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Non, Jeff tu n'es pas tout seul....

Publié par : bonplan1 le 03/10/2024


Petite précision sur le sens de ce titre, je voulais dire que Jeff n'avait pas été le seul à avoir aimé autant , ce moment....



Depuis plusieurs semaines, j'avais contacté sur un site un coquin qui par le dialogue me plaisait beaucoup. En plus son âge correspondait à la tranche que j'aime, soit celui des seniors encore bien actifs. Mais de plus il m'avait été recommandé chaleureusement par un coquin que je connaissais depuis longtemps et avec qui malheureusement , je n'avais pas eu de relation sexuel. Je savais que je pouvais lui faire confiance et l'avenir allait compléter son avis. Profitant une fois de plus de l'absence de ma femme et pour lui, d'emmener son épouse chez le coiffeur, nous prenions rendez-vous sur un parking d'un centre commercial. Bon, nous allions jouer ensemble en extérieur . Ce n'est pas un tel lieu que j'aime mais j'avais trop envie de faire sa connaissance. Mais une fois de plus, je me disais que s'il me plait , je le reverrai à l'hôtel car lui aussi ne peut pas recevoir étant marié, d'ailleurs pour ses libertés , c'est un peu la même chose que moi. Nous arrivions ensemble au lieu de rencontre que nous avions prévu. Il m'adressait un sourire en arrivant à mon niveau ce qui laissait présager quelque chose d'intéressant à découvrir. Il allait m'emmener dans nos voitures respectives vers le petit bois qu'il connaissait. Oh , ce n'était pas loin. Un endroit un peu sauvage!

Arrivés à destination , j'allais me diriger vers sa voiture. Et en sortant il allait m'offrir un baiser , vérifiant qu'il n'y avait personne autour de lui. Et oui, la crainte d'être vu . Et oui, les relations entre hommes est toujours sujet à discussion pour les autochtones . Et je le comprenais bien . Mais la glace était brisée. On se dirigeait vers ce petit bois qu'il avait découvert lors d'une rencontre avec un autre coquin. C'était un peu la forêt vierge, envahie par des ronces. Donc il valait mieux lever les pieds! Nous trouvions un endroit un peu plus confortable , bien loin de la vision des passants. Mais il était toujours dans l'inquiétude permanente , un agriculteur faisant un peu de bruit dans le champ voisin. Mais étant toujours intrépide, j'allais très vite me frotter à lui et lui adresser un baiser brûlant. L'envie commune était là. Il embrassait divinement et je sentais que tout vibrait en lui . La communion de nos deux corps était totale. Bien entendu ma main en même temps cherchait sa queue. Il faisait de même avec la mienne, comprenant que j'appréciais. Et nous allions pratiquer un déshabillage rapide du bas de notre corps pour mieux sentir la chaleur de notre chair . Et nos deux queues se rejoignaient très vite.

Et comme à mon habitude j'allais les saisir toutes les deux dans ma main droite pour bien les branler ensemble mais surtout bien les sentir. Elles étaient raides et Jeff poussait quelques gémissements de plaisir. Le tout en lui offrant des baisers tout aussi chauds . Mais j'allais gouter à la chaleur de son cou. Il avait un corps bien charpenté comme j'aime et nos vêtements du bas avaient glissés à nos pieds. De mon autre main, j'allais caresser ses fesses fermes mais dodues . Mais je voulais gouter encore plus à son corps après avoir sucé quelque peu son sein gauche et je descendais jusqu'à son sexe qui glissait avec bonheur à travers mes lèvres brûlantes. Il était épais et long mais je ne voulais pas l'engloutir en totalité. Ma langue taquinait son gland qui était sorti de sa coquille et la jute émergeait quelque peu , me gratifiant d'un émoi total . Jeff semblait apprécié ma coquinerie. Mais j'en voulais plus et j'allais lui demander de se retourner pour que je goutte à sa chatte . Il se penchait quelque peu contre un petit arbre et m'offrait ses fesses charnues. Ma langue allait fouiller facilement sa raie pour parvenir à cette chatte charnelle. J'entrais le plus profondément et j'allais essayer de glisser un doigt mais la porte était presque close car la chatte n'était pas assez humide. De plus, j'étais un peu gêné par mes lunettes qui frappées son séant. Je les retirai très vite dans le champ de ronces, pour poursuivre ma gourmandise sexuelle . Et il se retournait après ce plaisir coquin pour que nos bouches se rejoignent à nouveau, pour poursuivre l'ardeur qui nous avait envahi. Une forte excitation était en nous. Nous étions chauds comme la braise. Et lui à son tour, il allait se baisser pour sucer mon sexe. Hummm que du bonheur m'envahissait. Et mes mains allaient caresser sa tête quelque peu . L'échange était total. Tout comme je le souhaitais. La communion et l'échange de deux corps étaient totales , j'étais heureux et lui aussi, je crois.

Mais il m'avait complétement perturbé et je le désirai très fort sachant que sa queue bien raide allait pouvoir m'offrir ce que je désirai. Tu veux venir , lui dis-je. Et alors à mon tour j'allais me positionner contre l'arbre qui était derrière nous en me baissant quelque peu pour être dans une position facile pour lui. Nous étions un peu de la même grandeur. Je me demandais où j'avais mis mes lunettes même si dans ce cas je n'en avais pas besoin. Il les retrouvait et les mettait sur une branche d'un arbre à côté de nous. Mais après ce divertissement , j'avais très envie de lui. Il m'avait totalement troublé car je ne songeais même pas aux précautions qu'on doit prendre en pareil cas qu ...

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