Madame Flamand quitta Lupin peu avant l’heure du dîner. L’homme se dirigea alors vers la cuisine et indiqua à son nouveau valet ce qu’il lui fallait pour son repas.
- Chaque soir, vous me servirez à 19h30 précise une assiette de potage puis un simple entremet ou un laitage, à votre choix. Je ne prends jamais ni vin ni alcool le soir lorsque je dîne seul. Je vous donnerai les indications des menus lorsque je recevrai – ce qui est courant sachez-le – et, si vous n’y voyez pas d’inconvénient, je dînerai les autres jours avec vous, ici à la cuisine, en toute simplicité pour plus de commodité.
A l’heure dite, Lupin se présenta et s’installa sans façon à la longue table de bois qui occupait le centre de la pièce. Tandis qu’ils mangeaient leur potage tout en conversant, Lupin demanda soudain :
- Vous n’avez pas été choqué de la visite que j’ai reçue tout à l’heure, n’est-ce pas ?
- Je n’ai pas à juger et Monsieur peut compter de ma part sur une parfaite discrétion.
- C’est bien, mon petit Nicolas, vous me plaisez. Il faut que vous sachiez que Madame Flamand n’est pas la seule femme à me rendre ainsi visite pour des moments de plaisir. En réalité, elles sont trois, mais chacune pense être la seule. Vous ferez ainsi la connaissance de Madame de Vosseler et de Lady Middleton. Surtout pas d’impaire, je compte sur vous.
- Bien sûr, Monsieur.
- Vous aurez compris que je suis de mœurs assez libres, n’est-ce-pas ? Il pourra donc arriver de temps à autres que je réunisse certains amis, hommes et femmes, pour des soirées, disons … coquines. Vous ferez alors le service normalement, comme si de rien n’était. Si vous deviez désapprouver cela, je ne vous en voudrais pas mais je vous encouragerais à me le dire immédiatement et dès demain matin, je vous rendrais votre liberté.
- Je considère au contraire que Monsieur a beaucoup de chance de vivre ainsi en toute liberté et ayant moi-même un goût très prononcé pour ... la chose, je comprends parfaitement Monsieur.
Le lendemain en début d’après-midi, Lupin sonna Nicolas.
- Je reçois tout à l’heure Lady Middleton. Je m’enfermerai avec elle dans la chambre verte. Vous pourrez alors aller dans la chambre bleue et ôter du mur le petit tableau représentant une scène galante du 18ème siècle. Derrière, vous trouverez un œilleton qui vous permettra de nous observer si vous le souhaitez. Ne vous privez pas.
A peine Lady Middleton arrivée et enfermée avec Lupin dans la chambre verte, Nicolas enlevait le tableau dans la chambre bleue et collait son œil à l’œilleton indiscret. Il vit Lupin déshabiller patiemment la jeune femme qui se mit à danser autour de lui tandis qu’il se défaisait lui-même de ses vêtements. Quand il fut nu, il l’attrapa doucement par le bras et l’embrassa. C’était un baiser profond, passionné comme manifestement Lupin en était amateur et Nicolas voyait les langues des amants poursuivre la danse qu’avait entamée la jeune femme un instant avant. Lupin allongea la femme sur le bord du lit et se pencha pour couvrir son corps de baisers. Certains étaient doux, d’autres bruyants, d’autres encore insistants comme sur les tétons dressés des jolis seins. Il titillait, aspirait, mordillait avec art provoquant soupirs et gémissements. Quand il arriva à la douce toison dont le triangle ...
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