Ma fosse septique est hors service et j’appelle l’entreprise d’assainissement afin de me sortir de cette mauvaise passe. Rendez-vous est pris l’après-midi même et je vois arriver le tracteur avec sa remorque citerne. C’est un petit jeune au volant et il a l’air très mignon. Il maîtrise fort bien son attelage pour venir se positionner en marche arrière au plus près du regard de la fosse.
Il est très souriant et mon regard ne se fixe pas uniquement sur sa bouille d’ange car j’ai le sentiment qu’il ne porte rien sous son bleu de travail. Son bleu est entrouvert sur le haut, laissant apparaître un torse musclé, glabre et doré par le soleil. Je devine surtout un entrejambe de belle proportion. Alexandre s’en rend compte et me rend la politesse en fixant son regard sur mes parties (je suis en short légèrement moulant).
Il ouvre le regard de la fosse et déroule son tuyau. Il commence l’aspiration et je le surveille discrètement en arrachant quelques herbes sauvages mal venues dans mon potager. Je lui tourne régulièrement le dos en me penchant afin de lui présenter le galbe de mes fesses et je constate qu’il y fixe souvent le regard.
Une fois la fosse vidée, il me demande de vérifier le bon fonctionnement de mes sanitaires en tirant une chasse d’eau mais ça bloque encore. Nous cherchons le bouchon et lorsque nous le trouvons et tentons de le défaire en envoyant un jet sous pression, nous nous prenons une méchante giclée en retour. Nous voilà tous deux maculés de merde, presque de la tête aux pieds. Je me déshabille sur le champ et invite Alexandre à en faire de même avant de nous rendre sous la douche.
De mon côté, je n’ai à retirer que mes chaussures et mon short et me voilà en boxer. Lui, retire ses chaussures puis son bleu. Il n’hésite pas et campe son regard dans le mien. Mon regard ne soutient pas longtemps le sien et se baisse vers son sexe à demi dressé : il était bien nu sous son bleu de travail.
Sa bite est presqu’à l’horizontale et son gland reste quasi intégralement caché sous son prépuce. Ses couilles pendouillent à peine et sont bien serrées l’une contre l’autre. La longueur et le diamètre de ce sexe prometteur sont tout à mon goût et je m’imagine déjà en train de le prendre à pleine bouche.
Je pousse Alexandre sous la douche, défais mon boxer et ouvre le flux de la pomme de douche en visant le carrelage jusqu’à ce que la température de l’eau soit bonne. Je dirige alors le jet vers ce chibre qui se tend de plus en plus (le mien n’est pas en reste) et j’approche mon visage de celui d’Alexandre après avoir poser la pomme de douche sur son support. Nos langues se collent l’une à l’autre, tout comme nos corps et nous nous galochons avec tout l’empressement consécutif à cette attente qui durait depuis que nos regards se croisés pour la première fois. Nos mains se promènent sur le corps de l’autre et, p ...

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