Il est 21h30 et je viens de passer un sacré moment avec un jeune rebeu, doté comme j’aime.
Ce dimanche 8 mai et après quelques conversations sur Twitter, je décide d’aller marcher au Bois de Thouars en me disant que si j’ai de la chance j’aurai la possibilité de me faire plaisir.
J’arrive sur le site vers 18H30, peu de monde, il fait encore beau et chaud et la rocade en provenance de l’atlantique est bondée. Mais ce n’est pas grave, je prends mon courage à deux mains et entame mon périple. Vers 20h et après environ 8 000 pas, je commence à arpenter les chemins du sous-bois et j’y croise quelques spécimens en recherche mais qui ne s’intéressent pas trop à moi. Mais ce n’est pas grave je continue mon périple. Vers mes 15 000 pas je décide de rentrer mais avant de remonter dans ma voiture, je vois que l’accès au stade est ouvert et qu’il est en grande réfection, curieux je me rends vers la porte ouverte et j’aperçois au loin un jeune rebeu avec son téléphone à la main et la clope au bec, il est en survet blanc avec une sacoche de marque. Je reste en haut de l’escalier qui descend vers le stade et ce jeune homme me rejoint, il passe devant moi et va s’installer dans les tribunes tout en jetant des regards en ma direction. Je regarde autour de moi et remarque que les toilettes au bord du terrain sont en également en travaux, je décide de m’y rendre histoire de....
Ni une ni deux, il descend de sa vigie et vient à ma rencontre, il rentre dans le bâtiment et me demande si j’ai du feu, il est à 2 cm de moi, je peux tout voir, son visage beau avec des yeux noirs profonds, une barbe fine mais fournie, une peau lisse et halée. Je baisse la tête pour fouiller dans ma sacoche pour lui tendre mon briquet et j’ai ma main qui frôle son sexe à travers le tissu de son pantalon de survet.
A peine, le briquet rangé, je commence à caresser sa queue à travers le tissu, il ne dit rien et défait le cordon de son pantalon pour le baisser jusqu’aux genoux.
A partir de cet instant, je suis électrisé par la situation, j’ai en face de moi un sexe de compétition, il est beau, circoncis, de très belle proportion. Je ne tarde pas à le mettre en bouche et c’est un bonheur. J’y vais progressivement et lui se laisse faire, comme s’il me laissait m’habituer à la taille de son braquenard. Mais dès que j’ai commencé à entamer les gorges profondes, il a mis une de ses mains derrière ma tête et a accompagné mes vas et viens sur la longueur de sa très belle queue. A ce moment-là, je pensais que ça n’allait pas aller plus loin. Mais il a baissé mon short et il a aperçu mon joc ...

... Connectez-vous pour lire la fin de cette histoire érotique | Inscription 100% gratuite