Moi H 50 ans à l'époque, et mes dessous de femmes ...
Comme je l’ai écrit dans ma précédente histoire, je porte souvent des bas sous mon pantalon, avec porte-jarretelles et petite culotte (on voit les marques à travers mon pantalon), jambes, sexe et fesses lisses.
À l’époque de cette histoire, j’étais plus vieux, j’avais 50 ans.

… Ils excitent mon voisin …
Un couple de retraités, 70 ans environ, s’est installé sur le même palier que moi au troisième et dernier étage, dans l’appartement d’en face. On ne se fréquentait pas mais on se saluait amicalement.
La femme était souvent absente, partie dans sa famille ou chez des amis en province.

J’ai constaté que je croisais de plus en plus fréquemment mon voisin, surtout lorsque qu’il était seul, il observait toujours le haut de mes cuisses à travers mon pantalon.

Je ne le montrais pas mais cette situation me plaisait. Au bout de quelques semaines j’avais même des bouffées de chaleur lorsque je le croisais car je m’attendais à prendre une main aux fesses ; je crois qu’il s’en était aperçu.
Un jour il a fini par m’aborder timidement et m’a proposé de venir boire un verre chez lui. Quoi de plus courant entre voisins.

… On va plus loin …
Nous discutons de tout et de rien, et la confiance s’installe. Il me dit qu’il n’a plus d’attirance pour sa femme (qui le lui rend bien), mais a toujours une envie de « chaleur et de relations », et c’est bien normal selon lui.
Je lui demande comment il voyait l’avenir sur ce point : pour lui, difficile de trouver une copine, ce serait sûrement plus simple avec les hommes. J’ai acquiescé.

Du coup il se lance et me demande si ce sont bien des marques de bas et de porte-jarretelles qu’il discerne sous mon pantalon. Je confirme.
Il me demande si je vois un inconvénient à lui montrer mes dessous, en toute amitié. Il me dit que cela lui rappellerait des souvenirs avec les femmes.
Assis dans son canapé, je baisse mon pantalon et laisse voir mes bas, mon porte-jarretelles et ma petite culotte. Il constate que je suis épilé et me demande si j’en tire des sensations : bien sûr ça me donne des sensations ! Épilé, je sens la fraîcheur sur et entre mes cuisses, sur mes fesses et autour de mon petit trou, ça me plait. Et je sens mieux les mains baladeuses.
Je garde quand même quelques poils au-dessus de ma petite queue ; il ne les voit pas bien car je n’ai pas encore baissé ma culotte.

Mais il me demande de la baisser et de l’autoriser à venir sentir sans toucher ni lécher ni sucer ; il me dit être un peu cochon et avoir aimé, par le passé, les odeurs de clitoris et de vagins, qu’il n’a plus l’occasion de sentir maintenant. Alors je baisse un peu plus mon pantalon et écarte les cuisses.
Il s’approche et sent ma queue et mon entre jambes. Il sent ce que l’on sent tous à cet endroit en fin de journée, mais j’avais dû suer ou mouiller d’envie dans la journée, et l’odeur était accentuée. Il était ravi et s’est attardé à sentir.
On en reste là, il me remercie, moi aussi pour son accueil, et nous convenons qu’il pourra recommencer, voire même me toucher ; à lui de revenir vers moi quand il le voudra. On laissera sa femme en dehors de tout ça bien sûr. Je rentre chez moi.

Il était sympathique et correct. Il n’était pas grand, un peu de ventre, les cheveux courts et grisonnants, sans barbe, bref un « vieux beau » comme on dit, et avec une petite moustache qui m’avait chatouillé lorsqu’il avait reniflé mon entre-jambes.
Revenir vers moi, oui mais quand ?

… On prend date …
Comme lui, j’étais pressé d’aller plus loin, qu’il me pelote, qu’il glisse ses mains entre mes cuisses, sa langue dans ma bouche … et plus. Et mon envie, comme la sienne sûrement, grandissait. Alors le lendemain même, c’est moi qui ai pris les devants et lui ai proposé une date en soirée vers 22h chez moi. Je lui dis que j’aime bien boire un verre, et qu’il ne se prive pas de son côté pour arriver très … décontracté. On retient une date où sa femme serait absente.

La date étant un peu éloignée il me demande s’il pourrait « profiter de quelque chose » avant.
Alors je lui dis qu’il pourra toujours me peloter les fesses lorsque je le croiserai sur le palier, il ne s’en priva pas, et qu’il pourra me mater à travers son œil de bœuf, mais sans sortir, certains soirs à 22h. Promis il matera mais ne sortira pas ! Ces soirs-là, je suis sorti sur le palier durant une minute en nuisette, bas, porte-jarretelles et talons, tantôt avec culotte, tantôt sans. Je l’ai imaginé tout excité derrière sa porte, peut-être en train de se toucher. C’était une mise en appétit.

… Le jour J …
Comme convenu le jour J à 22h il sonne.
Il vient avec une bouteille de blanc. Bonne intention, ça me fait plaisir. Il a déjà bu un peu avant, moi aussi, nous avons les joues un peu rouges. On se fait la bise.
Je le reçois en nuisette, bas, porte-jarretelles, chaussures à talons mi-haut et sans culotte. Je suis rasé de près en espérant qu’il aime embrasser. Je n’ai pas de perruque, ne suis pas maquillé, car ce qui l’intéresse est bien plus bas. Quelques jours avant je m’étais godé de sorte que s’il voulait me faire l’amour, mes fesses pourraient le prendre.

Il me regarde et je crois qu’il a déjà envie de me sauter dessus, mais il est bien élevé.
Je lui dis de se mettre à l’aise … complètement à l’aise, et de se rafraichir dans la salle de bains s’il le souhaite. Ce qu’il fait pendant que je prépare l’apéritif.

Il est maintenant tout nu, un peu poilu sur les jambes et le torse. Sa queue est moyenne, jolie, pas trop de poils autour, et il bande. Je la jauge et je me dis que je pourrai la prendre mais peut-être pas à fond, on verra bien. Moi aussi je bande … un peu, mais pas grave puisque je suis censé être la femme.
Il me dit que je lui plaisais. Moi aussi, il me plait, j’ai envie qu’il me prenne dans ses br ...

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