Alors qu’Yvan me prodigue un anulingus de rêve, nous sommes délicatement bercés par le léger clapot qui régit au sein de cette magnifique petite anse des plus abritées des vents, des vagues et des regards. Plus la langue d’Yvan va et vient le long de ma raie et dans ma rosette, plus mon bassin se met à onduler tel un léger clapotis qui pourrait se transformer progressivement en une houle de tempête. Dans ma tête, j’imagine ce magnifique pieu qui me harponne et dont la tête pénètre en profondeur dans mon fort intérieur. Ce pieu n’est pas un harpon qui tue une baleine mais une tige dure comme l’inox marin qui procure le plaisir dans un flot de jouissance.
N'y tenant plus, je mets fin à ce 69 idyllique et je me positionne en levrette. Yvan se joue de moi et il reprend son anulingus. J’en souris mais mon cul réclame bien davantage : je ne contrôle plus mes râles ni mes mouvements de bassin. Ma voix se fait la plus rauque possible et je lui demande avec force d’envie de m’enculer au plus profond ! Il se positionne alors contre mon dos, son gland touche ma rosette et il me suce suavement le lobe de l’oreille. Il me le mordille désormais et j’en frissonne de plaisir. En même temps que sa langue s’introduit dans mon oreille, il pousse son gland en avant pour et il me pénètre avec assurance et tact. Ce petit jeune possède vraiment de la classe. J’en crie de plaisir et lui aussi alors que son corps ne lui obéit plus et qu’il se cambre brusquement en lâchant mon oreille de sa bouche et de sa langue. Son gland se dirige droit en moi, sans hésitation, sans changement de vitesse et son périnée vient buter nettement contre mon coccyx. Ses deux couilles claquent sur mon entrejambe et il stoppe son élan bien malgré lui : il aurait bien poursuivi son intrusion ! De mon côté, j’aurais presqu’aimer qu’il le fasse mais il me semble que le plaisir d’une queue aussi profondément en moi est un bienfait suffisamment agréable ; plus serait peut-être trop ! Je me sens hyper bien et Yvan aussi puisqu’il se bloque dans cette position des plus agréables pour chacun.
Il se penche de nouveau contre moi, son ventre se collant à mon dos et de nouveau il entreprend de me lécher l’oreille tout en me faisant bénéficier de mots doux tels que « ton cul est absolument génial », « je suis si bien en toi », « continue tes contractions » (il faut préciser que si je lui laisse l’initiative des va et vient en moi, j’effectue des mouvements des muscles de mes sphincters anaux qui induisent une sorte de succion de sa bite en moi comme je le ferais avec ma langue). Au bout d’un moment, je décide de changer de position car je sens que nous allons jouir prochainement et je veux le voir dans la profondeur de ses yeux. Je m’allonge donc sur le dos, remonte mes jambes qu’il place sur ses épaules et il me repénètre avec une délectation mutuelle. Nos regards lancent des étincelles de plaisir si puissantes qu’elles doivent être visibles de la surface du soleil.
Yvan me masse le rectum (je ne trouve pas de verbe qui corresponde à toutes les sensations que je perçois, à tous les mouvements de sa queue en moi et cette situation de félicité mutuelle qui nous habite actuellement). Pour rien au monde, je ne voudrais quitter cette sorte de nuage de volupté, de plaisir proche de la jouissance mais c’est inéluctable : nous allons jouir et ce sera la fin de cette folle sensation de bien-être.
Pour autant, Yvan fait preuve d’endurance alors qu’un filet de sperme coule de mon gland sur mon abdomen. Nos regards ne se quittent pas. Mes mains se promènent dans cette magnifique tignasse blonde et c’est à mon tour d’exprimer toute ma gratitude à celui qui me sodomise avec autant de classe, autant de ferveur, autant de respect, autant de douceur. Je lui indique que j’adore sa queue, qu’elle est géniale, formée pour me procurer plus de plaisir que je n’aurais jamais imaginé ressentir…
En effet, la forme de cette magnifique épée de plaisir est parfaitement adaptée aux reliefs de mon rectum : chaque fois que son gland masse mon point G, je ressens une décharge d’excitation, que ce soit quand il avance ou quand il recule. Cette fois-ci, il sort entièrement son pieu de moi et je sens une bouffée de fraîcheur me pénétrer. C’est génial ! Il m’embrasse et tout en laissant s’acoquiner nos deux langues, il me pénètre de nouveau, en toute douceur et il reprend ainsi son massage de mon point G. Je suis comme pris dans un nuage tourbillonnant de bien-être. Je suis tout au bord de la jouissance et j’embrasse fougueusement mon amant marin.
Là, ma main quitte sa chevelure, descend le long de son dos et vient se loger entre ses deux fesses. La rondelle d’Yvan est si détendue par l’excitation que mon pouce s’y enfonce directement. Je fais alors tourner mon doigt dans cette grotte de volupté et je sens Yvan qui ondule de façon de moins en moins contrôlée. Il gémit dans ma bouche et je réponds à ses gémissements par des petits cris de mijaurée sur le point de fondre de plaisir.
Il se mets alors à crier plus fort en moi et même si c’est étouffé ; je comprends très bien : « encule-moi » et au même moment je sens son pieu qui se déverse en moi dans une salve sans fin de jets de sperme bouillant de jouissance. Mon sexe qui s’était relâché, reprend du tonus et se transforme de nouveau en barre d’inox marin. Yvan se cramponne quelques instants contre moi, son harpon bien planté au fond de moi, en me regardant avec une lumière si chaude dans le regard.
Il se retire de moi. D’une main, il prend ma queue dressée il vient s’empaler sans à-coups, avec une retenue très modérée. Il se tient perpendiculaire à moi, droit vers le ciel, les jambes de chaque côté de moi. Cette fois encore nous poussons un petit cri de plaisir simultanément pendant cette douce pénétration. Il commence alors à nous faire le tangage et il passe ensuite au roulis avant de mélanger les deux dans une danse qui tourne telle une valse. Son imagination le conduit à effectuer sa danse en sens inverse et lors de ce changement de sens, nos yeux qui ne se quittent pas s’illuminent de satisfaction, de félicité. Il se relève tout en maintenant mon harpon en lui et se rabaisse, entraînant le coulissement de mon sexe en son tréfonds jusqu’à ce que ses fesses soient bloquées par mon périnée. Ses testicules touchent tendrement mon bas ventre et il semble que ça lui procure une agréable sensation.
Il fait de nouveau cou ...

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