J'ai raconté comment j'étais devenu l'amant d'un ouvrier de 50 ans quand j'en avais 22.
Albert était l'amant d'un copain ou rire de mon âge. Celui ci le suçait mal et Albert venait dans nos séances de branle pour trouver un meilleur suceur.
J'aimais sucer, je gobais les boules, je glissais ma langue entre le prépuce et le gland, je mordillais le frein, et lorsque le jus partait, je le machais en bouche et l'avalais.
Albert avait vite trouvé son bonheur avec moi, et il m'avait choisi pour remplacer Michel, mon copain qui couchait avec lui.
Albert avait voulu m'enculer dès le premier soir dans son lit mais ma rondelle n'était pas prête. Il m'avait mouillé, lubrifié, écarté mais son gros zob poilu n'était pas rentré au delà de la moitié du gland.
Énervé, Albert m'avait foutu son chibre dans le bec et m'avait baisé la bouche en appuyant sur la tête. Son jus était parti dans ma gorge, il m'avait fait lécher et essuyer son gland sans un mot .
Demain elle rentre m'avait il dit en me foutant à la porte.
Albert était le premier à me prendre, aucun copain n'avait essayé.
Le lendemain en sortant de l'usine j'hésitais entre aller me branler avec mes potes ou aller chez Albert.
Je n'eu pas à réfléchir longtemps. Albert me fit signe de m'approcher de lui et me dit haut et fort, Tu viens, petit pédé ?
Rouge de honte devant mes copains et surtout devant Michel, je pris mon vélo et le suivi discrètement.
Arrivé chez lui, Albert m'attrapa, m'embrassa goulûment sur la bouche et me serra fort les fesses en appuyant deux doigts au milieu, ce qui ne laissait aucune ambiguïté sur ses désirs.
Il ouvrit son bleu de travail, ôta son pantalon, son slip blanc à poche était tendu et mouillé.
Suce moi , je suis trop excité me lança t il en sortant son gros membre de son slip.
Son pieu sentait l'homme, la sueur, l'urine, ses poils étaient collés. Il se décalotta avec deux doigts et me fit avaler son gland visqueux puis toute sa hampe.
D'envie, je le suçais de toutes mes forces. Il ne lui fallu pas plus de 5 minutes pour me lâcher son foutre épais et gluant. Il en lâcha tellement que j'en recrachais la moitié dans mes mains.
Ben alors mon chéri, t'as pas faim en sortant du boulot me dit il en rigolant.
Viens la essuie toi sur mon slip, viens à la douche avec moi.
Sous la douche, il se montra plus câlin, plus prévenant, mais ses doigts tournaient autour de mon rond, dans la raie fessière, Son intention ne flechissait pas.
Bien lavés, nous avons bu une bière sur son canapé, en mode câlins, bizoux, je n'avais pas joui, il ne me proposa pas de me branler pour que je reste excité. Lui rebandait, il se tripotait le gland pour vérifier la montée de son érection.
Quand il se sentit au top, il m'emmena vers son lit, me mis sur le ventre, un coussin sous le ventre, les fesses en l'air, le trou offert.
Tiroir, vaseline, petit gode puis plug. J'allais y p ...
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