sur mes papilles gustatives pour mieux le savourer).
Nous remontâmes et nous nous rassîmes sur nos tabourets. Il me lança : « Merci, c’était très bon. Pour un puceau, tu te débrouilles rudement bien ! Est-ce que tu veux une dernière coupe ? ». Bien sûr que j’acceptais et la conversation qui était si nulle auparavant tourna sur le sexe et devint plus attractive. Il reprit ses caresses sur ma cuisse et il osa venir toucher ce qu’il appela l’objet de tous les vices : ma bite. Il me dit que maintenant qu’il m’avait dépucelé de la bouche, il imaginait le faire avec mon cul qu’il avait trouvé très at ...
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