Lundi après-midi Béatrice est passée à la maison pour se détendre.
On a le même âge à peu près.
Elle est arrivée vers 14 h, et je lui ouvert la porte complétement nu. C’était la consigne.
Pour ne pas mentir j’avais tout de même un joli plug inox dans le trou du cul. Là aussi à sa demande.

Après les bisous de bienvenue elle m’a habillé en femme. D’abord les dim-up. Elle m’a bien montré pour le premier et a vérifié pour le second que j’avais bien compris comment faire..
Ensuite une culotte de dame, noire et blanche avec un petit nœud rose vif devant. C’était très doux.
Rien à voir avec le mini-culotte blanche transparente que je porte parfois. Ce n’était pas une réunion entre putes !

Pour le soutien elle m’a demandé de l’agrafer avec les deux mains dans le dos. J’ai eu quelques difficultés mais j’y suis arrivé.
J’ai enfilé la robe sans manches qu’elle m’a offerte le mois dernier.
Un peu de rouge à lèvres bien vif, des ballerines bleues avec un petit nœud et voilà !!

On est allé dans la salle de bains pour admirer le résultat..
J’étais femme et je me sentais bien, très épanoui(e) …
Le volume du plug dans mon trou du cul me donnait une sensation de bien-être.

Ensuite Béatrice a essayé de me faire apprendre des gestes féminins, comment se tenir, marcher, s’asseoir…
Mes progrès étaient assez lents et elle s’est agacé !
« Tu ne veux pas apprendre !! »
Elle m’a fait poser le torse sur la grande table du salon et m’a relevé la robe jusqu’aux épaules !!
D’un coup sec elle a baissé ma culotte jusqu’aux chevilles. Mon cul était totalement offert.
Coquine, elle a commencé à jouer avec le plug, d’abord dans l’axe, puis en le faisant tourner. Mais cela ne faisait pas mal, au contraire cela accentuait les bonnes sensations.
Ensuite elle sorti de son sac un gros martinet rouge, et j’ai dû sucer quelques lanières.
Elle a commencé à me fouetter, pas trop fort mais avec une fréquence assez rapide. J’avais le temps de répondre soit « Merci », soit « Encore ». J’avais le choix du mot..
De temps en temps elle s’arrêtait pour me laisser souffler un peu. Elle en profitait pour me prendre les couilles en main et les serrer. Elle aurait été assez bête de ne pas en profiter !!
Avec ce traitement ma bite était bien ratatinée, un vrai clito.
Mes fesses commençaient à me faire mal et Mamie à fini par se lasser.
« Voilà, ton cul est bien rouge, on a fait du beau travail ! Et maintenant, à genoux ! »
Je me retrouve donc sur la moquette, la robe était retombée mais la culotte toujours aux c ...

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