« Bon mon Karim, après ce repas et ce super dessert que tu m’as ramené, allons nous poser sur le salon, c’est l’heure du film de boule sur canal. »
Au fond de moi, je ne voulais pas que l’on m’impose un film hétéro juste vulgaire pour me yeux.
23H00, allez mon chou viens t’asseoir.
Nous étions tous les deux, assis face un groupe de personne qui baisait en veux-tu en voilà.
Mon Rachid n’en perdait pas une miette. Par moments je sentais son regard qui se posait sur moi. Il me scrutait de la tête au pied.
Cela me donnait juste envie de lui dire : C’est quand que nous passons aux choses sérieuses ?
Il s’en donnait à cœur joie vraisemblablement que de me toiser comme si c’était la première fois qu’il me voyait.
Nous étions assis l’un à côté de l’autre, des voisins d’un vol pour l’Algérie. Sa main posée sur son sexe qui laissait transparaitre un poutre en pleine forme à travers une djellaba.
Ses jambes étaient légèrement écartées et frôlaient ma petite béquille gauche.
« Je te sers un verre » ?
-Ca ira Rachid, nous avons trop bu et puis il se fait tard, même si c’est samedi demain, je dois tout de même me lever tôt. Je dois organiser les plannings pour les salariés de l’agence et prendre des nouvelles de mes proches ».
« Allez bébé, commence pas à faire ta mijaurée, d’ailleurs, tu restes habillé toi ? humm regarde un peu cette scène pas mal non ?
Ma jambe n’en revenait pas, il venait de poser sa main sur ma cuisse gauche.
Non je ne regardait pas le spectacle de canal. Cela ne m’intéressait pas. Je lui montrai bien que je n’avais nul envie de faire semblant.
Je ne regarde pas de film de cul. Putain ça existe oui.
La libération : La pub venait sonner la fin de la première mi-temps plus que sensuelle aux yeux de mon beau Brun, Rachid le voisin.
Il quitta le canapé pour aller aux toilettes. Je le regardai tituber dans son grand corps puissant.
Je ne sais pas comment vais-je faire pour me sortir de là. Il semblait tellement hétéro.
Et si cette suite n’avait pas de cul comme on dit dans notre jargon. Vous seriez, vous, mes lecteurs, déçus ?
Alors sachez que je le serai également.
Pendant son absence je m’étais rapproché de son côté. J’espérai que mes jambes soient plus en contact avec sa peau, ses poils.
« Alors bogosse, tu veux toujours pas remonter ta djellaba, aère un peu tes jambes quand même. Regarde comment on fait. Voilà tu soulèves les 2 côtés et tu fais un nœuds. Tes parties sont cachées et en même temps tu prends l’air dit-il en riant.
Sympa non ? Moi j’adore faire ça quand je suis seul chez moi, ça m’excite et ajouté à cela un bon film de boule, humm j’en fous partout après »
Il avait tout dit sans le nommer. Prendre du plaisir. Nous en étions tous arrivés à ce stade. Comment prendre du plaisir lors qu’il n’y avait pas de partenaire avec qui échanger de la sensualité jusqu’au moment bestial de l’acte ?
Mes jambes dénudées je n’arrivais pas à voir la fin du tunnel. Non pas que le film me répugnait non, mais ces jambes viriles qui se collaient à moi, ne faisaient que provoquer en moi de la frustration mêlée à un désir fort.
Je posais mes mains sur sa jambe gauche et appuyais très fort. Il me regarda me lever.
Il comprit que je ne voulais pas le caresser mais que j’étais tellement cuit que j’avais besoin de sa cuisse pour faire appui.
« Hé bonhomme, tu vas où comme ça ? il est presque une heure du matin, tu vas pas mettre l’ascenseur en route pour rejoindre ton dernier étage. Les gens dorment ici »
Ce que j’avais compris c’est qu’il voulait que je passe la nuit chez lui. Je n’ai pas bronché. Il s’est levé et m’a indiqué le lit sur lequel je pouvais dormir.
Nous étions dans sa chambre, un endroit bien rangé. Les draps sentaient le propre.
« Voilà, tu peux t’installer là, je dormirai sur le canapé ». Moi je dors tard tu sais, je vais regarder le film et puis je déplierai le canapé lit. Bises bogosse, monsieur le responsable. A demain »
La porte se referma. Je ne sais pas si j’étais soulagé ou déçu. Cependant j’avais passé un bon moment en sa compagnie.
Le sommeil avait raison de moi.
Rachid 1H45 toujours dans mon canapé :
j'ai relancé mon film de boule, pendant que j'ai mis l'autre au lit.
Je regarde ces films qui tournent en rond et ma queue n’en peut plus. Humm c’est bon ça, oui continue comme ça, oui on dirait qu’elle aime ça en plus, mais c'est qu'elle n'a même pas mal. Waou. Putain que ca m'excite ça.
Ma queue est raide.
Je me la touche, je me caresse les couilles et porte mes doigt au nez, humm ca sent la chaleur, la sueur. A cet instant je pense à ce Karim, il doit dormir.
Est-il nu, habillé. Cet idiot, il est tellement bourré qu’il a dû s’endormir tout habillé.
Il est quand même mignon ce petit beur, et la djellaba lui va comme un gant.
Je me surprends, tout en me touchant la queue, je l’imagine à 4 pattes sa chatte bien offerte , au milieu du salon.
Il doit aimer ça cette salope.
Je me lève la queue raide, et me dirige vers la chambre. Il est endormi, l’oreiller sur la tête. Il a pris la position d’un cocon qui n’est pas prêt de d’éclore.
Le drap couvre son corps. Sur la chaise il a posé ses vêtements. Humm sympa il porte un string alors ?
Quel c ...
... Connectez-vous pour lire la fin de cette histoire érotique | Inscription 100% gratuite
Ce site est réservé à un public MAJEUR. Il contient des images et textes à caractère sexuel qui peuvent choquer certaines sensibilités. Merci de quitter si vous êtes mineur(e).
U.S.C. 2257 Record Keeping Requirements Compliance Statement
Oui, j'ai + de 18 ans ! Non, je suis mineur