Résumé du chapitre 7 « Dans une boutique de lingerie puis au sex-shop» :Alain a exigé de moi que j’aille m’acheter des dessous féminins dans une boutique de lingerie (jusqu’à présent j’achetais sur internet, ça m’évitait d’avoir à expliquer que c’est pour moi). Là, Alain a exigé que j’aille en boutique et que je dise bien à la vendeuse que c’est pour moi. Je l’ai fait bien sûr, j’ai obéis et la vendeuse a paru très amusée par la situation. Ensuite Alain m’a convoqué dans un sex-shop où j’ai du sucer quelques bites et me faire baiser par deux hommes à la vue de tous les clients présents.
Il s’est passé plusieurs mois durant lesquels je suis devenue entièrement soumise à Alain, j’étais à sa disposition, il disposait totalement de moi, il m’a remise plusieurs fois à la disposition des hommes dans les toilettes publiques à Saint-Marc ou au sex-shop. Il m’envoyait un SMS ou me fixait rendez-vous sur internet et j’obéissais en me rendant immédiatement disponible. Il m’est arrivé deux ou trois fois d’arriver en retard au rendez-vous et là, comme le première fois, j’ai reçu une fessée magistrale. Je comprenais très bien cette correction, je la trouvais totalement justifiée, Alain ne devait pas avoir à m’attendre, j’étais soumise, je devais obéir et être très réactive. Plusieurs fois aussi il avait pris une chambre d’hôtel et passé une annonce pour me mettre à l’abatage. A chaque fois il y avait eu une moyenne de vingt hommes qui avaient utilisé ma bouche et mon cul durant toute la nuit. A la fin de chacune de ces nuits, vers six heures du matin, j’étais totalement épuisée mais si heureuse, heureuse parce que je ne pouvais vivre sans une bite dans la bouche ou dans le cul et heureuse car je voyais que mon Maître était fier de moi. Je continuais à porter en permanence un gode dans le cul, je ne le retirais que pour aller aux toilettes ou pour me faire enculer. Alain avait d’ailleurs changé la taille de mon gode, j’en portais maintenant un plus gros. Il m’avait dit qu’il voulait me dilater un peu plus le cul de façon définitive pour que les bites entrent sans difficulté et sans lubrifiant et que, plus tard, il me ferait porter un rosebud ( petit plug bijou ).
J’avais maintenant une liste de clients assez longue gérée par Alain, cette liste était constituée d’une centaine d’hommes, certains m’avaient baisée plusieurs fois, d’autres une seule fois. Alain avait même une liste d’habitués qui me baisaient en moyenne une fois par semaine.
Depuis quelques jours, Alain est en contact par internet avec un couple qui se rend une semaine plus tard dans un club de Guingamp dans les Côtes d’Armor pour une soirée SM. Cette soiré est très particulière : seuls les couples sont invités et chaque couple doit venir avec en plus un soumis ou une soumise. Le couple a contacté Alain sur un site internet après que ce dernier ait mis une annonce pour informer les hommes qu’il mettait sa pute travesti à leur disposition. Le couple, n’ayant pas de soumis ou de soumise l’avait contacté pour savoir s’il pouvait mettre sa pute à leur disposition. Alain avait accepté même si, il me l’avait dit, il n’aimait pas trop cela puisqu’il ne pourrait être présent, mais comme l’idée de me prêter à d’autres lui plaisait il accepta. Il avait exigé de moi que je lui rédige ensuite un rapport très détaillé de cette nuit. Cela me semblait une évidence.
La semaine suivante, je me retrouvais donc à l’adresse donnée par le couple, il s’agissait de Françoise et de Louis. Je savais que c’était surtout Madame Françoise qui était très dominatrice. Elle avait exigé que je sois habillée exclusivement de latex. Depuis quelques mois, Alain m’ayant beaucoup prostituée, il avait collecté un petit pécule qui lui avait permis de m’acheter plusieurs tenues de pute et en particulier une tenue en latex puisque plusieurs de mes clients le réclamaient.
Ce soir la je porte donc des bas noirs en latex, une guêpière et un string en latex noir, des cuissardes en vinyle, je porte aussi un collier en cuir assez large avec un anneau. Je porte ma perruque brune mi-longue et je suis maquillée assez pute comme toujours. Par dessus tout ça, je porte une veste en vinyle assez courte qui m’arrive juste sous les fesses, quand je marche dans la rue, on voit donc mes jarretelles dépasser de la veste. Heureusement que je peux me garer assez près de l’entrée du club. Au bout de quelques minutes, je vois une femme et un homme se diriger vers ma voiture, la femme frappe à la vitre, me demande si je suis « Nicole », après le lui avoir confirmé, elle me dit qu’elle est « Madame Françoise » et me présente Louis. C’est une femme très pulpeuse avec, je devine, quelques belles rondeurs sous sa longue veste de cuir. Elle me dit de sortir de ma voiture et attache aussitôt une laisse à mon collier. Elle me conduit ensuite comme cela sur une trentaine de mètres sur le trottoir jusqu’à l’entrée du club. Nous entrons. Le patron, à l’entrée nous laisse passer après les présentations d’usage et après s’être assuré qu’il s’agit bien d’un couple et de leur soumis. L’éclairage est assez faibles, dans les enceintes on entend la musique d’Enigma. Madame Françoise me dirige par la laisse dans une salle ou j’aperçois une croix de Saint-André, un carcan et divers appareil de suspension. Il y a déjà pas mal de monde dans le couloir et dans la salle, les gens présents nous regardent passer et j’entends quelques commentaires du style : « c’est un travesti soumis » ou « elle a l’air d’une belle salope ». Dans la pièce il y a déjà deux soumises attachées en laisse à un crochet dans le mur et un homme attaché sur une table en bois avec le sexe emprisonné dans une cage et des pinces aux tétons et aux testicules. Ma maîtresse d’un soir me retire ma veste de vinyle, me met un bandeau sur les yeux et m’attache juste par les poignets à une barre située en hauteur. Je suis ainsi attachée les bras en l’air, les jambes légèrement écartées à la vue et à la disposition de tous. Quelques secondes après, un premier coup de cravache s’abat sur mes fesses, je ne sais même pas qui me l’a donné, ça peut être Madame Françoise comme ça peut être n’importe qui. Puis les coups s’enchaînent. Il doit y avoir deux personnes derrière moi, j’entends leurs commentaires :
Dis donc, elle a un beau cul cette petite salope !
Oui et tu as vu, elle a un plug dans le cul, elle est arrivée comme ça.
J’aime beaucoup sa tenue en latex, elle fait vraiment très pute.
Oui, et elle doit avoir l’habitude de se faire fouetter, elle réagit sous les coups juste comme j’aime, un peu pour bien me montrer qu’elle a mal et pas trop pour m’indiquer que je peux continuer, elle est vraiment bien dressée cette chienne, c’est un plaisir de la corriger.
Oui je vois ça, ses fesses deviennent juste un peu rouge comme il faut.
Je comprends alors à leur discussion que c’est un homme qui me corrige. Il reprend la correction, de temps en temps il arrête la cravache et me donne la fessée de ses mains, il s’amuse aussi à remuer le plug dans mon cul, le sort et le rentre. J’entends de plus en plus de dialogues autour de moi, il doit maintenant y avoir plusieurs personnes à me mater. Tout-à-coup, je sens deux doigts me prendre les tétons et on y met une pince sur chacun. Je sens aussi qu’on y accroche des poids. Puis la main descend vers mes couilles et y place aussi deux pinces sur lesquelles est aussi attaché un poids, c’est assez lourd, je sens mes couilles vraiment étirées vers le bas. La douleur des pinces ajoutée à celle de la cravache ou de la fessée devient difficile à supporter, je savais que j’allais souffrir ce soir mais ça commence très vite. Je suis toujours attachée, les bras tendus vers le haut, les yeux bandés, les jam ...
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