Ce soir d’août, l’air est lourd à Grenoble. À 22h, je traîne mes 40 ans au parc de l’Île-d’Amour, lieu de drague notoire où les ombres dansent sous les lampadaires. Mon jean moulant trahit ma queue déjà à demi-dure, excité par l’idée d’une rencontre intempestive. Ce parc, je le connais bien : il y a quelques mois, deux militaires, dont un black à la bite monstrueuse, m’ont défoncé ici, laissant mon cul béant et ma mémoire en feu. Ce soir, je veux revivre ça, en plus intense.

Sous un chêne, je repère une silhouette. Un mec, 28 ans, mince, barbu, torse bombé sous un débardeur noir. Il s’approche, regard brûlant. « Salut, moi c’est Dany. T’es là pour quoi ? » Sa voix rauque et son short révélant un bulge énorme me font frissonner. « Pour m’éclater », je lâche, direct. Il ricane, pose sa main sur mon cul, ses doigts glissant déjà entre mes fesses. « T’as l’air d’une salope qui encaisse bien. Suis-moi. »

Il m’entraîne dans un coin sombre, près d’un bosquet. La lune éclaire son corps : 1m80, peau mate, biceps saillants, cuisses poilues et musclées. Il dégage une odeur de sueur et de testostérone qui m’enivre. Sans un mot, il baisse son short. Sa queue jaillit, 24 cm, épaisse, veinée, gland luisant de mouille. Ses couilles lourdes pendent comme des fruits mûrs. « À genoux, pute », grogne-t-il.

Je m’exécute, ma bouche s’ouvre, et je l’engloutis. Sa bite étire mes lèvres, son goût salé explose sur ma langue. Je le suce goulûment, ma main malaxant ses boules. Il empoigne mes cheveux, enfonce sa queue jusqu’à ma gorge. Je m’étouffe, bave, mais il force, ses hanches claquant contre mon visage. « Prends tout, salope ! » Je gémis, ma queue durcissant dans mon jean.

Il me relève, arrache mon pantalon, révélant mes fesses lisses, encore marquées par mes souvenirs des militaires. Il crache dans sa main, enduit ma rosette, et y enfonce deux doigts d’un coup. Je pousse un cri, mais il me bâillonne de sa main libre. « Ta gueule, t’en veux. » Il sort une capote texturée, l’enfile, et plaque son gland contre mon trou. D’un coup sec, il m’empale. La douleur est vive, mais l’excitation l’engloutit. Sa bite me remplit, ses couilles claquent contre mes cuisses. Il me pilonne, chaque coup de reins me faisant voir des étoiles. « Ton cul est serré, putain, je vais le déchirer ! »

Je me cambre, mes mains agrippant l’écorce de l’arbre. Il accélère, ses grognements animaux résonnent dans la nuit. « T’aimes ça, hein, chienne ? » Je halète : « Défonce-moi, vas-y ! » Il claque mes fesses, laissant des marques rouge ...

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