Martine son dos et le marabout !

Avec les beaux jours, Martine a voulu se mettre au jogging. Comme elle n’a pas de chaussures adaptées, elle a commencé à avoir mal au dos, et plutôt que d’invertir, elle s’est entêtée à continuer avec ses baskets. Cela a empiré la situation.
Après une consultation au docteur traitant, celui-ci à part prescrire des séances de kiné n’a rien fait !
Au mois de Septembre, impossible d’avoir un rendez-vous rapide sur le plateau, mais le mal n’attend pas ! La voyant souffrir, je lui ai proposé d’aller voir un marabout si je pouvais avoir un rendez-vous rapide. C’est avec soulagement
qu’elle a accepté !

Aussitôt dit, aussitôt fait, je consulte sur internet les marabouts de Rouen et retrouve celui ou j’avais été il y a quelques années, j’en garde un bon souvenir !
Je l’appelle donc sans tarder.
« Allo, maître Abou ? «
« Non, je suis son remplaçant Abou est au pays pour le mois ! C’est pour un rendez-vous ? «
« Oui, c’est pour mon épouse, elle est prise d’un mal de dos ! «
« Quel âge a la dame ? «
« Elle va avoir 57 ans ! «
« Elle est grosse ? «
« Non, pourquoi ? «
« Les grosses femmes ont souvent des problèmes de dos ! Quant peut-elle venir? je peux la prendre demain? Qu’elle prévoit la journée si elle veut que cela soit efficace ! Et je préfère être réglé en liquide ! «
« Très bien, je la conduis demain matin pour 10 H 00, c’est toujours au numéro 17 «
« Oui, c’est bien cela, qu’elle ne prenne pas de petit déjeuner au lever ! «
« Bien, à demain ! «

Martine est heureuse d’apprendre que j’ai eu un rendez-vous si tôt, elle m’embrasse affectueusement, mais refuse de me sucer, prétextant son mal de dos.
Une fois de plus, je dors sur la béquille, vous connaissez hein !!!
Levé de bonne heure, je déjeune tranquillement. Martine est à la douche, il fait beau et chaud. Elle a passé une robe toile rouge sur ses sous vêtements assortis à la couleur, un Tanga sexy rouge et un soutien gorge balconnet rouge également.
Je l’aide à mettre ses bottines Chelsea en cuir marron genre daim. Elle est chic.
Elle termine son maquillage, cils, sourcils, pommettes et enfin ses lèvres pulpeuses. Son rouge à lèvres foncé lui donne un côté excitant, j’en bande !
Elle me suit en s’appuyant sur mes épaules. Je lui ouvre la porte, j’ai baissé le siège. Elle s’assied, je lui relève un peu sa robe en lui mettant sa ceinture. Elle est belle comme une potiche.
Je me stationne à proximité sur une aire de livraison. Elle me suit jusqu’au salon du marabout.
Je sonne, nous attendons. Un homme de couleur âgé de la cinquantaine les cheveux gris courts ,vêtu d’un boubou blanc brodé se présente à nous.
« Bonjour Monsieur, Madame L......... , vous êtes ponctuelle ! «
Sans attendre, il prend Martine à la taille et l’aide à rentrer dans la salle. Puis nous désigne son salon et nous y fait pénétrer.
« je suis Maître Madi, le neveu d’Abou, Je suis également Marabout diplômé de l ’École du Bénin. Asseyez vous Madame. Face à son bureau Martine croise ses jambes bronzées et attend. «
Une musique Africaine résonne dans le salon en sourdine.
Je prends à part le Marabout et lui demande :
« Puis-je vous parler Maître ? «
« Oui mon ami, je vous écoute ! «
« Voilà, si en même temps vous pouviez augmenter sa libido, j’aimerai qu’elle redevienne un peu plus chaude au lit ! «
« Bien, je vais louer Oshun, pour cela, il faut me laisser, et revenir vers 14 h 00, je dois la travailler et ensuite vous traiter aussi ! «
« D’accord, je vous laisse, allez y en douceur, elle est réservée ! «
Je pars laissant ma Martine aux bons soins du Marabout, j’espère qu’il va lui guérir son dos et la booster sexuellement, cela serait le pied ! «

Madi revient à son bureau, s’assoit face à elle et l’observe un long moment.
Intimidée, Martine baisse la tête.
Sur un ton autoritaire, l’homme fronce les sourcils et lui dit :
« Bon enlèves ta robe, je vais t’examiner ! «
Martine se lève, dégrafe sa robe sur le devant. Celle-ci s’ouvre et offre un magnifique visuel au Marabout.
« Poses ta robe sur le chaise, écartes un peu les jambes ! « Martine obéit.
Le Marabout sort de la poche de son boubou un pendule. Puis, il le fait balancer devant le visage de Martine en parlant un dialecte Africain.
Martine suit le mouvement du pendule. Envoûtée par l’encens qui se consume et une musique lancinante, elle est déjà soumise au Marabout.
Pour vérifier, Maître Madi passe sa main sur sa poitrine, elle ne réagit pas, la séance va commencer !
Après s’être huilé les mains, il les descend doucement sur la peau de la patiente. Sur son dos, il passe doucement en pressant suffisamment pour éveiller les sens de la dame. Puis, il pétrit ses hanches et les malaxe.
Figée comme une statue, Martine ne dit rien. Ce n’est pas douloureux et presque agréable.
Les mains sont arrivées sur les fesses, puis posées sur le léger tissu de son Tanga triangle. Comme par réflexe, elle ouvre un peu plus ses jambes.
Au moment ou sa respiration s’accélère, le Marabout s’arrête et lui demande de monter sur la table de massage. Il a placé un oreiller cylindrique sur la table et demande à Martine de le mettre sous son ventre, ce qui a pour effet de relever ses fesses et présenter son derrière surélevé maintenant !

Sous l’effet de cette position, son Tanga rentre profondément entre ses fesses et ses lèvres.
Elle attend le yeux fermés la suite de la séance, cette attente l’excite, elle est déjà ailleurs !
Le Marabout est sur son plan de travail et prépare une potion. Il écrase des herbes et feuilles qu’il mélange.
Il fait ensuite bouillir une partie du produit obtenu et place le reste, dans un encensoir qu’il dépose devant la table de massage. Celui-ci distille une odeur envoûtante dans la pièce.

« Tiens ! Bois, cela va faire du bien à ton dos et ta tête ! «
Martine attrape le mug d ou s’échappe une légère fumée. Elle n’est plus gênée par sa tenue ! Son mug fini, elle se laisse aller, sa tête reposée sur le matelas.

Maître Madi s’est placé à l’arrière de la table. Il lui écarte plus les jambes et les caresse en commençant par les chevilles, il attend quelques instants et remonte les jambes allant jusqu’à l’arrière de ses genoux. Ses mains sont chaudes et sensuelles. Il attend de nouveau et remonte ainsi jusqu’au haut des fesses. Il caresse l’arrondi et ne peut s’empêcher de bander. Sa queue soulève son boubou !
La respiration de Martine s’est accélérée, elle commence à gémir doucement.
La douleur, l’envie ? Ou un début de pla ...

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