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LYON Double Side en Éruption

Publié par : passifamecs le 03/09/2025
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"Après deux semaines sans mettre les pieds au Double Side a LYON , j’étais comme un volcan prêt à exploser, la queue en feu et les couilles pleines à craquer. J’avais laissé monter la pression, et ce soir-là, j’étais tellement chaud que je pouvais à peine tenir en place. En arrivant au sauna, je me suis marré en voyant un mec trébucher sur son string en cuir en essayant de frimer près du bar. Ça m’a mis direct dans l’ambiance : ce soir, ça allait être sale, et j’étais là pour ça.J’ai fait un tour rapide, l’odeur de chlore et de sueur me montant déjà à la tête. Dans le jacuzzi, un mec baraqué, la trentaine, m’a accroché avec un sourire sympa. On a papoté, bulles contre la peau, sa main frôlant ma cuisse sous l’eau. Il était cool, mais mon corps criait pour plus de vice. Après un échange de banalités, je l’ai planté poliment pour partir en chasse, ma queue déjà à moitié dure dans mon boxer.

Dans un coin câlin, un mec d’une cinquantaine d’années, trapu, poilu, avec un regard de prédateur, m’a alpagué. Il m’a tiré dans une cabine sombre, et là, c’était parti. Ses mains rugueuses ont arraché mon boxer, et j’ai plongé sur sa queue, épaisse et odorante, la suçant comme un affamé. Il grognait, m’empoignant les cheveux, me guidant pour l’avaler jusqu’à la garde. Puis il m’a retourné, ses doigts lubrifiés fouillant mon cul, me faisant gémir comme une salope. Il m’a pris contre la cloison, sa bite bien raide me pilonnant à un rythme régulier, mes gémissements étouffés par le bruit des corps qui claquent. On a joui presque en même temps, lui dans un grognement rauque, moi en éclaboussant le sol. On a échangé nos prénoms – Marc – avant de se séparer, encore essoufflés.Mais l’appel du glory hole, ce truc légendaire du Double Side, m’a fait bander à nouveau. Une cabine centrale, entourée de deux autres, refermable de l’intérieur, promettait du sale. J’y suis entré, curieux, la queue palpitante. À peine ai-je voulu sortir qu’une bite bien raide s’est glissée par un trou, épaisse, veinée, luisante. Mon cœur s’est emballé. J’ai fermé la porte d’un coup sec et je me suis jeté dessus, ma bouche l’engloutissant avidement, ma langue dansant sur son gland, goûtant son pré-sperme salé. Un autre mec, derrière, a glissé sa queue par l’autre trou. J’ai tendu la main, le branlant d’un geste ferme, alternant entre sucer l’un et caresser l’autre.


Leurs gémissements traversaient les cloisons, m’excitant à fond. J’ai présenté ma propre queue à un trou, et une bouche chaude m’a aspiré, me faisant grogner de plaisir, mes hanches poussant contre la paroi.Cinq minutes plus tard, encore tremblant, j’ai quitté le glory hole, prêt à rentrer. Mais Marc, le mec de tout à l’heure, m’a intercepté, un éclat vicieux dans les yeux.
— Suis-moi, il m’a murmuré, sa main frôlant mon cul.J’étais trop chaud pour dire non. On s’est retrouvés dans une autre cabine, plus isolée. Il m’a poussé contre la cloison, et j’ai replongé sur sa queue, qui bandait encore plus fort.
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