Je me réveille avec un mail au crâne, et une forte envie de me vider les couilles.
J'essaie de réfléchir à la connerie que j'ai faite.
Me faire tirer devant Patrick ne me dérange pas, mais alors qu'il y a des mecs et des gonzesses juste à côté, et qui ont tout entendu,c'est la honte.
Retourner au Shanghai en sachant que certains seront sûrement au courant? Il va me falloir un peu de temps!
En tout cas, ce que m'a mis le métis, ça, je ne le regrette pas. On aurait commencé la soirée de cette façon, j'en aurais redemandé. Et je me rappelle le gars qui m'a pris en stop, et qui n'a pensé qu'à lui. S'il m'avait respecté, on se serait sûrement revus. Sans parler d'argent, peut-être.
2 aspirines, p'tit dej et douche.
Je sors et je croise David. Ses parents sont chez lui. Chez moi pareil.
Je me souviens du cellier qu'on a trouvé avec Alex.
Arrivé devant, j'ai oublié le code du cadenas.
- j'ai trop envie de t'enculet.
- quoi? Là? Debout?
Je suis obligé de plier un peu les genoux pour être à sa hauteur.
- déjà?
- pardon! J'en pouvais plus!
- tu connais pas un coin plus tranquille?
- eh non! Sinon on y aurait été!
- merde!
Je lui fais une pipe pour me faire pardonner et on ressort en plein jour.
On erre au hasard. Pas un chat.
L'envie me reprend. Je regarde aux alentours, personne.
- viens, on va dans le petit bois!
- pourquoi faire?
- on va recommencer.
- quoi? Dans l'herbe?
Je m'engage et il me suis.
- on va se salir.
On trouve un coin bien caché. Même si quelqu'un passe, on pourrait se dissimuler.
Au pied d'un gros arbre, je retire tous mes vêtements devant son regard hésitant.
- vas-y, pose tes affaires là.
- ça va pas piquer, l'herbe?
- allez, vas-y.
Pour le détendre, je lui bouffe longuement le cul.
Je sais qu'il a du sperme à l'intérieur, mais ma langue ne risque pas de l'atteindre. De toute façon c'est le mien.
Tout à l'heure on a fait ça trop vite, cette fois on va prendre notre temps.
Il frétille sous mes coups de langue. Je vois qu'il est bien et détendu.
- allez, ça suffit!
- hein! Mais non!
- t'es malade! Je vais te mettre en cloque, oui!
J'humecte ma queue et je l'enfonce lentement. Il écarte un peu plus les cuisses et se cambre.
- je vais faire de toi ma salope!
- c'est déjà fait, non?
- espèce de chienne!
- ça t'arrange bien!
C'est un amour!
Je me colle à son dos de façon que le maximum de nos peaux de touchent,
Je passe une main sous sa poitrine pour le tenir par la clavicule, bien serré contre moi, l'autre main sur la sienne.
Je fais de tout petits va-et-vients, sans décoller mon bassin du sien.
- j'aimerais qu'on reste comme ça jusqu'à la nuit.
- ça serait trop bien!
J'essaie de faire durer ce bon moment en arrêtant de le limer chaque fois que je sent que ça mote pour reprendre après quelques secondes.
Sa peau douce avec une légère odeur de savon à l'amande est un vrai bonheur.
Je lui fais plusieurs petites bises sur la nuque ...
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