En plus de mes visites régulières dans les sex-shops de la ville, j'entretenais une liaison avec un mâture d'une quarantaine d'années sur un site de rencontres entre hommes. Après quelques échanges de SMS, nous décidions de nous rencontrer en extérieur pour faire connaissance. Impossible pour moi de ramener un mec chez mes parents (vous vous doutez bien pourquoi) et lui semblait traverser une période difficile puisque qu'il logeait temporairement chez une amie à lui. Après m'avoir donner l'adresse, j'allais le chercher devant la maison où il cohabitait en attendant de trouver un chez lui. Patientant dans la voiture, je me demandais si je n'étais pas en train de faire une bêtise. Même si il semblait charmant lors de nos échanges virtuels, sa situation semblait chaotique. Heureusement que mes parents n'étaient pas au courant de mes escapades sexuelles hasardeuses. J'aurais certainement eu droit à un sermon sur le fait qu'on ne doit jamais faire confiance à des inconnus. Que j'étais un inconscient doublé d'un dépravé.
J'envoyais un SMS pour signaler mon arrivée et attendit sagement espérant ne pas être déçu en le voyant pour la première fois. Jean-Michel (le nom à été modifié) sorti de la maison et se dirigea vers mon véhicule. Trop tard pour faire machine arrière. C'était un homme plutôt râblé, cheveux châtain clair au physique plutôt agréable. Je déverrouille les portes pour le laisser entrer.
"_Salut, merci d'être venu me chercher. Je n'ai plus de voiture en ce moment."
Plus de maison, plus de voiture. Il semblait vraiment avoir des problèmes dans la vie pour être démuni de la sorte. Une vraie situation de sans papier me suis-je dis au premier abord.
"_De rien, heureux de faire ta connaissance."
Je ne savais pas trop si je devais lui faire la bise ou lui serrer la main. Dans le doute, je m'abstiens de toute effervescence. Tout aussi intimidé que moi, il semblait lui aussi un peu sur la réserve .
« _Tu es mignon. Se lança t-il.
_Merci, c'est gentil.
_Et toi comment tu me trouves? Tu n'es pas déçu ?
_Non, non, ça va. Enfin je veux dire, tu es bien. Tel que tu me l'avais décrit. »
Confus, j'arrêtais de m'enliser dans les méandres de ma maladresse. En fait, sans être beau je le trouvais séduisant.
« _Merci d'avoir attendu dans la voiture. Je ne voulais pas mettre mon amie mal à l'aise.
_Pas de soucis, elle sait que tu aimes les hommes ?
_Oui, elle est au courant mais je ne veux pas la déranger et il y a ses enfants. C'est compliqué.
_Je comprends. Pas facile quand on a pas un chez soi.
_Tu vis toujours chez tes parents ?
_Oui, c'est pas toujours simple mais tant que je ne suis pas autonome financièrement je n'ai pas trop le choix.
_Tu m'as beaucoup excité avec tes messages, tu sais. J'étais impatient de te rencontrer. »
Il se pencha légèrement et tenta une bouquette. Un baiser sage, doux, plein de retenu et de tendresse. Voyant que je ne m'étais pas défilé, il réitéra sa tentative. Cette fois-ci, je lui rendis son baiser de la manière la plus explicite possible. Mes épaisses lippes ourlets aspirant sa langue dans un tourbillon de désir trop longtemps refoulé.
« _Waouh, tu embrasses super bien! »
Jean-Michel semblait abasourdi de mon engouement. Dans ma voiture encore garée sur le bas côté, nous nous embrassions sans retenue comme un jeune couple faisant fi d'éventuels badauds qui auraient pu nous apercevoir.
« _Tu voudrais aller où ?
_On pourrait peut-être aller jusqu'à l'aérodrome. C'est plutôt tranquille à cette heure et c'est pas très loin d'ici. »
En cette fin de journée, le soleil couchant à l'horizon propageait une étrange aura colorée mêlant l'orange persistant au violacé crépusculaire. L'aérodrome était désert tout comme les parkings adjacents. Les avions étaient remisés dans les hangars, les pilotes et les visiteurs dans leurs pénates. Je me garais sur un emplacement en bordure du bois qui jalonnait la piste de décollage. Après avoir prestement débouclé notre ceinture de sécurité, je débouclais celle de son pantalon. Jean-Michel me laissa faire un peu ahuri de la tournure rapide que prenait cette virée champêtre. Je sortis son sexe et le goba avec une irrépressible avidité. Alors que je le suçais sentant sa verge gonflée dans ma bouche à chaque lampée. Il me dit d'arrêter, qu'une voiture déboulais sur le parking. Et si c'était la police ? Apparemment ils faisaient souvent des rondes dans le secteur.
« _Arrête, on va se faire repéré.
_Mais non, t'inquiète pas. Il fait trop sombre maintenant. »
Je me redressais les lèvres suintantes de luxure et vis nos visiteurs impromptus se garer à l'autre bout de l'allée. Sans doute était ce un couple en quête d'intimité, pas de quoi s'affoler. Nous n'étions sûrement pas les seuls à venir ici pour baiser en paix.
« _On devrait pas faire ça dans la voiture. Il risque d'avoir du passage. Et la police patrouille souvent à l'orée du bois. Je voudrais pas finir la nuit au poste pour exhibition.
_Tu as l'air très au fait du trafic nocturne environnant. Tu viens souvent ici avec des mecs?
_On devrait aller dans le bois. On serait plus tranquille. »
Ce n'était pas vraiment la réponse que j'attendais mais je le suivais tout de même à travers les frondaisons en essayant de ne pas m'écorcher à une branche ou aux orties. Il me plaqua soudainement contre le tronc d'un arbre et m'embrassa avec une fougue sauvage. Dans une telle situation, tout pouvait arriver. Il aurait tout aussi bien pu me rouer de coups et me détrousser. Mais il resta doux et charmant comme il l'avait été jusqu'à présent. Je m'agenouillais calé contre l'écorce et repris ma fellation. C'était la première fois que je faisais ça en pleine nature et trouvais cela très excitant.
« _Arrête sinon je vais jouir trop vite. »
Je me relevais, baissais mon pantalon en me tournant face à l'arbre pour lui présenter mes fesses rebondies, telle une jument prête pour la saillie. Il présenta sa morille de chair contre mon anus, chercha l'entrée dans l'obscurité et poussa pour s'introduire en moi. Tel des animaux, nous nous accouplions en pleine forêt. Jean-Michel m'enculait en braillant comme une bête sauvage. Il me tamponnait comme un mâle le ferait avec sa femelle. Sans considération, ni espoir de procréer. Juste pour se vider les couilles. D'une main, il m’agrippait la queue tout en me fourrant le cul.
« _Mais tu bandes, mon salaud ! »
Alors qu'il me défrichait les entrailles, il commença à me traire comme une génisse. M'agrippant au tronc d'arbre rugueux, je subissais les assauts frénétique de cet étalon en rut. Sous les cimes de la forêt qui se paraît de son voile nocturne, nous étions redevenus des primates soumis à nos pulsions ancestrales. Jouissant de concert sous la lune gibbeuse surplombant nos corps soudés par le plus élémentaire des rituels; la pulsion sexuelle à l'état brut.
Après m'avoir inséminé et purgé, nous regagnâmes le parking. Ne voulant pas nous quitter tout de suite, je proposais à Jean-Michel de venir boire un verre dans un bar privé situé dans le centre-ville. C'était un endroit réservé à la communauté gay, mais je n'y avais jamais mis les pieds. Sans doute la peur d'être reconnu ou d'être catalogué d'homosexuel. Malgré tout, j'avais toujours eu envie d'y entrer. Et comme l'occasion fait le larron; pourquoi pas ce soir. Le fait d'être accompagné faisait sauter toutes mes réticences et mes a priori. Le lieu était plutôt exigus, éclairé par des Leds et des néons diffusant une lumière bleutée surréaliste. L'ambiance était calme et détendue. On nous servi un cocktail sans alcool pendant que Jean-Michel s’épanchait sur les causes de sa vie dissolue. Du coin de l'œil, un mec assis au bar n'arrêtait pas de nous mater. En fait c'était surtout moi qui semblait l'intéresser. Peut-être voulait-il m'offrir un verre puis descendre avec moi au sous-sol dans la zone réservée aux fumeurs. Je suis certain qu'il devait s'en passer de belle dans ce genre d'établissement. Après avoir finit nos verres, je reco ...
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