Lorsque je redescends, je suis habillée d’une jupe qui m’arrive aux genoux et de mon petit haut jaune de ce matin, sur lequel j’ai enfilé un gilet.
- Annie, je suis prête tu peux m’emmener à l’église. Demande-je
Je me tiens juste devant la porte d’entrée en attendant Annie.
JP vient vers moi et soulève ma jupe, puis il écarte mon gilet.
Je n’ai pas le temps de quoi que ce soit qu’une grosse baffe de la main gauche de JP claque ma joue gauche, me met les lunettes de travers et m’envoie valdinguer contre la porte d’entrée, je commence à voir des étoiles comme on dit, je suis KO et je sens que je glisse le long de la porte, mais une autre mandale de sa main droite cette fois sur ma joue droite, me redresse et finit de m’assommer, Je glisse contre la porte et me retrouve les fesses par terre avec une jambe repliée sous moi.
- Tu pensais pouvoir me baiser ? Crie-t-il
Annie accourt pour m’aider à me relever, mais JP lui dit
- Toi je t’ai dit tout à l’heure que tu étais responsable d’elle !
- Oui pourquoi ?
- Parce que cette salope est allée mettre un soutien loches et une culotte pour aller à la messe. Connasse ! Hurle-t-il
- Je t’ai dit même punition lui dit-il en lui balançant une baffe de la main gauche sur la joue gauche et immédiatement suivie de sa petite sœur de la main droite sur la joue droite. Annie sous le choc des deux baffes à valdinguer elle aussi contre la porte et est venu s’affaler sur moi.
Allez debout bande de salope. Crie-t-il
Puis il me traîne jusqu’au salon en me tirant par les cheveux.
- Annie magne toi le cul d’amener les entraves poignets et chevilles avec une barre.
Annie se dépêche et arrive avec ce que JP lui a demandé
- Penche toi en avant et tient tes chevilles lui dit-il
Elle s’empresse de lui obéir et JP mets les entraves aux poignets et aux chevilles d’Annie puis avec des doubles mousquetons attache chaque poignet avec chaque cheville, ensuite il lui fait écarter les jambes et attache une barre à chaque entrave de cheville l’obligeant ainsi à garder les jambes écartées.
Il lui remonte sa jupe, découvrant ainsi le gros cul d’Annie, la barre lui tient les jambes écartées, laissant voir sa grosse moule ouverte.
- Annie comme d’habitude tu connais la règle, tu comptes à chaque coup et si tu ne comptes pas assez vite ou pas du tout tu reçois un coup supplémentaire.
Puis il me tend un ceinturon en cuir et me dit
- Corrige là et ne retient pas tes coups, sinon gare !
Mais je pleure et ne veux pas frapper Annie avec ce ceinturon ;
- C’est toi qui vois, elle n’aura pas autant de scrupule à te faire rougir le cul. Me dit-il
- Maman, fais ce qu’il te demande ! Me dit Annie
A contre cœur, je prends le ceinturon qu’il me tend, et je lève le bras pour claquer le cul de ma fille, mais je n’arrive pas à me décider à taper.
- Tout ça c’est de ta faute, alors assume maintenant. Allez vas-y ou c’est moi qui la dérouille et elle va prendre cher.
- Vas y Maman, tape ne t’inquiète pas, de toute façon j’aime ça. Dit Annie
- Excuses moi ma chérie, pardonnes moi. Lui dis-je en sanglotant
Je me décide enfin à taper, mais JP me crie
- Tu te fous de ma gueule, j’ai dit taper, pas de faire semblant !
Alors je frappe à nouveau et à chaque coup Annie pousse un cri et compte. Moi sans m’en rendre compte je frappe de plus en plus fort,
je m’en aperçois parce que le gros fessier d’Annie devient de plus en plus rouge et les derniers coups portées sont bien plus marqués que les autres.
Quand Annie compte vingt, JP m’ordonne de lui remettre un coup pour compenser le premier. Je ne cherche pas à discuter, je frappe à nouveau sur le gros cul rougi d’Annie.
Annie a eu mal et a les yeux plein de larmes, elle sanglote, mais JP lui il s’en fout et me reprend le ceinturon.
- A moi maintenant ! Dit-il puis il commence à frapper les fesses déjà bien rougies de ma fille, et lui quand il tape, il ne fait pas semblant, il se lâche vraiment et tape de toutes ses forces, dès le premier coup Annie hurle de douleur et une grosse marque rouge boursoufflée fait son apparition sur le bas de son dos, elle pleure et a bien du mal à compter, quand enfin Annie compte à nouveau vingt, je me dis que tout est fini, mais JP lui dit
- Plus trois que tu n’as pas compté. Et il frappe à nouveau trois fois ce gros cul rouge écarlate et strié de boursoufflures, puis libère Annie.
- Que ça te serve de leçon, quand tu es responsable de quelqu’un, tu dois tout vérifier. Lui dit-il
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