Il y a 3 ans de ça, je me suis rendu dans un club libertin. Ce n’était pas la première fois que j’y mettais les pieds ; mais celui-ci était particulièrement penché sur le BDSM. J’ai fait la connaissance d’un couple qui s’adonnait à des plaisirs bien différents de ce que j’avais vu auparavant. François et Élisabeth étaient ce qu’on appelle le Dominateur et sa soumise. Tout au long de la soirée, j’ai pu les observer et apprendre jusqu’au moment où François me demande de la fesser ! Chose que j’ai beaucoup appréciée.

Nous avons gardé contact. Il m’envoyait de temps à autre des petites vidéos qu’il faisait avec ses soumises. Il n’avait pas qu’Elisabeth. Il m’a demandé de m’occuper de Mélodie, jeune femme de 26 ans résidente à Tours en concubinage avec son mec depuis 2 ans, mais dont l’affinité sexuelle n’était pas au rendez-vous. 

Je me présentai à cette jeune fille sous le pseudo de Fab le Dominateur. Envoyé par François pour lui apprendre les bonnes manières. 

Tout d’abord, nous fîmes connaissance dans un café. Apparemment, elle n’avait pas le choix, car c’était la volonté de François. 

Je lui fit signer le fameux contrat après avoir énoncé ensemble ses attentes, ses souhaits et ses refus.

Puis nous avons convenu d’un rendez-vous à l’hôtel pour commencer. Je lui ai imposé un style vestimentaire pour cette première rencontre. Arrivée à l’hôtel, elle prit contact avec moi par téléphone, où je lui indiquai le numéro de la chambre. Quand elle fut arrivée, je lui ai demandé d’enfiler une cagoule et de retirer son manteau. Elle fut un peu gênée de faire ça sur le pallier, mais s’exécuta sans un mot. Elle portait un string et un soutien-gorge presque transparent et des escarpins.

Je me place derrière elle, lui attache les poignées à l’aide de menottes, je lui attache un collier autour du coup et place entre ses jambes une barre d’entrave avec menottes de chevilles. Je lui retire son soutien-gorge et sa culotte. Je lui place de petites pinces à tétons et, pour finir, un bâillon boule dans la bouche.

Je sors un martinet et je me mets à la fessée doucement. Jusqu’à ce que ces petites fesses commencent à se colorer. Puis je commence à l’entre-jambes par des petits coups de fouet, sa chatte commence à mouiller. Je cesse. Je lui détache l’entrave qui lui bloque les jambes et la fais mettre à quatre pattes sur le lit. Je lui martèle le fessier par des saccades de claques et de fouet. Elle gémit.
Je lui retire son bâillon. Je lui fais sucer un plug et l’enfonce doucement dans son anus légèrement ouvert. Elle remue quand celui-ci la pénètre et se place correctement. Je lui caresse la vulve et lui écarte les lèvres progressivement. Elle frissonne et je tends sa croupe pour que je lui donne beaucoup plus. Je lui perce la chatte avec ma queue, je la pénètre doucement, je fais quelques vas et viens puis me retire. Je la redresse, lui attache les poignées au-dessus du lit, elle me fait face. Je tire sur ses tétons jusqu’à ce qu’elle m’implore d’arrêter. Je la détache de toutes ses entraves et me place devant elle. Ouvre la bouche, reçois ma bite au fond de ta gorge (honore-moi). Elle me suce avidement la queue comme si elle voulait en faire sortir le liquide précieux.

Je me retire, la replace à califourchon sur le lit, retire son plug et la remplace par mon engin, après de longs vas et viens pour la faire gémir. Je la fouette à nouveau, car elle a retenu ses cris et sa jouissance. Elle ne veut pas que les autres locataires l’entendent. Je lui pince les seins ; elle lâche enfin des cris ...

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