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Voyage en side car au Maroc 13

Publié par : pierre49590 le 13/11/2024

Encore merci à mes fidèles lecteurs pour leurs bonnes notes !
Je me réveillais à la lueur du jour, je regardais aussitôt l’heure, trop tard pour que Daoud passe. Je me sentais très déçu, un peu dépité. L’évocation de Daoud et de son corps ne fit que renforcer mon érection matinale.

On tapa à la porte et je vis mon Mohammed, mon « Momo » avec le plateau du petit déjeuner.
- Je termine mon service, Monsieur, mais j’ai tenu à vous apporter moi-même mon petit déjeuner.
Même cinéma, même approche. Il me dévisage de tout le long et ne peut manquer de remarquer mon érection sous le drap.
- Je vois que Monsieur est en forme, me dit-il, très sûr de lui, fixant alternativement mon drap et mon visage, tout en réitérant son habituelle bascule de bassin.
- Je lui souris gentiment, pour une fois, en pensant que ce garçon avait vraiment de la suite dans les idées. Avec ma main droite, j’allais caresser sa bosse en lui déclarant :
- Mais toi aussi « Momo », il me semble, tout en appuyant bien sur le Momo.
-Un magnifique sourire éclaira son visage, montrant bien sa satisfaction d’avoir en fin de compte gagné. Il posa le plateau, tira lentement sur le lit en s’y affalant pour venir avaler mon chibre déjà en feu. Il s’y prenait drôlement bien, montrant bien par là son expérience. Je lui pris la tête de mes deux mains. Il se dégagea pour m’annoncer :
- Si Monsieur veut que je continue, c’est X dirhams.
Somme dérisoire. N’ayant plus à prendre des pincettes je lui demandai :
- Et pour péter le joli ptit cul de « Momo », c’est combien ?
Là encore une somme dérisoire. Nous nous mîmes d’accord. Il reprit alors son pompage avec une dextérité et une technique peu commune. Une fois qu’il estima l’engin prêt, il se déshabilla et vint s’empaler sur moi directement, d’un coup sec. Enfin, sec si je puis dire car il s’était visiblement enduit la rondelle avant. C’est un métier !
Il entama alors un rodéo de folie, s’empalant à coups violents et répétés sur ma bite raidie à l’extrême. Visiblement, il aimait vraiment ça, ce qui me stimulait encore plus ! Il alternait tellement fort et vite qu’à un moment j’ai eu peur de me péter le frein. Mais son orifice était complètement distendu et parfaitement humide. Face à moi, il me présentait visiblement tous les stigmates d’un plaisir immense, conforté par son sexe, de taille plus que respectable, en pleine tension, et se balançant au rythme de ses mouvements. D’une main, il me caressait délicieusement le torse, mon ventre et mon pubis et de l’autre, il se massait carrément les couilles. Il prit finalement son pied dans cette position, avec des râles de jouissance profonde et des jets de sperme qui allèrent jusqu’à m’inonder le visage. Je sentais que, moi, j’allais jouir en lui sous peu et j’avais peur qu’il ralentisse son rythme d’enfer. Mais je dirai « très professionnel » il le maintint pour me faire enfin jouir très fort. Il quitta alors sa position pour venir nettoyer mon sexe en le suçant parfaitement puis vint lui-même recueillir les gouttes de son sperme qui avaient inondé abondement mon ventre, mon torse et mon visage, et en profitant pour m’offrir un délicieux baiser, tout de tendresse et se sensualité.
Puis, il se lava, revint de la salle de bain avec un gant de toilette mouillé et une serviette. Et il me lava mes parties génitales de fond en comble.
Pendant qu’il repartait pour remettre tout cela au sale à côté, j’en profitais pour récupérer dans ma table de nuit la somme convenue, l’arrondissant même un peu tant mon plaisir avait été violent !
Il me surprit par la classe mise pour récupérer la petite liasse, il donnait simplement l’impression d’effleurer ma main.
- Monsieur sait maintenant que je serai toujours à son service. N’importe quand. Je peux même revenir dans la journée... Enfin quand Daoud ne sera pas là !
Et, il profita de ma stupéfaction pour s’éclipser discrètement.
Il avait donc tout compris ! Je m’en doutais un peu. Comme veilleur, il a dû voir Daoud s’infiltrer ou quitter le Riad après son passage dans ma chambre. Il a sûrement entendu même les beuglements de Daoud... Je suis même certain qu’il nous a peut-être écoutés, l’oreille collée à la porte de ma chambre... Il s’est même peut-être branlé en écoutant nos râles de plaisir...
Revigoré par cette séance de gymnastique suédoise au réveil, j’allais passer sous la douche pour prendre ensuite mon petit déjeuner.

La journée fut consacrée à l’exploration de Ouarzazate, situé tout de même à 105 km de là. Je passais, bien évidemment, par dire bonjour à mon beau Karim qui avoua, dépité, la chance que j’avais d’aller voir cette ville où il n’était jamais allé.
La route traversait des paysages arides et majestueux, ponctués de kasbahs et de villages en terre cuite. Chaque kilomètre parcouru renforçait en moi l’excitation de découvrir cette ville si prisée par les voyageurs.
À mon arrivée à Ouarzazate, je fus frappé par le contraste entre la modernité naissante et l’authenticité des lieux. La ville était un mélange fascinant de tradition et de progrès. Cependant, je fus médusé par le nombre de touristes occidentaux arpentant les rues. Leur présence, bien que compréhensible dans un tel lieu de charme, donnait à la ville un air cosmopolite inattendu. Je passai d’abord par l’incontournable Kasbah de Taourirt. Ce monument, avec ses murs de pisé ornés de motifs géométriques, témoignait de la richesse de l’histoire locale. En déambulant dans ses ruelles labyrinthiques, j’imaginais la vie d’autrefois, l’effervescence des marchés et les intrigues des cours royales.
Pour le déjeuner, je choisis un petit restaurant local où je dégustai un tajine d’agneau aux pruneaux. Le goût des épices, combiné à la douceur des fruits secs, offrait un véritable festin pour les papilles. Le propriétaire, un homme « confortable » jovial, me raconta des anecdotes sur la ville et sur la vie quotidienne des habitants. Cependant, je ne pus m'empêcher de remarquer les regards insistants de certains marchands à l'extérieur, toujours prêts à alpaguer le chaland.
L’après-midi, je visitai les souks, animés par les marchands de tapis, de bijoux et d’épices. Là encore, je fus frappé par l’insistance des commerçants et même des jeunes garçons qui me proposaient monts et merveilles. Chacun avait une bonne affaire à offrir, et leur insistance rendait l'atmosphère quelque peu oppressante. Dans une ruelle un peu plus étroite et sombre que les autres, un jeune adolescent me proposa même des massages...Je ne fus qu’à demi surpris, me souvenant de ce que m’avait confié Daoud sur les touristes occidentaux. Je pensais aussitôt également au veilleur de nuit à qui certains clients avaient proposé le bon coup !
Les couleurs éclatantes et les senteurs envoûtantes créaient une atmosphère unique. Hélas, il était difficile de profiter pleinement de l'expérience sans être constamment sollicité. J’achetai néanmoins quelques souvenirs, notamment des épices rares et une magnifique écharpe en soie pour ma mère. Je ramenai aussi un beau briquet pour Daoud et deux chèches pour Karim et Youssef.
Avant de reprendre la route, je fis un dernier arrêt au lac El Mansour Eddahbi, un réservoir artificiel qui offrait un havre de fraîcheur en plein désert. La vue de l’eau scintillant sous le soleil couchant conférait une image de sérénité qui restera gravée dans ma mémoire.
En rentrant au Riad, assez tard, fatigué mais heureux, je repensais à cette journée riche en découvertes et en rencontres. Ouarzazate, avec son mélange de passé et de futur, avait su me séduire malgré l'ambiance parfois étouffante des souks.
Je trouvais dans le hall le gardien de nuit
- Bonsoir, Monsieur. Vous avez passé une excellente journée ? Une excursion, peut-être ?
- Oui, je reviens de Ouarzazate... J’ai déjà dîné et je n’ai besoin de plus rien. Bonsoir
- Très bien, Monsieur.
Je commençais à monter les marches de pierre, leur fraîcheur contrastant agréablement avec la chaleur ambiante, quand il m’interpella à nouveau d'une voix un peu hésitante :
- Monsieur ? Je suis désolé, mais j’ai oublié de vous le dire, Daoud est passé vous voir.
Je me retournai, légèrement agacé par cette interruption.
- À quelle heure ?
- Oh, ça fait à peine une heure, Monsieur...
J'inspirai profondément, essayant de masquer mon exaspération.
- Et il a laissé un message ?
- Oui, il a dit qu’il repasserait.
Je hochai la tête, prêt à reprendre ma montée.
- Très bien, merci.
- Euh... Monsieur ?
Je me figeai une nouvelle fois, cette fois-ci avec une pointe de curiosité. Son ton avait changé, il semblait maintenant plus assuré. Je me retournai pour le dévisager.
- Oui ?
Il me fixait, son regard se plantant dans le mien avec une détermination qui me surprit. Il prit une légère inspiration avant de me notifier :
- Je me suis permis de lui dire qu’il était inutile de passer par la terrasse. Je lui ouvrirai tout naturellement la porte d’entrée, s’il se présente.
Je restai figé, absolument estomaqué par son audace. Quel culot ! Quelle assurance ! Ses paroles résonnaient dans l'atmosphère tranquille du Riad, et je me demandais si le simple épisode de ce mati ...

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