Rendez-vous le soir dans un petit bar de campagne avec des musiciens du pays : biniou, bombarde, guitare et un Irish bodhran manié de main de maître par un irlandais typique (rouquin aux cheveux longs avec les yeux déjà rougis par l’alcool : pire qu’un breton pur beurre). Une superbe irlandaise les accompagne au chant, de sa voix cristalline. Ils enchaînent les morceaux plus entraînants les uns que les autres et enchaînent aussi les bières que nous leur offrons chacun notre tour. La chanteuse me fait les yeux de biche et je ne suis pas insensible à son charme, surtout à sa voix qui me retourne : j’ai des souvenirs de prime enfance, quasiment des sensations fœtales et c’est génial. Elle me colle de plus en plus et à l’occasion d’une pause, elle vient s’assoir sur mes genoux pour engloutir sa bière avant de me rouler une pelle de rêve. Ce qu’elle est belle, décomplexée et douce comme sa voix !
Fin de la pause, elle quitte ma bouche et ma langue pour retourner avec les musiciens comme si cet intermède n’avait pas eu lieu. Les morceaux se suivent avec des plinns, des jigues, des gavottes, des complaintes irlandaises et même des gwerz que l’irlandaise est capable de chanter en même temps que le guitariste. Elle s’appelle Sorcha, elle est bilingue. A chaque pause, elle vient me rejoindre et nos baisers langoureux se font de plus en plus de braise. Elle est fine, à la poitrine bien proportionnée et mesure dans les un mètre soixante-dix. Ses lèvres sont fines, ses yeux coquins sont d’un vert intense (l’Irlande en concentré). Ses mains sont fluettes et douces comme ses lèvres. J’ai à la fois hâte de me retrouver avec elle après la soirée et plaisir à m’enjouer de la situation musicale actuelle.
Une pause un peu plus longue que les autres et Sorcha m’invite dehors pour fumer un petit joint. Elle me faisait déjà tourner la tête (en plus des bières) mais là, le plancher des vaches tourne autour de moi. Elle me soutient et me dépose à l’arrière d’un van tout en m’embrassant chaudement. Elle m’indique que je peux rester là tranquillement et qu’elle ne va pas tarder à me rejoindre. J’entends la musique qui reprend sa place dans le bar et mes paupières sont si lourdes qu’elles se ferment.
Je ne sais pas combien de temps s’est écoulé mais je me réveille, dans le lagen (dans le brouillard pour traduire en français) et je me trouve dans une chambre où je reconnais certains musiciens du bar. Les sonneurs de bombarde et de biniou sont en train de se rouler une pelle tout en se pelotant de partout alors que Sorcha déshabille Ruan, le joueur de bodhran, tout en lui dévorant la quéquette. Ruan voit que je sors de mon sommeil et il l’indique à Sorcha. Ils s’approchent tous deux de moi et tandis que Sorcha se penche vers ma braguette, Ruan approche sa bouche de la mienne. Je me sens flotter et peine à comprendre la situation. Pour autant je ressens une forte excitation sexuelle. Ma bite se tend avant même que Sorcha ne la sorte de ma braguette. Sa main passe sous mes couilles et vient caresser ma raie en s’attardant sur ma rosette. Elle y introduit rapidement un doigt et je sens ma queue qui se raidit davantage encore.
Ruan me déshabille le haut et vient pincer mes tétons qui se durcissent comme ma queue. Sorcha m’a débarrassé du reste de mes vêtements et je suis nu comme un ver. Elle ajoute un deuxième doigt au premier dans mon tréfonds et tout tourne autour de moi : je suis sur un nuage qui virevolte autour d’un axe qui se situe au niveau de ma rosette. J’embrasse Ruan avec fougue et mon bassin o ...
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