Les réflexions qui suivent m’ont été inspirées après que j’ai maté sur ce site une belle video publiée par l’un d’entre nous qui se reconnaîtra peut-être… Il s’exhibe, nu dans sa voiture garée en plein bois, et se branle sa belle bite jusqu’à éjaculation… Ce beau spectacle m’a bien excité et m’a inspiré les réflexions qui suivent.

Quand je te vois branler doucement ta belle queue bien raide, cher ami, nu dans ta voiture, caché dans un petit bois près de chez toi, je ne peux empêcher des pensées coquines de m'assaillir... et de me donner une irrépressible envie de me l'accaparer, ta belle queue, d'en faire mon jouet chéri, l'objet de tous mes soins, de la caresser, de la baiser de mes lèvres gourmandes, de la lécher de ma langue coquine, et surtout - ô délice suprême ! - de la prendre en bouche, d'abord en gober le gland délicieux et puis, l'avalant progressivement sur toute la longueur de sa hampe, de la pomper longuement, amoureusement, sensuellement, et pomper, pomper avec volupté cette bite délicieuse, en goûter tout la fois la douceur et la raideur, la pomper encore jusqu'à sentir les prémices de ta jouissance - instant délicieux précédent ton éjaculation – et sentir tout ton corps se raidir jusqu'au bout de ta queue, entendre les gémissements du plaisir ineffable qui accompagnent la progression de ton jus et enfin le sentir, ce jus, gicler du méat de ta bite dans ma bouche... Ce n'est pas que j'aime particulièrement le goût du sperme, non, mais j'adore tellement - depuis très jeune quand on m’a fait découvrir ce plaisir indicible - faire jouir un homme et le sentir se vider en moi et l'entendre jouir, j'aime tellement lui donner du plaisir, être sa salope dans laquelle il se vide les couilles, que je me régale de ce jus dans ma bouche... parce que c'est le jus de son plaisir, d'un plaisir que j'ai réussi à provoquer et qu'il m'est destiné...
Cette jouissance indicible que je ressens à avoir une bite en bouche et à la sucer comme un savoureux bâton au chocolat, me donne souvent envie d'aller plus loin et d'offrir mon bien le plus précieux, mes fesses, et au centre de celles-ci, la rondelle de mon petit trou du cul, à mon "homme", celui qui a pour quelques instants le statut de "mon amant", afin de sentir sa queue dans mon cul et dans les profondeurs les plus intimes de mon corps.
Cela ne se passe pas toujours ainsi, mais, en proie à cette envie, il m'est arrivé d'interrompre avant son terme le processus engagé et de confier à l'amant de rencontre que le sucer est si bon, que sa bite est si excitante à sucer que cela me donne envie de la sentir ...

... Connectez-vous pour lire la fin de cette histoire érotique | Inscription 100% gratuite