C'était par un bel après-midi du mois de juillet, après le déjeuner où nous décidâmes d'aller nous reposer. Nous étions alors jeunes adolescents en colonie et nous dormions à cinq sous une tente. Cet après-midi là, nous étions trois à avoir décider de se détendre un peu, arrêter de bouger, de s'activer. On désirait simplement s'allonger un peu pour être au calme pendant l'heure environ où nous pouvions faire ce que l'on voulait. Mes deux camarades s'étaient assis l'un à côté de l'autre et moi, je m'étais allongé. Peu de temps après, je vis un de mes camarades poser sa main sur la cuisse de l'autre camarade et commencer à remonter vers l'aisne puis lentement mettre sa main dans le slip et en extraire le sexe qui commençait déjà, au toucher, à prendre une forme tendue. Le camarade qui avait mis sa main, commença à faire de petits "va-et-vient" sans se presser ce qui semblait augmenter la pression et je vis le sexe du camarade qui se laissait masturber, car il s'agissait bien de cela, se dresser telle une flêche prête à être lançée.
Moi, je regardais, et cela me fascinait si bien que je me mis à soulever mon slip pour voir quel forme avait mon sexe et comment il réagissait quand je le touchais. Je constatai qu'il était un peu plus épais que d'habitude mais sans franchement se dresser ni même s'arcbouter comme je venais de le voir auprès de mon camarade. Je me retournai donc vers eux et je vis que le membre était carrément rigide et que les caresses prodiguées lui donnait une couleur plus rosée qu'au départ et je vis ce camarade se raidir un peu et ce au fur et à mesure se tendre comme s'il allait projeter une flêche, projection qui d'ailleurs ne se fit pas attendre mais qui alla loin devant lui, liquide blanc qui, par la suite se mit à couler le long de son membre.
Moi, je fus captivé par cette scène qui m'incita à être plus franc même si pendant un certain temps, je tentais de résister à cet appel que je sentis au plus profond de mon être car j'avais perçu en mon camarade quelque chose qui ressemblait à ce que finalement on appelle le plaisir. Et je voulais franchement éprouver la même chose.
Je m'enhardis donc et me mis à me caresser ...

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