En juin dernier, j'ai fait la rencontre d'un "client" voisin qui est devenu un une personne très importante pour moi.

Alors que je me préparais à faire une livraison dans mon cadre professionnel, je terminais ma journée par ce dernier client du fait qu'il habitait à quelques centaines de mètres de mon domicile.

Je suis alors arrivé au domicile d'un monsieur âgé, et j'étais surpris du désordre apparent, des cartons partout, des meubles démontés, juste un passage qui permettait la distribution des pièces et un semblant de chambre pas encore aménagée.

Le monsieur qui m'a ouvert s'appelle Eugène. C'est un vieux monsieur de 86 ans très sympathique et avenant qui m'a bien tout de suite fait bonne impression. Voyant l'état de sa maison, je lui ai demandé ce qu'il se passait, c'est alors qu'il m'expliquait qu'il arrivait de province et qu'il venait d'aménager dans cette maison suite au décès de sa femme. Il voulait se rapprocher de ses enfants et petits enfants, tous en région parisienne.

Il m'a proposé une boisson que j'ai accepté avec plaisir, la chaleur de juin étant bien présente. Puis nous avons commencé à sympathiser, il se sentait seul. En le quittant, je lui proposais de passer de temps en temps pour l'aider dans son aménagement lorsque je serai disponible, n'ayant rien prévu pour mes vacances et le travail étant au ralenti durant la période des JO à Paris.

Je me suis totalement prêté au travail de rangement et passais très très régulièrement chez Eugène, nous déjeunions dans son jardin et travaillons beaucoup. Il est très doué de ses mains et fabriquait toutes sortes de choses dans son atelier, première pièce totalement aménagée, notamment une énorme bibliothèque pour supporter ses 80 cartons de livres. Quant à moi, je m'occupais de porter les cartons et déplacer les meubles, l'aider à les monter au grenier, faire un grand travail d'organisation. Il était très touché par mon aide, ses enfants ne pouvant l'aider que certains week-ends, j'étais de plus en plus présent. J'adorais sa compagnie, il m'apprenait énormément de choses, bricolage, littérature, il a une connaissance incroyable.
Un soir, au bout d'une semaine de travail, alors que j'allais le quitter, pour me remercier il s'est approché de moi et m'a serré longuement dans ces bras, me caressant le dos, puis m'a embrassé sur les joues d'abord, puis, tout à fait naturellement sur la bouche. Contrairement à ce que j'aurais pu imaginer, non seulement je n'ai pas eu de mouvement de recul mais de le sentir si près et si tendre m'a complètement bouleversé. Nous nous sommes quittés sur ce baiser et, comme je sentais qu'il était gêné par ce geste dont il était lui même surpris, il avait peur que je partes en courant, j'ai voulu le rassurer en lui disant uniquement : à demain...

J'ai passé une soirée mouvementée, souvenir du baiser avec un homme de 30 ans mon aîné mais dont je sentais son contact de plus en plus recherché avec qui je me sentais bien, peut-être parce que je ne m'imaginais aucun enjeu... Toujours est-il que je me suis masturbé en pensant à lui pendant la nuit.

Le lendemain, ne travaillant pas, je lui ai demandé si ça ne le dérangeait pas si je passais la journée avec lui. Il était ravi de m'accueillir et soulagé également que je repasse.. J'y suis allé juste en short et t-shirt, et il m'a accueilli avec la même tenue. Nous nous sommes mis au travail,qui ne manquait pas, à monter des cartons au grenier par un escalier échelle, je faisais les allers-retours alors qu'il me les passait en restant en bas. Alors que je portais un carton assez lourd, ayant peur que je tombe, il tendait les bras pour me soutenir et un moment, a carrément posé ses mains sur mes fesses comme pour m'aider à monter. Au lieu d'avancer, j'ai fais une pose et il en a profité pour me caresser les fesses ce qui m'a fait une sensation qui pouvait se voir à travers le short. J'ai déposé le carton et suis redescendu, une petite bosse sur le devant qu'il a certainement aperçu.
D'ailleurs, arrivé à sa hauteur, il m'a attiré dans ces bras et sans aucune retenue, m'a embrassé à pleine bouche. Loin de me retirer, je lui ai rendu son délicieux baiser tout en le pressant contre moi. Nos mains respectives se baladaient sur le dos et le short de l'autre. Tout naturellement, nous nous sommes mis à l'aise jusqu'à nous retrouver entièrement nus. Mon sexe dressé contre le sien grossi bien que moyennement raide. Il m'a pris la main, dirigé vers la salle de bain et nous avons partagé une douche, à se savonner mutuellement entre deux baisers. Il m'a appris à savourer le temps, n'allant pas trop vite, sans s'attarder sur les parties sensibles afin de faire monter le désir très progressivement. Avec une autre personne, j'aurais sauté sur son sexe à essayer de le prendre en bouche, le masturber, mais j'ai souhaité respecter son rythme et j'avoue que l'excitation n'en était que plus forte. Comme il me dit souvent,il faut apprendre à gérer la frustration...

Nous nous contentions de baisers doux, caresses et attouchements très légers sans toutefois aller très loin. Nous nous sommes séchés mutuellement puis dirigés sur le matelas qui lui servait de lit. De longues caresses étaient partagées, je suivais son tempo et agissait par mimétisme. Je lui caressait le visage, l'embrassait dans son cou tout comme il l'avait fait avec moi. Puis, à tour de rôle, nous nous caressions le corps entier, contournant toujours le sexe comme si un sort particulier à cette partie de notre anatomie lui était réservé. L'excitation était très forte, surtout lorsque ses mains effleurait ma verge sans vraiment la toucher. Je le voyais également troublé alors que je contournait ses tétons ou les survolais du bout de mes doigts. Ils sont assez gros et durs. Je caressais doucement l'intérieur de ses cuisses, mon petit doigt touchant ses testicules ce qui le faisait se cambrer. Son sexe était en érection molle, mais plus gros que le mien et encore actif. C'est alors que je suis passé à l'étape suivante, il était allongé sur le dos, je me suis couché sur lui et, après un savoureux baiser, je me suis laissé glisser doucement, ma langue léchant son corps jusqu'aux tétons que je savais sensibles. J'ai pris beaucoup de temps à lui lécher, lui titiller et mordiller ce qui lui faisait de l'effet. Son sexe était emprisonné par mon corps qui le couvrait mais je sentais quelques sursauts de son sexe sur ma propre poitrine. J'ai continué ma descente pour me retrouver face à son sexe que j'ai tendrement embrassé avant de l'introduire dans ma bouche. Je ne pouvais pas aller jusqu'à la garde mais je l'ai enfoncé le maximum de mes possibilités et l'ai gardé en bouche sans bouger un petit moment, puis j'ai serré mes lèvres et les ai fait glisser dans de doux va et vients. J'ai ensuite léché son gland en allant chercher avec la langue la goutte qui se préparait à sortir, puis il m'a pris m ...

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