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Michel et Dany, Seconde partie 2 et fin...

Publié par : michel17600 le 01/08/2024

Inutile de dire que je ne me fais pas prier ! Ma tête entre ses cuisses, ma bouche vient gober à travers le tissu le gland que je devine magnifique. Dany ne peut retenir un gémissement. Mes lèvres descendent le long de cette hampe si ferme, ma langue en suit la forme et mes doigts, glissés dans la ceinture élastique, commencent à la faire glisser avec d’infinies précautions. Petit à petit, le gland apparaît, violacé et luisant, doux comme une soie précieuse… Ma langue vient lui rendre un hommage voluptueux, léchant le frein si sensible et remontant sur le petit trou dont elle écarte les lèvres rosées et déjà luisantes de désir. Je continue, des deux mains, la lente descente de son slip, jusqu’à découvrir un sexe dont la taille fort honorable présage de superbes délices… Ma langue continue son exploration, allant et venant sur ce sceptre magnifique, le flattant et l’agaçant, remontant au gland que j’aspire goulûment, enroulant ma langue autour du bourrelet, léchant à nouveau le frein…
- Attends Michel. Retire-toi et allonge-toi à côté de moi… Là, voilà, comme ça. C’est bien. »
Dany, étendu sur un côté dans la position d’un empereur romain sur son lit de plaisirs, me détaille de la tête aux pieds. Il insiste sur le slip, blanc lui aussi, que j’ai conservé mais qui ne cache pas l’état d’excitation qui m’a gagné depuis un bon moment.
- Tu es beau, et tu me plais tu sais. Je vais avoir du mal à me retenir tellement j’ai faim ! »
Et il vient me chevaucher et s’étendre sur moi. Je sens son sexe dur sur le bas de mon ventre tandis que sa bouche cherche la mienne. Sa langue suit le contour de mes lèvres, les pénètre et vient rencontrer la mienne qui n’attendait que cela… Ses mains enserrent mon visage. Notre baiser se prolonge, nos deux langues s’enlacent, se perdent pour mieux se retrouver, avec une infinie volupté. Sa bouche a un goût de violette…
Il se redresse sur les genoux écartés de part et d’autre de mes jambes, saisit la ceinture de mon slip des deux mains, sur les côtés, et glisse celui-ci le long de mes cuisses. Je lui facilite le travail en repliant mes jambes et le sous-vêtement dégagé va choir sur la moquette. Je suis nu sous le regard de Dany. Il prend mon sexe dans sa main, ne le quitte pas des yeux tandis qu’il le décalotte, lentement, doucement, faisant durer le plaisir. Mon prépuce est légèrement serré mais n’empêche en rien un dégagement complet du gland.
- Pourquoi tu m’as caché tout cela pendant quatre mois ? Tu es beau de partout, tu sais ?
- Ne te moque pas de moi. Non, je ne suis pas beau. Regarde-moi bien !
- Tssst ! Tais-toi, tu es très beau et à mon goût. J’ai faim je t’ai dit. A table ! »
En joignant le geste à la parole, il saisit mon sexe dans sa main, en assure, par deux ou trois allées et venues, la bonne (et belle) tenue et vient le happer intégralement. Sa bouche, sa langue, font un travail de fond qui me laisse sidéré. Une fermeté dans le « geste » et une douceur incomparable ! En la matière, Dany est un dieu ! Je sens sa langue tout le long de mon sexe, sur le gland dont il a l’air d’apprécier la douceur. Il fouille partout, il est chez lui, je ne peux rien lui cacher. Je frissonne de plaisir, un plaisir intense que j’ai rarement connu... Il relâche sa proie, relève la tête en toussant un peu. Il sourit. De la salive coule sur son menton.
- Tu es bon tu sais !
- Oui, mais c’est pas une raison pour t’étouffer !
- Attends, j’ai pas fini... »
Cette fois-ci, du bout des doigts il s’empare de mon sexe décalotté, replace le prépuce pour recouvrir le gland et de ses lèvres à peine ouvertes il le décalotte à nouveau en passant la pointe de sa langue sur le bourrelet gonflé. Plaisir encore, plaisir toujours…
Il lèche et suce ma verge comme on le fait d’un gros sucre d’orge, tour à tour goulûment et délicatement, en en appréciant chaque centimètre… Il vient aussi lécher mes testicules, qui sont rasés de près et de taille fort honorable. En y passant la langue, il veut en gober un et il y réussi de justesse tout enroulant mon gland de ses doigts mouillés de salive… Frissons garantis ! A nouveau, il lèche mes couilles, du bout de la langue. De ses doigts, il en apprécie la fermeté et la ronde générosité. Puis ses mains viennent glisser le long de mes cuisses, les caressant par un massage superficiel et délicat, pour devenir plus soutenu. Il lève son visage, me regarde, nous nous sourions : il a compris que j’aime et que j’en redemande. Il saisit mes pieds aux chevilles et lentement écarte mes jambes sans quitter mon sexe du regard.
- Attends, je ne veux pas te prendre par surprise, mais je suis sûr que tu vas aimer. »
Il revient vers moi, d’une main il soulève mes couilles pour mieux dégager le plancher pelvien (le terme périnée étant plus souvent réservé à la femme). Sa tête s’en approche, il regarde avec une gourmandise à peine retenue. Il sait ce qu’il va faire.
Il commence par en caresser l’épiderme, rasé là aussi (c’est d’abord un principe d’hygiène et de confort, mais aussi – ou surtout ! – de bien-être sensuel). Au préalable, il a abondamment mouillé de sa salive le bout de ses doigts. Vous ai-je parlé de ses doigts ? Fins, habilles et rapides comme des doigts de pianiste, longs et effilés… Des ongles coupés court, pour ne pas griffer ou blesser. Les doigts de l’artiste qu’il est. Pour sa plus grande joie et mon plus grand plaisir… Et mon Dieu, qu’il se sert bien de ses doigts, tout le long du périnée (le terme est plus rapide à écrire!), de l’anus jusqu’en dessous des testicules. Il les agite comme on fait aux enfants, vous savez : « La petite bête qui monte, qui monte... ». Ils courent sur ma peau si tendre et sensible à cet endroit, ils courent, glissent, découvrent et, au bout de leur inspection, trouvent une autre peau, nettement plus lisse, plus tendre, une peau qui s’humecte de plaisir, de désir inassouvi. Ils ont trouvé ce qu’il faut pour savourer une feuille de rose…
Bien vite Dany va prendre d’assaut mon anus. En plaquant ses deux mains sur mes fesses, il en facilite l’accès, d’abord avec un doigt, lentement, gentiment, puis deux doigts qui se frayent un chemin de velours, de douceur, de tendresse que je ressens en même temps dans ma verge.
- Détends-toi, Michel… Si tu savais le bien que ça fait !
- Je suis un peu étroit, hein ?
- Ne t’en fais pas pour ça. C’est pas un problème, on va arranger ça. Le problème est que tu te contractes, souffle, respire un grand coup et tu vas voir, ça ira tout seul. »
Dany sent que je fais mon possible et, profitant d’une profonde inspiration de ma part, il parvient à enfoncer trois doigts et reste immobile.
- Ca va ? Tu n’a pas mal ?
- Non, ça va. Reste encore, continue, doucement. »
Il bouge un peu ses doigts, comme s’il voulait élargir, ou assouplir, l’endroit délicat qu’il travaille.
- Oui, comme ça, c’est bien… Oh, c’est bon… c’est bon, mon chéri… oui… oui... continue… Oh oui !… vas-y ! »
A chaque interjection de ma part, Dany, habile artiste du geste d’amour, pénètre un peu plus mon intimité jusqu’au moment où…
- Oh mais que c’est bon ce que tu me fais… Tu… Oh oui !… Continue, oh que c’est bon !… N’arrête pas ! »
Mon corps vibre sous ses doux assauts, je me cabre comme un jeune taureau fougueux, des ondes d’une volupté inconnue me parcourent de la pointe de mes cheveux (pour ce qu’il m’en reste) à la pointe de mes pieds. Je ne suis plus moi, je ne m’appartiens plus ! Est-il sorcier ? Vient-il d’un autre monde où tout ne serait que beauté, douceur, amour ?
- Aaah… mais qu’est-ce que tu me fais chéri ? Oh que c’est bon…
- Tu veux savoir ?… Je masse ta prostate.
- …
- Elle roule sous mes doigts, c’est ça que tu sens. Et… tu ne peux pas savoir le plaisir que j’en ressens aussi.
- …
- Je crois que tu es prêt pour une pénétration, en douceur. » Et tout doucement il retire ses doigts...
Depuis que Dany est entre mes jambes, ce dont je ne me plains pas, je sens son sexe ardent et puissant, volontaire, battre contre mes mollets. Il aura suffit d’un instant, d’un relâchement sans doute, pour que je le sente à la porte, à l’orée, de la feuille de rose que je suis prêt à lui aba ...

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