Sa peau est extrêmement douce et je malaxe ses deux magnifiques fesses très toniques. Je voudrais bien les admirer visuellement mais je me contente de les imaginer par la palpation. J’insinue un doigt le long de sa raie et cela semble lui plaire puisqu’elle frotte son abricot contre mon chibre tendu, à l’étroit dans ma petite culotte brésilienne. L’ambiance s’échauffe et s’électrise : j’ai de plus en plus envie de soulever cette soubrette, la retourner et pointer mon gland contre sa rosette ou sa vulve. Elle m’échauffe les sens et me fait perdre la tête.
Au moment où je vais la retourner pour la pénétrer de mon dard excité, la porte s’ouvre et le Maître assène à la soubrette un douloureux coup de canne dans le dos. Elle se relève aussitôt et s’esquive rapidement. Dans la foulée, le Maître m’assène un violent coup de canne sur la queue tendue. Je me tors de douleur sans mot dire et mon érection s’estompe très vite. « Petite pute ! Tu n’es pas là pour forniquer avec mon personnel. Tu as été formée pour mon plaisir et celui de mes convives. Tu feras ce qu’on t’ordonnera. Maintenant tu me suis. Je vais te présenter à mes invités. »
Je suis tout penaud et je le suis pas à pas. Nous arrivons dans une grande salle où se mêlent des gens habillés chiquement et d’autres qui sont dénudés, en situations d’échanges sexuels. Il s’agit de la première partouze bourgeoise à laquelle j’assiste. Le Maître me pousse à monter les marches de l’escalier central et s’arrête au niveau du palier médian. Il frappe dans ses mains pour obtenir l’attention de son assistance. Tous les regards se tournent illico vers nous et le Maître me présente comme sa nouvelle recrue. « Elle est fraîchement formée et satisfera toutes vos exigences sexuelles. Vous pourrez profiter d’elle en fonction de votre tirage à la loterie du jour. »
Il se fait servir une coupe de champagne et m’indique de rester où je suis en attendant que quelqu’un vienne me solliciter. Je n’attends pas longtemps avant qu’un couple de quinquagénaires ne s’approche de moi. L’homme se place devant moi et baisse directement son pantalon et son slip. Il prend ma main dans laquelle il positionne sa verge molle. Presque toute l’assemblée a le regard fixé sur nous, exhibés au milieu des marches d’escalier. La femme se place derrière moi et me passe une main sous la jupe en effleurant mon périnée et progresse en avant jusqu’à palper mes bourses et mon sexe ramolli. Elle s’écrit alors vers les autres convives : « Cette jolie créature possède indéniablement des atouts conséquents de sexe mâle ! »
Elle me tourne la tête et m’oblige à l’embrasser avec la langue. Je n’aime pas sa façon d’embrasser mais je n’ai pas le choix. Heureusement cette situation ne dure pas longtemps et l’homme reprend la situation en main : il nous sépare d’avec sa femme, me tourne de nouveau vers lui et appuie sur mes épaules pour présenter son sexe à ma bouche. Je mets donc en exécution les cours que je viens de recevoir et je soupèse ses deux couilles tout en lui léchant le gland et lui suçant sa bite sur toute sa longueur. Sa femme ne demeure pas simple spectatrice : elle appuie sur ma tête et imprime le rythme. La bite de l’homme gonfle dans ma bouche et il commence déjà à gémir. Je m’applique à bien baver pour bien lubrifier ce braquemard qui coulisse dans ma bouche. Quand son gland parvient au fond de ma gorge et dépasse mes amygdales mes glandes sécrète une bave des plus visqueuses. Les va et vient se succèdent et la bave coule de ma bouche en un long filet. Quand madame m’en laisse la possibilité, je promène ma langue détendue tout autour de ce gland volumineux et de temps en temps, je tends ma langue pour titiller son frein ou son méat. Au début de sa pénétration dans ma bouche, j’aspire son gland autant que je peux comme si ...

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