Marie c’est devenu compliqué car s’agissant de ma voisine je devais faire attention à tout, en plus de cela elle a une passion pour l’exhibition mesurée.
Nous nous donnions RDV certains matins pour aller s’acoquiner dans un secteur très discret de Niort.
C’est comme cela qu’un matin où nous étions en train de baiser debout contre sa voiture j’ai fini en éjaculant sur ses jambes.
Marie en voyant le résultat se tourne pour chercher une serviette afin de s’essuyer et c’est à ce moment que je lui soumets l’idée de la rincer de manière ‘naturelle’.
Regard stupéfait, elle me regarde et accepte.
Je prends ma queue entre les mains, elle enlève ses spartiates et je l’arrose assez généreusement, Marie vire au cramoisie mais sourit quand même.
Mon urine coule le long de ses jambes et termine sur ses pieds (que je kiffe).
Elle finit de se rincer avec une bouteille d’eau qu’elle avait dans son coffre de voiture.
Nous sommes partis travailler chacun de notre côté ; ceci était notre première expérience commune d’ondinisme.
Pour notre 2° expérience (environ 1 semaine après toujours un matin sur notre lieu habituel) cela s’est déroulé un peu différemment. Marie m’a avoué avoir aimé cette sensation et qu’elle aimerait bien recommencer.
Je lui dis que ce n’est pas un souci, elle s’appuie donc le dos contre sa voiture soulève sa robe et enlève ses sandales. Elle garde sa culotte.
‘Vas-y tu peux se soulager sur ma culotte’
Je m’exécute l’arrose à peu-près à hauteur de ses hanches, sa culotte est mouillée de mon urine.
Une fois terminé, elle retire sa culotte me tourne le dos et me tends sa croupe pour que je la prenne.
Je la prends par derrière, la baise pendant 5 minutes et me retire en éjaculant sur ses fesses.
Elle se rince avec une bouteille d’eau.
Comme d’habitude nous allons travailler chacun de notre côté après.
Nous avons baisé plusieurs fois en mode quickly dans les semaines qui suivirent, sans inclure le pissing.
Pour la 3° fois nous arrivons sur la période du mois d’août, période où il fait très chaud ; Marie été en vacances, moi en mode permanence au travail (je n’étais pas trop surchargé).
Nous avions décidé de prendre une journée tous les 2 en plein-air, de mémoire c’était un jeudi.
J’avais effectué des repérages pour trouver un endroit où nous ne serions pas dérangés de la journée.Ce n’était pas accessible en voiture et il a fallu faire presque 500m à pied. J’avais préalablement débroussaillé le chemin en laissant le passage masqué.
Vers 10h du matin, le sac à dos contenant des plaids et bouteilles d’eau pour le rinçage, la glacière avec de quoi manger une peu et des bouteilles d’eau pour s’hydrater, nous avançons sur le chemin longeant un champ. Le soleil tape déjà, pas un chat à l’horizon.
Nous sommes à peu près à 50-60m de l’entrée de la zone.
‘Nous pourrions presque terminer la route à poil’ lui dit-je; Marie me regarde
‘Cap ?’
‘Cap !!’
On jette un œil vite fait devant et derrière pour être sûr qu’il n’y a personne, rien en vue, on se lance.
On se déshabille vite fait en gardant juste nos chaussures, et nous nous dirigeons vers la zone assez rapidement quand même la bite et la chatte à l’air.
Du coup ce n’était pas une super idée car il a fallu passer les branchages de l’entrée et du coup cela nous a pas mal griffé.
Bref nous arrivons sur la petite zone que j’avais dégagé un peu avant et nous nous installons tranquillement après avoir installés des plaids au sol.
Le soleil tape sur nos corps nus.
Marie s’allonge sur le ventre et commence à lire un livre, de mon côté je me mets sur le dos et profite des rayons du soleil.
Il n’y a strictement aucun autre bruit que celui du vent et des oiseaux.
Nous échangeons quelques mots pour faire la conversation, je la regarde en train de lire un livre à poil.
‘Bon ce n’est pas tout faut que j’aille pisser un coup ‘lui dit-je Marie se retourne et se redresse sur ses genoux.
‘Je suis là si tu veux-mais pas sur le visage’
Je me mets en face d’elle,en position et je l’arrose généreusement des épaules jusqu’aux genoux.
J’arrive au bout de la miction, en levant un peu les yeux en l’air quand je sens que ma queue est engloutie par sa bouche, Marie avale le dernier jet et se met à me sucer sans s’arrêter, la fellation étant une chose rare chez elle je savoure ce moment.
Je regarde ses lèvres glisser sur ma queue devenue bien raide, elle suce goulûment avec toute la sal ...
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