(Suite de Confidence caudauliste du 18.09.18)
Vous vous souvenez de Patou, mon pote, qui m’avait fait part de cette confidence au sujet de son mal être comme hétéro, et de son attirance pour certains hommes ...
Vous vous souvenez qu’un jour pas comme les autres, afin d’offrir à sa chérie une soirée câline d’exception, il m’avait laissé le soin, à la fin de celle-ci, de baiser sa femme a sa place et à l’insu de celle-ci, à la faveur d’un bandeau sur ses yeux et d’une muse en scène très spéciale qui permit la réalisation de cette supercherie.
Quelques semaines après cette charmante soirée Patou croise un jour à la boulangerie du village un grand « dadais » qu’il avait déjà aperçu lors d’une fiesta locale.
Poussé par une curiosité toute naturelle, son pain en mains, Patou m’explique qu’il n’a pu s’empêcher de le suivre à pas de loup jusqu’a son domicile.
À cet instant Patou comprend que ce grand « niais » d’une vingtaine d’années devait habiter seul chez ses parents qui probablement étaient au travail la journée, et que peut-être ce grand gaillard n’avait pas encore de chérie à se mettre sous la dent, et que de fait son muscle d’entre jambes ne devait pas souvent être mis à rude épreuve, voire qu’il serait peut-être encore vierge.
Revenu chez lui Patou n’a plus qu’une idée en tête, celle d’obtenir de ce garçon les faveurs dont il rêve depuis quelque temps.
Mais comment faire pour attirer les regards de ce jeune « blanc bec » qui, pense t-il, ne demanderait pas mieux que de se vider les
« noisettes ». Coucou
Patou, très excité à l’idée de draguer ce type dont la silhouette lui provoquait des pulsions inavouables,
fit appel à son pote Sébastien, donc à Bibi, pour faciliter la rencontre de jeune homme tout juste sorti de l’oeuf de l’adolescence.
Après avoir eu l’avantage de profiter de sa petite chérie, il m’était difficile de refuser un tel service.
Pour favoriser cette rencontre qu’elle ne fut pas ma surprise d’apprendre que Patou était disposé à se travestir en femme fatale afin de séduire ce garçon plus aisément.
Un jour en guettant « grand dadais « 
comme l’appelait Patou, je l’aperçois sortir de chez lui avec son panier de pêche et se diriger vers la rivière vêtu d’un jean et d’un polo.
Immédiatement j’avertis mon pote qui se trouvait encore à son bureau ;
Midi s’annonçait !
Aussi Patou précipita sa pause
déjeuner pour gagner son domicile au plus vite afin de se transformer en Paty, petite nana et petite lope des plus désirable !
Perso je me rends à vélo à la rivière pour reconnaître l’endroit que le « jeunot » s’était choisi pour tâter le goujon sans me faire repérer par celui-ci.
Une fois en planque, il me reste à guider ma petite Paty vers sa cible.
Le « niais », sifflotant, avait l’air cool et semblait très appliqué aux côtés de sa canne ; de ma planque je pouvais le mater aisément avec l’aide d’une paire de jumelles que j’avais soigneusement placées dans mon sac.
Il est 13 H quand Patou, alias Paty,
se gare sur les bords de la rivière.
Dans sa tunique noire raduc mise en valeur par des bas noirs mi-cuisses Paty faisait vraiment plus vraie que nature ; sa perruque de brune et ses lunettes rondes lui complétaient son allure de petite pute qu’il était devenu.
Hors de sa voiture Paty déambulait en petits talons noirs qu’elle maîtrisait difficilement ; cependant celles-ci complétaient pas trop mal la tenue générale de mon pote devenu une jolie trav suscitant les désirs les plus inassouvis du premier quidam en quête de sensualité et de sexualité.
Part plus provocante que jamais se présente maintenant sur le pont de bois qui enjambe cette petite rivière et marque un arrêt en son milieu pour faire une pause contemplative, et surtout pour se faire voir par notre jeune pêcheur qui officiait à une centaine de mètres du pont.
Depuis ma planque je vois Part se présenter sur l’espace occupé par le gamin pêcheur.
Ce dernier fit semblant de ne pas prêter attention à cette visite surprise, mais c’est sans compter sur l’audace naïve mais réelle de mon Patou qui, en ces instants, doit semer le trouble chez ce jeune dont la vie sexuelle semblait en sommeil.
Paty ose s’approcher du jeune pêcheur pour lui adresser quelques mots, mais d’où j’étais impossible d’entendre ! Je devine que le « dadais » doit se trouver quelque peu gêné par la situation, partagé entre des pulsions bien naturelles et une certaine retenue.
Je supposais qu’il faisait la différence entre une pute du sexe féminin et un travelo qui joue la pute...
Mon pote Patou, déguisé en Paty ,
s’est installé aux côtés de celui qu’elle cherchait à séduire depuis quelque temps et visiblement une première discussion avait l’air de s’improviser entre les deux prantagonistes.
Assise aux côtés de l’autre « benêt »
Paty les jambes croisées à incité son voisin à le mater et son regard s’est fixé surtout sur ses cuisses nues, sur la partie que les bas n’enveloppaient pas, la partie qui conduit tout naturellement à la petite culotte blanche que portait mon Patou.
D’où j’étais je ne pouvais entendre les mots échangés entre eux mais je pouvais merveilleusement bien mater nos deux amis !
Et voici justement que Patou-Paty prit la main droite du niais pour la poser sur son genou droit ; le jeune-homme apparemment gêné par cette séquence qu’il n’avait pas imaginée ne refusait pas pour autant les avances de son visiteur.
En effet, en ces instants troublants j’ai aperçu la main du jeune remonter vers le haut de la jambe de mon pote jusqu’à sa cuisse nue ; cette main lui a caressé cette cuisse et puis l’autre puis les deux cuisses de Paty.
De suite j’ai deviné que cette main devait flirter ensuite avec la petite culotte à dentelle que Paty portait ce jour là et j’ai imaginé combien mon Patou a dû apprécier ces instants et ses premiers émois homo qu’il attendait depuis un certain temps.
Voila que le jeune pêcheur se préoccupait bien plus de sa voisine aguichante que de sa ligne de pêche qui ne bronchait pas trop (qui ne brochet pas trop ) !
Ses mains étaient désormais en vadrouille dans la petite culotte blanche de Paty qui visiblement appréciait les caresses de plus en plus ciblées de celui qu’il était venu draguer.
À ce niveau de cette relation Patou-Paty a proposé à son nouveau partenaire de jeu de s’occuper de lui tout en lui touchant son sexe qui sous son jinn s’était réveillé.
J’ai aperçu Patou zapper sa braguette et glisser s ...

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