Cette histoire s’est passée la semaine dernière, avant la fin de mes congés d’été.

Je me réveille ce matin-là avec une grande envie de coquiner.
Je me connecte donc à ce site pour voir si des mecs chauds sont connectés, mais surtout disponibles dans la journée.
J’envoie des messages à différents profils.
L’un d’eux me répond rapidement : un homme de la cinquantaine vivant au sud de Rennes.
On discute des envies de chacun.
Je lui dis que je recherche un actif à sucer et pour s’occuper de mon petit orifice en manque d’une bonne queue.
Mes rapports sont toujours avec capotes.
Le mec est chaud pour se faire tailler une pipe, mais par contre il me dit qu’il baise sans protection, car le port du préservatif le fait débander.
Quel dommage, j’ai le feu au cul.
Après plusieurs échanges, je lui dis que je veux bien venir le sucer, mais il n’y aura pas de pénétration malheureusement.
On se fixe un rendez-vous en début d’après-midi chez lui.
Je lui demande s’il ne connaît pas un gars qui pourrait se joindre à nous ; je ne serais pas contre un trio.
Piper en me faisant prendre le cul est un fantasme que j’aimerais assouvir.
Il contacte deux ou trois gars, mais personne n’est disponible entre les vacances de certains et le travail pour d’autres.
Pas grave, on passera ce moment tous les deux.
Après une préparation (douche et lavement intérieur, car il veut bien me doigter), je prends ma voiture et, après 30 minutes de trajet, me voilà devant le pas de sa porte.
Là, je découvre un daddy pas très grand, trapu, cheveux courts poivre et sel.
Il est torse nu ; il faisait chaud ce jour-là.
Il ferme la porte et, direct, il me met une main aux fesses et m’invite à aller dans son salon-cuisine.
Moins d’une minute après être rentré chez lui, j’enlève mon t-shirt et abaisse mon bermuda. Ne portant pas de boxer, me voilà déjà nu.
« Tu ne perds pas de temps », me dit-il.
« Je suis bouillant », lui répondis-je.
En lui disant ça, j’agrippe le bouton de son short et le baisse ainsi que son boxer. Désormais, nous sommes nus tous les deux, on se caresse mutuellement : lui me titillant mes tétons et moi agrippant son sexe.
Mes caresses ne tarderont pas à faire leur effet, son sexe durcit.
Ce n’est pas un chibre imposant, environ quinze centimètres ; j’aurais aimé plus long et large, pas grave, je vais me contenter de ça.
Je me mets à genoux et prends en bouche sa queue. Je le pompe activement, et cela lui plaît.
Je me relève tout en continuant de le sucer, mon postérieur tendu en arrière ; c’est un appel à me faire doigter, et il le comprend bien.
Je lui dis que j’ai du lubrifiant dans mon sac.
Je le saisis et lui donne.
Dans sa pièce se trouve un îlot central : je pose mes avant-bras dessus et tends ma croupe à mon coquin du jour.
Il enduit ma rondelle de lubrifiant et commence à masser mon petit cul.
Quel plaisir, j’adore !
Puis vient le moment où il décide d’introduire son doigt et commence des vas-et-viens à l’intérieur. Je pousse des petits cris de plaisir. Le rythme s’accélère et mon cul se dilate de plus en plus.
Il décide d’introduire un deuxième doigt p ...

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