Arthur vient de me faire lui prodiguer ma première fellation. « Aux âmes bien nées, la valeur n’attend pas le nombre des années » : j’ai su tellement l’exciter qu’il a rapidement explosé dans ma bouche et j’ai ainsi pu découvrir le goût d’un autre sperme que le mien. Ce goût a chassé celui de la cyprine d’Elise qui s’est remise de ses émotions suite à mon cunnilingus et son utilisation d’un gode double dans mon tréfonds.

Elle revient vers moi et me dit qu’on passe à l’apprentissage suivant : je dois tenir le plus longtemps possible alors qu’elle a tous les droits pour m’exciter au maximum. Elle n’a pas le loisir de m’exposer un strip-tease car elle ne s’est pas rhabillée mais elle entame une danse des plus sensuelles en s’approchant de moi. Sa foufoune est encore trempée et elle vient l’essuyer contre ma cuisse en remontant le plus possible vers ma queue qui n’a pas encore repris sa vigueur après ma récente éjaculation. Elle me regarde avec des yeux de braise et pousse des souffles d’excitation par les narines en approchant son visage du mien. Je perçois son parfum envoûtant et j’ai même l’impression de sentir ses phéromones. Sa main prend mes deux couilles et les soulève avec délicatesse. Je sens déjà mon chibre se raidir. Elle m’attrape par la nuque et commence à investir ma bouche de sa langue fougueuse. Son baiser est incendiaire et mon gland se déshabille à moitié en pointant vers le plafond. Elise le débarrasse de cette enveloppe de peau en la faisant coulisser tout en commençant à me branler doucement mais fermement à la fois.
Quelle lionne ! Elle m’excite par ses flagrances, sa langue qui joue voluptueusement avec la mienne et sa main experte sur ma bite. Cela ne lui suffit pas : elle m’attire sur le lit qui se trouve dans l’angle de la pièce et elle m’y projette sur le dos avant de m’enjamber en se positionnant au-dessus de moi. Elle ne reprend pas notre baiser endiablé mais sans même utiliser ses mains, elle insinue mon gland entre ses lèvres vaginales et elle l’aspire littéralement vers le fond de son vagin si lubrifié ! Elle m’éblouit presque de son regard ardent, en tout cas, elle me propage son excitation. Son bassin commence à onduler et ses muscles vaginaux se contractent en comprimant mon sexe raidi au maximum. Ses muscles vaginaux se resserrent sur ma tige en différents niveaux de mon chibre en fonction qu’elle les contracte tous en même temps alors que je suis au plus profond d’elle ou sur une partie seulement en fonction de ses allers-venues, en se soulevant ou en se laissant retomber sur moi. Elle contrôle tellement sa technique sexuelle que j’ai parfois l’impression que la succion ressentie est encore plus forte que celle produite par une bouche avide !
Je sens mes testicules sur le point de tout lâcher et elle nous retourne comme une ...

... Connectez-vous pour lire la fin de cette histoire érotique | Inscription 100% gratuite