Le cousin de Paolo,
Comme déjà dis ici, d’être dans la peau d’une femme et d’avoir un splendide amant noir me remplissait de bonheur et d’excitation.
Paolo était le partenaire idéal, beau, propre, bien éduquée, mais a mon goût un peu trop sage et polie pour la salope que j’étais et entendais devenir.
Je lui avais déjà confié comment j’avais organisé que ma copine Gloria me cocufie, bien sur elle ne savait pas que c’est moi qui avais procure son tel et adresse au copain de Patricia ma belle maîtresse, Max, macho connu dans la ville pour toutes ses conquêtes, sa vigueur et sa virilité.
Max suffisamment sympa pour me transférer tous les sms chauds échanges et me décrire en buvant un verre les détails de ses rencontres torrides avec ma chérie Gloria.
C’était un mélange de souffrance, de plaisir et de désir très exaltant.
Je racontais tout ceci un soir au lit, blottie dans les bras de Paolo tout en caressant son sexe, il aimait beaucoup ma perversité et tout en me traitant de salope, me félicitais pour l’idée.
Je lui parlais donc de mon désir d’être à plusieurs hommes à la fois, si cela ne le dérangeait pas et s’il n’était pas jaloux ?
De mon cote je lui avais dis que je l encourageais à sortir avec qui il voulait à condition de tout me raconter, mais jusqu’à là il se contentais de moi.
Il n’avait rien contre me partager ou même me prêter/ louer et que en fait il avait un cousin qui pourrait être très intéressé et il lui avait déjà parlé de ce blanc qui devenait sa pute le soir ….
Houlà, cela me fit rougir et me mit mal à l’aise qu’il parle de moi, mais c’était pour la bonne cause.
Je lui demandais donc de me le décrire.
Il est pas mal me dit-il, il est costaud très noir, (Paolo était plutôt café crème) mais pas contre, c’est un peu un voyou, il est boxeur et se bagarre souvent, il est assez violent ….
Hummm cela m’émoustilla instantanément.
Cela t’intéresse me demanda-t-il ?
Bien sûr, j’aimerais le rencontrer, deux beau males pour me baiser, ça m’intéresse.
Quand ?
Et bien le plus vite possible …
Ok je l’appelle et je vois s’il est dispo.
Apres quelques sonneries, le cousin répondit et après quelques plaisanteries, Paolo rentra dans le vif du sujet, j’ai une pute blanche la, tu sais celle dont je t’ai parlé, oui je suis chez elle, elle aimerait un plan a trois.
Il lui donna mon adresse.
Ok il arrive, va te refaire une beauté et prépare-toi bien, tu as du whisky c’est cela qu’il boit, je te préviens il sort de l’entraînement et est plein d’adrénaline, mais t inquiète, je suis la chérie
Apres une douche rapide, je remis mon maquillage et mes cuissardes, petite nuisette noire et sans culotte, perruque blonde et coco Channel 5 …
Quelques minutes après, on sonnait, Paolo me dit c’est lui va ouvrir, je traversais donc le jardin, habillée en pute ce qui me gênait par rapport aux yeux indiscret des voisins, et j’entrouvris le portail.
Un athlète très noir, en short et débardeur, me fit un signe du menton, allez ouvres ….
Je lui dis un timide bonsoir et lui indiquait la porte de ma maison.
Dans le salon, Paolo l’accueillit et il se serrèrent la main, puis Paolo m’ordonna de leur servir deux whiskies je m’exécutais et whisky en main le boxeur commença à me contempler et à faire des commentaires à Paolo, qui s’esclaffa.
Bon Monika, me dit-il, je te présente mon cousin Richard, il s’excuse mais il n’a pas eu le temps de prendre une douche, mais je sais que ça ne te dérange pas hein ?
En fait il était couvert de sueur, je m’approchais de lui, il me regarda goguenard et me dit, donc c’est toi qui seras ma pute ce soir ?
Oui monsieur,
Bien me dit-il, je passais mes bras autour de son cou, et il me prit par la taille et m’embrassa, très long patin, gourmand et profond.
Son corps muscle, dur comme du béton contre le mien, son odeur très forte de male en rut qui m’aurait indisposée dans d’autres circonstance m’existait au plus haut point.
Il cessa de prendre ma bouche pour embrasser mon cou, tu sens bon petite salope …et ses mains pétrissaient mes fesses pas trop tendrement, j’aimais bien, Paolo nous matait en souriant.
Nos ventres se touchaient et nos deux sexe bandes se frottaient.
Je fis remonter le débardeur orange sur le torse de Richard, dévoilant un corps sec et muscle, diffèrent des muscles ronds et gonfle de Paolo, je commençais à lécher la sueur acre et salée de sa poitrine, me régalait vraiment, puis lui fit soulever les bras en enfouie mon visage sous ses aisselles poilue et but sa sueur, c’était trop excitant, pour lui, pour moi et Paolo.
Ma main descendit vers son sexe, dresse dans son short, je le saisi et le caressait doucement à travers l’étoffe.
Paolo était surpris que je sois aussi folle de la sueur de son cousin, car lui avait une hygiène impeccable et jamais je n’avais senti d’odeurs extrêmes chez lui.
Doucement je me laissais glisser à ses pieds, en caressant ses abdos, lechant jusqu’au nombril, m’attardant dans son nombril poilu et suant et aspirait encore sa sueur ici.
Chacun des ses soupirs et de ses commentaires, sur mon habilite à lécher, sur mes baisers, sur ma langue, me motivait,
Elle est bien ta salope blanche, jamais une fille d’ici ne m’a léché comme ça, déclara t’il a Paolo.
Paolo répondit, tu n’as encore rien vu, elle est vraiment accro aux blacks.
Puis je baissais son short, un slip vert distendu par sa bitte bandée et humide de sueur de l’entraînement, je léchais sa queue à travers le tissu, humant les effluves males et goûtant l’amertume de la pisse et sueur mêlée.
Le slip baisse, les belles couilles velues et pleines et la verge au garde à vous dégagées, je, tout en caressant ses cuisses de haut en bas passait derrière lui et commençais à caresser son beau cul muscle, velu et bombe et à le couvrir de doux baiser, et à le lécher ….
Je remarquais que Paolo avait baisse son pantalon et se caressait en profitant du spectacle.
Richard s’assit sur le canape et je commençais la dégustation de ses deux fruits murs et de la tige bandée, au début l’odeur de sa queue était un peu forte, mélange de pisse, de sueur mais très vite, ma salive lava sa bitte et le goût s’estompa, quant a lui il appréciait le traitement, me flattais la nuque , me guidait en me poussant vers le bas pour gober ses couilles , puis de nouveau vers le haut , je crachais sur son gland et le reprenais en bouche.(si vous vous rappelez ma chérie Gloria qui me trompait avec Max, traitait mon gland et celui de Max de la même façon, et j’adorais, en faisant la femme m’ identifier à elle.)
Bon, déclara Richard, je veux trop la baiser, ou est la chambre.
Paolo éclata de rire, tu la kiffe à ce point la….
Allons y.
Je me levais, me blottis contre mon nouvel amant et le pris par la main pour le guider vers la chambre.
Devant le lit, je l’embrassais, mais il ne me rendit pas mon baiser, mais me poussa sur le lit.
Lui et Paolo restèrent au pied du lit à me contempler quelques secondes, puis ils, chacun de leurs côtes saisirent mes jambes, les écartèrent et ôtèrent mes cuissardes, puis mes bas, découvrant mes orteils vernis rouge vifs.
Richard, s’exclama, vraiment, c’est une salope, se vernir les ongles, enfin, j’aime et il prit mes pieds dans ses mains et les couvris de bisous, c’était exquis, et étonnant pour un mec macho comme lui.
Puis ils remontèrent ensemble vers moi, enlèvent ma nuisette et tous deux se mirent à téter mes petits seins…je râlais de plaisir, ils n’étaient ni l’un ni l’autre trop tendre, mais les morsures et pinceme ...
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