La vie nous réserve parfois des moments surprenants et bien agréables.
Il est 11h30 ce matin là lorsqu'on sonne à ma porte.
J'ouvre.
Devant moi se tient un jeune homme d'une 30aine d'années au maximum
Il est grand, mince, brun, légèrement mat de peau et d'emblée je le trouve assez beau mais je m'interroge surtout sur le motif de sa venue.

Il passe pour vérifier les radiateurs de tous les appartements de l'immeuble afin d'y installer je ne sais plus quel appareil qui me permettrait de faire des économies d'électricité.
Ça ne m'intéresse guère mais il souhaite entrer pour me convaincre. Il insiste un peu, m'explique en deux mots l'intérêt de sa proposition, il ne me prendra que quelques minutes de mon temps, et comme il est persuasif, eh bien... je me laisse persuader et je lui ouvre grand ma porte pour le laisser entrer et le guide vers mon séjour.
Je lui indique la table devant laquelle il va s'asseoir.
Vite fait, tout en le priant de m'excuser pour le désordre ambiant, je débarrasse un peu devant lui les piles de papiers entassés afin de lui réserver un espace où poser son questionnaire.
Mon nom, mon prénom, diverses informations sur mes habitudes de chauffage... Tout y passe !

"Vous habitez seul ?"
Oui j'habite seul.
Il note tout.
Et comme je me désole alors de le recevoir au milieu du désordre :
"C'est sans importance !" me dit-il et il continue :
"C'est juste dommage si vous voulez faire venir une femme !... Ou un homme !?".
Je lui réponds par un simple sourire.
Il insiste :
"Homme ou femme ?"
Je montre mon étonnement par un regard interrogateur.
" Alors ?... lequel ?"répète-t il.
Décidément ce mec me surprend !
Mais après tout, pourquoi ne pas lui répondre ?
"Les deux !" lui dis-je.
"Moi aussi !..." et il continue "et là maintenant vous n'avez envie d'essayer ?"
Et devant mon air dubitatif... "juste une pipe !... ça reste entre nous bien sûr".
Je ne refuse pas mais je dissimule mal ma stupéfaction.
Il se lève alors sans attendre et vient se poster devant moi en ouvrant la braguette de son jean dont il sort sa grosse queue déjà turgescente.
"Touche-la ! Aller... vas-y... c'est pas une blague... aller"
Il est devant moi. Malgré ma petite hésitation je m'en empare.
Sa queue est douce et épaisse. Elle me rempli largement la main. J'envie ce don généreux, très généreux ! de la nature.
"Elle te plaît ?"
J'acquiesce d'un hochement de la tête.
"Tu vas me sucer ! Aller... viens" me dit-il en regardant autour de lui pour savoir où s'installer.
À ce moment, j'envie aussi son assurance.
Je lui indique alors ma chambre vers laquelle il se dirige alors en commençant déjà à extraire son tee-shirt de son pantalon et à déboucler son ceinturon.
Devant mon lit, il se met totalement nu, pantalon, boxer, chaussures... tout ! et il s'assied sur le bord du lit, prend appuie derrière lui sur ses coudes et écarte les jambes.
Je m'agenouille sur la moquette, entre ses cuisses. Je m'empare de son gros sexe et lui caresse les couilles mais je n'ai guère le temps de prolonger ce moment.
"Aller... Suce-la maintenant !"
Son injonction me sort de mon adoration. Sa queue est un sceptre royal qui signe sa virilité.
J'engloutis son gland, lèche la hampe sur toute sa longueur, passe ma langue sur la grosse veine bleutée qui sinue sur son sexe épais et reviens sur son gland qui, déjà, laisse suinter son liquide séminal.
Cristal liquide et lubrifiant lui permettant de se glisser jusqu'à ma gorge.
Une fois de plus, il m'interrompt en repoussant doucement ma tête et se met sur le ventre.
"Masse-moi un peu !"
Je suis un peu déçu de ne pas pouvoir prolonger ma pipe et la délicieuse sensation de ses premières sécrétions. Mais je veux lui plaire et sa demande me permettra de lui montrer mes talents de masseur.
Je me positionne à cheval sur lui et lui prodigue la détente qu'il souhaite.
Sous mes doigts, ...

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