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Vacances en side car au Maroc 4

Publié par : pierre49590 le 03/10/2024

Je ne sais qui lui avait donné ce conseil, où il l’avait déniché, mais Daoud posa chacune de ses mains, sur mes cuisses, presque au niveau des genoux. Je doutais bien peu de la force de préhension d’une telle position en cas de vive accélération, mais, compte tenu de la vitesse modérée à laquelle j’étais contraint, cela pourrait suffire. Très rapidement, nous fûmes enveloppés d’un nuage de fesh fesh, le vent arrivant par derrière nous et limitant notre champ de vision et, plus particulièrement pour moi, vers l’avant. Je mis mes lunettes sable type Afrika Korps.
La pauvre femme, en position encore plus basse que nous, s’était entièrement recouverte de voiles divers pour se protéger, ne voyant de ce fait absolument plus la route. Tant mieux, pensais-je, cela la rassurera.
La piste défilait, avec ses cahots, ses descentes difficiles à négocier. Ce faisant, je remarquais, et je ne savais si c’était par l’effet des soubresauts, que les mains de Daoud s’étaient légèrement reculées.
Il me demanda :
- Pas de problèmes ?
- Non, ça roule. Pas vite, mais ça roule. On ne sera peut-être pas à l’heure !
- Inch Allah !
Quelques minutes passèrent et je sentis très nettement dans ses mains comme dans une action de léger pétrissage. Oh ! Presque imperceptible, mais évidente, en dépit des soubresauts. Je m’interrogeais sur ces gestes mais ne pouvait m’empêcher de me remémorer ses regards appuyés d’hier soir.
-Ça va ?
-Oui, oui répondis-je.
Puis cela devint réellement des caresses, ses mains courant de mes genoux à presque le haut de mes cuisses. Il appuya de plus en plus fort afin sans doute que je comprenne son petit manège. Je rigolais en moi-même en me disant : le fils tiendrait-il du père finalement ?
Je jetais un coup d’œil de vérification dans le panier du side. Le monceau de voiles accumulés ne risquait pas de voir grand-chose. J’en profitais alors, tout en pilotant, pour ouvrir un peu plus mes jambes et les refermer alternativement. L’invite était flagrante.
Mais, peut-être par peur du scandale, il n’osait visiblement aller plus loin, sauf qu’il remontait maintenant un peu plus nettement, jusqu’au haut de ma cuisse tout de même.
Décidé à le mettre à l’aise et enlever tout doute, car il m’excitait terriblement, j’enlevais mes lunettes, me retournais vers lui, en lui décrochant un sourire des plus évocateurs. Il me le rendit et dans la foulée passa sa main sur mon entre jambes. Bien évidemment, il découvrit mon érection plus que flagrante. Il en profita alors pour tout simplement me caresser divinement à travers le tissu. Quel pied ! Ce type était un expert ! Je me retournais à nouveau pour lui faire un clin d’œil. Il me le rendit. On s’était compris. Bingo !
Vint alors un malaxage en bonne et due forme de mon chibre bien tendu. Un coup d’œil sur le côté pour vérifier Madame et je lui fis signe d’un pouce que tout était ok. Il continuait à me malaxer mon vit avec une main essayant de passer sous mes couilles. Puis, avec la main droite, il glissa adroitement, à travers un bouton qu’il défit, son doigt habile, abaissant avec grande dextérité l’élastique de mon slip, et vint directement au contact de ma peau. Il tâtonna un instant pour trouver mon gland qu’il dénicha complètement sur mon aine gauche. Avec adresse, il se mit à jouer avec mon prépuce, faisant tourner son doigt sur l’anneau préputial, le faisant pénétrer lentement pour caresser mon bourrelet, puis ressortir en faisant des petites circonvolutions.
Il n’y avait plus rien à confirmer, il aimait les hommes ! Je glissais donc à mon tour ma main gauche vers l’arrière pour trouver sans aucune difficulté son énorme vit, gonflé déjà à bloc. Tout en continuant de temps à autre à jeter un coup d’œil du côté du side, j’attaquais un pelotage de ce magnifique engin, dont ma main seule ne parvenait pas à couvrir toute la longueur. Son pantalon de djellaba très lâche me permit même d’y pénétrer facilement et de reprendre réellement, cette fois à pleine peau, ce magnifique sexe tout chaud de ferveur. Cela devait le ravir grandement, car il accéléra vigoureusement le tripotage de mon gland. Pour ma part, ma position n’était pas aisée, avec cette main gauche dans mon dos. Il me fallait tout de même parfois l’enlever pour débrayer lors d’un changement de vitesse. Mais c’était toujours avec délice que je la glissais à nouveau vers son magnifique mandrin. Tout cela me surchauffait, la chaleur de son sexe, sa dureté, les contractions de son gland sous le plaisir, ses caresses si expertes... Je ne pus m’empêcher d’éjaculer dans sa main dans un râle que je dus contenir... Il ne sembla pas surpris. Il retira lentement sa main, me la présenta pleine de mon sperme pour que je la lèche. Je m’exécutais. Puis, je replaçais ma main sur son sexe et essayais de le masturber. Il me tapota sur l’épaule, s’empara de mes doigts pour les placer contre ses couilles en me faisant comprendre que je devais les palper, puis, avec sa main droite cachée dans son long emmanchement, il commença à se masturber lui-même. Il jouit rapidement, inondant même mes doigts passés sous ses testicules. Je me rendis compte que lui aussi retenait un long râle de plaisir aussi silencieusement que possible. Puis, il me tendit à nouveau sa main pour que je la lèche, ce que je fis avec gourmandise : appréciant cette odeur forte, virile, salée, un peu âpre même.
Il s’aventura dans un rapide baiser dans mon cou. Cela fit frissonner toute mon échine d’autant que je n’étais absolument pas habitué au frôlement d’une moustache.
Une fois tous deux rassasiés, je pus me concentrer uniquement sur mon pilotage. Ma moyenne horaire s’en ressentit d’ailleurs. Simplement, de temps à autre, il venait me caresser furtivement le sexe ou déposer encore un baiser sur ma nuque. Il avait compris que cela m’émoustillait, à la contraction évidente de mon cou.
Pour ma part, j’étais au paradis et souhaitais que cette balade ne se termine jamais. J’avais derrière moi un vrai mâle, comme je les adorais à cet âge, même si je ne dénigrais pas les jeunes comme Karim, par exemple. Je le sentais collé à moi, je devinais cette force un peu « brutasse », cette virilité si prégnante, ses mains fortes quand elles me pressaient, ses effluves fortes et tenaces... Bref, je me rendais compte que j’avais tout de même un côté féminin, bien que n’ayant pas encore accepté de me faire prendre par un homme.
Nous arrivâmes à destination. Je descendis de ma machine pour aider la femme de Daoud à s’extirper et à récupérer tous ses colis. Sa famille arriva. Elle me présenta à toute la smala, et surtout ses parents, couple vénérable et digne.
Bien sûr, hors de question de repartir dans la foulée. Nous dûmes boire force thés à la menthe, délicieux par ailleurs, et ingurgiter un maximum de gâteaux un peu trop sucrés à mon goût. Ce n’est qu’au bout d’un bon moment que nous pûmes rentrer, Daoud et moi.
Le retour se fit plus rapide, avec un Daoud relativement sage, cette fois, mis à part quelques caresses bien placées et fort agréables que je lui rendais par ma main qui s’immisçait à nouveau dans le fuseau de sa djellaba qu’il avait laissé dénouée, à dessein certainement. Aux trois quarts du trajet, une fois la route goudronnée atteinte, il me demanda de m’arrêter.
- On peut pas rentrer au douar comme ça, dans cette tenue ! On va s’arrêter chez un ami pour se décrasser.
Ce fut chose faite, dans une assez pimpante mechta, bien propre. Nous fûmes accueillis par le maître de maison. Après moult salutations et accolades viriles, Dao ...

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