Maxime, Johan, Jules et moi partageons de joyeux moments des plus hot. Une complicité s’installe même et nos officiers de bord commencent à manquer de sommeil car ils sont insatiables. Jules et moi pouvons faire une sieste l’après-midi mais pas eux. La fin de la croisière approche et nous avons envie de finir le feu d’artifice par un superbe bouquet final.
Alors que j’ai plus de mal que Jules à émerger de la sieste, il part sans moi à la piscine tandis que je me prélasse dans ce lit king size des plus confortable. J’entends la porte de notre cabine qui s’ouvre et je crois que c’est Jules qui a oublié quelque chose. Du coup, je lui fais la surprise de lui proposer mon cul en levrette, à quatre pattes sur le lit, en fourrant la tête dans l’oreiller.
Aucun mot mais une main qui caresse ma raie sur toute sa longueur, suivie d’une langue. Je me dis que l’après-midi commence des plus chaudement même si quelque chose me perturbe l’esprit. En fait, Jules agit d’une façon innovante : jamais il ne m’avait léché de cette façon. Sa langue me semble plus large qu’à l’ordinaire et elle s’échappe parfois de ma raie pour goûter mes fesses sur toute leur largeur. Ses mains ne me prennent pas les hanches, elles les caresses comme pour en découvrir les contours et la douceur. L’une d’elles passe sous mon périnée et prend à la fois délicatement et fermement ma queue pendouillante. Avant que cette dernière ne cesse de pendouiller, il soupèse délicatement mes testicules et les malaxe d’une façon très sensuelle. Ma queue prend du volume sans encore tendre mon gland contre mon nombril. Sa main revient sur mon gland et me branle avec un savoir-faire que je découvre chez Jules. Est-ce Johan ou Maxime qui l’a initié ?
Sa langue se concentre désormais sur ma rondelle et tourne autour sans taper au centre de la cible. Je suis de plus en plus excité. Pensant à un nouveau jeu de la part de Jules, je ne dis mot et le laisse agir selon ses plans. Je sens qu’une bonne dose de bave visqueuse entoure mon anus et de façon soudaine, un pouce entre en moi d’un trait. La surprise est totale. Sur le coup, je ressens une très légère douleur des plus furtives et l’excitation est telle que je dandine du cul pour que ce toucher rectal devienne le plus jouissif possible. Le pouce avance et recule sans jamais sortir de moi et il tourne en tout sens. Mon cul oscille de plus en plus et j’ai de plus en plus de mal à ne pas intimer à Jules de me remplir le cul.
Le pouce sort et c’est la langue qui le remplace : droit devant telle une flèche et avec une force que je ne connais pas à Jules, elle parvient à s’élargir et à m’élargir la rondelle également. Cette fois, je n’ai plus de doute : ce n’est pas Jules qui me travaille le cul ! Mais qui ? Je demande : « Johan ? Maxime ? ». On me répond : « Non, c’est Kevin, le garçon de cabines. Votre position n’était pas équivoque. Et… et je vous ai regardés en action avec votre mec et les deux officiers… et je sais ce que vous aimez par-dessus tout. »
Sur ce, il me retourne comme une crêpe et présente sa matraque contre ma bouche. Je regarde vite fait et découvre un joli calibre qui me fait encore plus frétiller du cul en l’imaginant en moi. Je vois le joli minois de ce petit jeunot, blondinet des plus craquant dans sa tenue officielle. Bien entendu, je gobe par reflexe cette queue qui se présente à moi et je regarde Kevin avec un air malicieux tout en le pompant avec autant d’application que la surprise qu’il me procure à l’instant. Je vois dans ses yeux le plaisir qui monte en lui et je m’applique à lui faire atteindre les sommets : je lèche ...
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