A la fin des années 90, à Lyon, j'avais bientôt 30 ans et je n'avais pas encore eu d'expérience gay. J'étais hétéro, sans attirance particulière pour les hommes.

En rentrant chez moi, dans le quartier de Gerland, j'observais régulièrement un curieux manège de voitures qui descendaient sur les bas-ports des quais du Rhône, qui étaient à l'époque totalement accessibles aux véhicules. Poussé par la curiosité, je m'aventurais un soir vers minuit à la suite de deux véhicules pour en découvrir plus. Sur les bas-ports, en contrebas de la route et à proximité du Rhône, se tenait un curieux ballet : des voitures allaient et venaient, certaines étaient arrêtées, on apercevait également quelques silhouettes masculines à proximité de certains véhicules à l'arrêt. Quelques passages, 2-3 soirs de suite, me donnèrent l'occasion de voir que certains de ses hommes, debout près de la portière d'un véhicule, avaient sortis leur sexe de leur pantalon et se masturbaient.

Émoustillé par ses visions, je ne pouvais plus m'empêcher d'y retourner régulièrement. Un soir, au lieu de me contenter d'aller et venir au volant de ma voiture, j'arrêtais mon véhicule, coupais le moteur et les phares et attendais ainsi dans la pénombre. Seul dans mon véhicule, mon cœur battait fort. Je n'attendis pas très longtemps un premier visiteur. Venu à pied sur les bas-ports, il s'arrêta à la hauteur de ma fenêtre conducteur. Je n'apercevais pas son visage mais, très vite, c'est son sexe qu'il extirpa de son pantalon pour se masturber qui s'imposa à moi. Sans réfléchir, je défis la braguette de mon pantalon pour en faire de même. En quelques minutes, nous jouîmes tous deux chacun de son côté, lui éjaculant par terre, moi dans un mouchoir en papier. Je me dépêcha alors de redémarrer et de partir, un peu honteux.

Je mis 2-3 semaines à revenir, mais j'étais obsédé par la vision de ce sexe éjaculant et par le plaisir ressenti par mon exhibition. J'y retourna donc, un soir de début d'été où la chaleur était des plus agréables. J'arrêta ma voiture au même endroit et attendis. Après le passage de quelques véhicules qui ralentirent sans s'arrêter, un autre homme vint à pied près de ma porte conducteur. Cette fois, c'est moi qui entama les débats. Je baissais rapidement mon short et mon caleçon à mes pieds, dévoilant mon sexe déjà bien raide. Je me masturbais ainsi devant cet homme qui ne faisait que me mater. Assez rapidement, il tapa à ma vitre pour me demander de la baisser... ce que je fis après un temps d'hésitation. Sa main se dirigea alors vers mon sexe pour commencer à le branler. Il me masturbait avec toute la douceur et la vigueur nécessaire et je fus rapidement prêt à éjaculer. C'est alors qu'il chercha à ouvrir ma portière. Aux portes du plaisir, je lui ouvris ma porte pour lui permettre de poursuivre sa branlette. Il redoubla d'ardeur et, me sentant proche de jouir, il remonta mon tee-shirt pour me faire gicler sur mon ventre. Mon sperme se répandit en longs jets blanchâtres sur mon ventre, laissant mon corps secoué par des saccades de plaisir. Il disparut rapidement avec un sourire.

Dans les jours qui suivirent, je ne pus m'empêcher d'y retourner régulièrement, enchaînant les expériences. Nous nous masturbions parfois chacun de son côté, la fenêtre ouverte. Parfois des hommes se décidaient à prendre en main mon plaisir. Juste avant de partir en vacances, je savais que je ne reviendrai pas tout de suite et j'étais particulièrement excité. Après avoir arrêté ma voiture, j'enlevais rapidement tous mes vêtements pour me mettre complètement à poil dans ma voiture. J'étais nu en pleine ville mais à l'écart des regards. J'étais très excité par ce penchant exhibitionniste qui s'éveillait en moi. Rapidement, 3 hommes vinrent près de ma voiture pour me mater. Je n'avais jamais connu pareil public. Je me masturbais alors sans pudeur, leur présentant mon sexe bien raide, m'allongeant sur les 2 sièges de devant et écartant les cuisses. 2 hommes avaient sorti leur queue pour se branler, le troisième cherchait à ouvrir la portière conducteur. Je lui permis de le faire. Il vint alors me branler vigoureusement en me disant "tu aimes t'exhiber hein, petite salope". Dans un soupire, je répondis "oui" et, tout en continuant à me branler, il glissa un doigt vers mon petit trou pour me doigter. "Écarte les fesses", m'ordonna-t-il avec autorité. Tout en me branlant, il faisait aller et venir un de ses doigts dans mon anus qui s'ouvrait doucement. Je fus rapidement assailli d'un plaisir inédit, décuplé par ce premier plaisir anal, et me répandis en longs jets de sperme sur mon ventre. Tout en s'essuyant les doigts sur mon ventre, il se retira, non sans avoir échanger un "il aime ç ...

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