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Une chienne en chaleur dans les bois ( avec des jumeaux )

Publié par : lopepourmecs le 27/02/2025
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C’est devenu mon rituel hebdomadaire, ce soir-là, en auvergne Rhône alpes , je décide de partir en chasse, comme une bête affamée de queue. Pas de spot fixe, j’aime l’imprévu, l’exhibition là où personne ne s’y attend. Il est 18h, le crépuscule enveloppe une forêt bourrée de joggeurs, et moi, je suis prêt à faire monter la température. Mon t-shirt relevé jusqu’au nombril dévoile mon ventre plat, mon jean descendu sous mes fesses laisse entrevoir mon cul bombé, rasé de près, une invitation claire à la débauche.

Je déambule sur le sentier, provocant, aguicheur. Les regards des mecs qui passent me transpercent : certains crachent leur mépris, d’autres laissent leurs yeux traîner, troublés, excités. Moi, je joue le jeu. Dès qu’un mâle costaud croise mon chemin, je m’arrête, je cambre mon cul comme une chienne en chaleur, je le mate droit dans les yeux, puis je reprends ma marche, la démarche chaloupée, les fesses frémissantes sous le tissu tendu.
Une vingtaine de minutes plus tard, un mec me dépasse, la quarantaine bien tassée, genre ours viril. Barbe grisonnante, musculature de taureau, jambes épaisses comme des troncs, sculptées par des années de marathon ou de natation – pas un poil sur ses cuisses lisses. Son débardeur moule des pecs saillants, son short riquiqui laisse deviner une bosse prometteuse entre ses jambes. Il me lance un regard de prédateur, un sourire vicieux au coin des lèvres. Je bombe le cul encore plus fort, mais il continue son chemin. Pas pour longtemps. Quelques minutes après, le revoilà, il repasse devant moi, et cette fois, je sens que ça va se concrétiser. Ses yeux me déshabillent, sa langue passe sur ses lèvres. Sans un mot, je bifurque hors du sentier, m’enfonçant dans les bois. Il me suit, comme un loup flairant sa proie.
Dans une clairière isolée, je m’arrête. Il s’approche, massif, imposant. Ses mains calleuses se posent direct sur mon cul, le malaxent avec force, écartent mes globes charnus. Un doigt épais glisse dans ma raie, titille mon trou serré, puis s’enfonce d’un coup sec. Je gémis, déjà trempé d’excitation. Il me doigte brutalement, élargissant mon anus avec des mouvements experts. Puis il me fait pivoter, plaque sa bouche sur la mienne et m’enfonce sa langue, une pelle baveuse qui me fait tourner la tête. Il ouvre son short, libérant une queue monstrueuse : 19 cm de chair épaisse, veinée, presque glabre, un gourdin lourd qui pend entre ses cuisses musclées. Je tombe à genoux, salivant comme une pute affamée. Ma main droite le branle pendant que ma bouche engloutit son chibre. Je le suce goulûment, ma langue danse sur son gland gonflé, descends le long de sa veine palpitante, avalant son manche jusqu’à ce que mes lèvres frôlent ses couilles pendantes.
Il arrache son débardeur, dévoilant un torse de dieu grec : pecs bombés aux tétons minuscules mais durs comme des cailloux, épaules larges, biceps gonflés à bloc, un ventre plat qui plonge en V vers sa bite. Je le pompe à fond, gorge profonde, mes gloussements étouffés par sa viande. Il donne des coups de reins, me baise la bouche comme un sauvage. Au bout de trois minutes, je me relève, m’appuie contre un arbre, cambre mon cul en offrande. Il crache un gros mollard sur mon trou, étale sa bave avec son gland violacé, puis s’enfonce en moi. Sa queue massive force mon anus, centimètre par centimètre. Il s’y reprend à plusieurs fois, mais finit par m’empaler complètement. Je hurle de plaisir, mon cul s’écarte sous la pression de son engin. Il entame une baise rythmée, ses coups de reins font claquer ses couilles contre mes fesses, sa bite me remplit jusqu’au fond.
Je gémis comme une salope, et ça attire du monde. Un joggeur, la quarantaine, baraqué, barbe brune et mâchoire carrée, s’approche, hypnotisé par le spectacle. Il mate la queue qui me déchire sans capote, sort sa propre teub et se branle frénétiquement. Mon baiseur retire sa bite, dégoulinante de mes sucs, pour la lui exhiber. Le mec siffle, impressionné par le calibre. En deux minutes, il jouit, projetant des jets de sperme épais sur la queue de l’actif et sur mon cul offert. Mon amant récupère le jus avec ses doigts, l’étale sur sa bite luisante et me pénètre à nouveau, lubrifié par la semence d’un inconnu. “Le foutre de ce mec sur ma queue, ça me fait bander encore plus fort,” grogne-t-il en me pilonnant comme un marteau-piqueur. Le voyeur se barre, et lui continue de me défoncer, endurant, infatigable. Mon cul claque sous ses assauts, mes cris résonnent dans la forêt.

Alors qu’il me lime encore, deux silhouettes émergent des buissons. Je tourne la tête et découvre deux mecs identiques, des jumeaux, putain ! Mon cœur s’emballe, mon excitation explose. Blonds, cheveux mi-longs coiffés en arrière, 1,80 m de virilité brute. Le premier, barbu, a des pecs dessinés et des abdos taillés sous une chemise ouverte. Le second, moustachu, plus enrobé, arbore ...

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