Fin des vacances.
Quelques jours après la rentrée, entre les cours, je vais aux toilettes pisser.
En pissant, j'entends quelqu'un faire du bruit dans une cabine.
Je vais me laver les mains et je vois 2 pieds dans la cabine la plus éloignée.
Celui-là, il n'est pas en train de pisser, je ne l'entends pas. Il doit se branler.
Je rejoins mes camarades en gardant un œil sur l'entrée des chiottes.
Un instant plus tard, je vois petit gros en sortir.
30 secondes après, c'est un blondinet qui en sort.
merde! Je n'ai vu que 2 pieds!
Entre midi et 2, je les vois discuter à côté du distributeur de boissons.
Je vais prendre un café pour écouter leur conversation.
Je n'entends pas tout, mais ça à l'air d'une discussion banale.
J'entends quand même leurs prénoms : Denis pour le gros, Patrick pour le blond.
Deux jours plus tard, le même manège.
Pourquoi ne sortent ils pas en même temps? S'ils n'ont rien à se reprocher, y'a aucun mal. Ça arrive à tout le monde d'aller pisser avec un copain et en sortir en même temps, quitte à tenir la porte pour le suivant.
Puis je ne les vois plus ensemble.
Le blondinet, je sais qu'il habite sur ma route.
Une fin d'aprem, après les cours, je vois Patrick à la sortie, une vingtaine de mètres devant moi.
À un moment, il se baisse pour refaire son lacet.
Il se relève quand j'arrive à sa hauteur.
On discute en fesant le bout de chemin qui nous sépare de chez lui.
- t'habites ici?
- ouais!
- c'est chouette!
- tu veux enter 5 minutes?
Il me fait entrer, je remarque un superbe canapé en cuir blanc et 2 fauteuils assortis, ainsi qu'une chaîne hi-fi.
Il me fait visiter la chambre de sa petite soeur, celle de ses parents,et la sienne en dernier.
Un de 120 de large, un armoire avec une glace qui fait office de porte, et un bureau avec une petite télé et une console atari, l'ancêtre de ce qui sera des décennies plus tard la Playstation.
Il va pisser.
Sous un tas livres, j'en vois un en papier glacé.
Je soulève le tas, et je vois la photo d'un mec en maillot de bain, dans une position équivoque.
De l'autre main, je soulève des pages, que des images de mecs.
Je l'entends tirer la chasse. Je repose tout.
On se rend compte qu'on ne sait pas présentés.
Après l'échange de prénoms, je lui demande depuis combien de temps il connaît Denis.
- qui ça?
- le petit gros qui discutait avec toi, devant le distributeur de boissons, l'autre jour!
- ah lui, c'est qu'un con!
- pourquoi?
- bof! Laisse tomber?
Un petit silence, puis
- tu le connais?
Je tente
- ouais, mais je ne l'aime pas!
- ah ouais? Pourquoi?
- quand j'étais plus petit, il arrêtait pas de me toucher les fesses!
- ah merde! Pourquoi?
- j'en sais rien! Pour me faire chier. Surtout qu'il le fesait devant tout le monde.
- ah ouais, la honte.
Il remarque que son roman photos dépasse.
Il se lève pour bien le ranger en fesant de sorte que je ne vois pas.
J'ai peur qu'il comprenne que c'est moi qui l'ai bougé.
- bon, je file.
- ouais, moi je dois aller chercher ma petite sœur à l'école.
Il ferme la porte à clé.
- tu veux repasser, mercredi?
- ouais! Pourquoi pas?
On se revoit de temps en temps entre les cours, mais juste le temps de se dire bonjour ou une courte discussion.
Mercredi midi, il m'attend dans le hall, juste avant la porte de sortie.
On prend la route.
Arrivé devant chez lui.
- tu viens?
- je vais manger d'abord!
- ta mère t'attend?
- non, mais...
- viens, on partage.
On pose nos sacs dans sa chambre et il file pisser. Il pisse souvent lui! Et il va se laver les mains.
J'ai le temps de remarquer que son livre n'est plus là.
+ On va manger?
- on n'attend pas ta petite sœur?
- non elle mange à la cantine. J'irai la chercher après.
Un peu de charcuterie, les restes de la veille, puis on retourne à sa chambre.
- on fait une partie de tennis?
Il allume la télé, sa console, attrape les manettes et on s'assied sur le bord du lit.
Il me met raclée sur raclée. Il a l'habitude de jouer.
- heureusement pour toi qu'on joue pas aux gages.
- quel genre.
- je sais pas, de l'argent!.... Ou au déshabiller!
- putain, j'aurais fini à poil!
- ah ouais! Et vite fait!
On sourit sans rien dire!
- je peux voir tes bouquins?
Je fais semblant de les regarder, je cherche son roman photos.
Je finis par le trouver. Il s'en rappelle.
- ah putain, celui-là, je croyais que c'était un livre de musculation.
- et c'est quoi?
Je commence à tourner les pages. Il y a des mecs bien musclés, en maillot de bain, mais qui montrent surtout leur derrière.
- tu veux faire de la muscu?
- j'y ai pensé!
- pourquoi? Tu es bien comme ça!
Je vois qu'il tend la main pour le retirer.
- attends!
Il rougit.
Les mecs sont nus à partir de quelques pages, puis sont deux par deux.
- s'il te plaît, repose-le.
J'obtempère pour ne pas plus le gêner.
- c'est ça qu'il voulait te faire, Denis?
- il hoche la tête, toujours rouge.
- tu l'as sucé?
Silence.
- il t'a enculé?
Il secoue la tête pour dire non
- c'est pour que tu lui parles plus ?
Silence.
Je lui appuie la tête contre mon épaule et lui caresse amicalement la sienne.
- t'es pas le seul!
Il relève la tête et me regarde étonné.
Je regarde ses yeux verts, puis je tente.
Je lui passe la main sur la nuque et je colle mes lèvres sur les siennes.
Il a d'abord le réflexe de me repousser, puis se laisse faire.
J'enfonce ma langue dans sa bouche tout en l'allongeant sur le lit.
Je me mets entre ses jambes et je frotte mes parties contre les siennes.
On commence à bander. Je relève la tête pour admirer ses yeux. Il les ferme de suite.
- ne me regarde pas!
Dans un sourire gêné.
Sans rien dire, je commence à déboutonner son pantalon.
La porte d'entrée s'ouvre.
Je me mets de suite debout et il se reboutonne rapidement.
- pourquoi t'es pas venu me chercher?
Sa sœur!
+ Flûte, j'ai pas vu l'heure! Pardon!
Elle se frotte les yeux. Il fait une grosse bise.
- tu me pardonnes?
- ouiii!
- je t'aime!
Ils serrent dans les bras.
On l'amène à la cuisine, il lui sert un verre de lait et un morceau de cake.
- bon! Je vais rentrer!
Il me raccompagne à la chambre récupérer mon sac.
Il me fixe avec ses beaux yeux.
- tu finis à quelle heure demain?
- à 3 heures. Et toi?
- merde à 5 h. Tu repasses mercredi prochain?
- ok!
Le lendemain matin je le croise. On discute un peu mais il à l'air ailleurs.
- ça va?
- oui oui!
- tu t'es fait allumer par tes vieux?
- noon!
Je ne le force pas à me dire son problème. Après tout, il ne me doit rien, on se connait à peine.
Entre midi et deux, j'ai beau le chercher, je ne le vois pas.
Il doit être dans un coin, la tête dans son ou ses soucis.
15 h, je rentre chez moi.
Il m'attend devant sa porte, en short.
Il me raconte qu'il a simulé un mal à la tête et s'est frotté longuement le front pour faire croire qu'il avait de la température. L'infirmière lui a donné un bon de sortie.
- t'es un malade!
On va à sa chambre et il allume la console.
- on fait une partie de tennis?
- avec un gage, je parie?
Il hoche la tête en souriant.
J'admire son sourire et ses beaux yeux verts.
En me déshabillant,
- c'est bon! J'ai perdu!
Je me fous carrément à poil
Et je m'assieds sur le bord du lit.
Il est assis à genoux devant moi et me regarde droit dans les yeux.
Je passe la main sous ses cheveux, puis je le tire par la nuque pour coller nos lèvres.
Je ne suis pas encore expert en galoche mais je me débrouille mieux que lui.
Petit à petit, on est allongés en travers du lit.
Je lui enlève son tee-shirt.
Il se frotte entre mes jambes et je sens qu'il durcit.
Je passe la main sous son short, il n'a rien dessous. Je le baise doucement ...
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