C'était il y a quelques années, toujours dans ma jeunesse dans une grande ville du sud de la France.
Je l'évoquais dans ma précédente histoire, c'était une période ou j'explorais mes désirs, mes envies alors que je n'avais été intime qu'avec une seule personne.
Je regardais ce qu'une grande cité peut proposer aux ingénus qui s'engagent sur les chemins du plaisir.
Avec une certaine naïveté, je découvrais en quelques clics des lieux ou des hommes et des femmes pouvaient se retrouver, s'exhiber, se goûter. D'autres où des hommes pouvaient entre eux regarder, éprouver leur dureté, se toucher.
Autour de moi, une nouvelle facette de ma ville se révélait. Ici non loin de mon lieu de travail, des annonces évoquaient la gourmandise de certains. Là, sur mon passage, une boutique proposait des cabines ou les libertins et les pervers avides pouvaient se créer un espace propice à nourrir mon imagination. Il m'arrivait de faire des détours, juste pour voir un endroit, un parc, un sexshop, un parking supposément "chaud", un lieu de drague ou ceux qui s'y retrouvent savent pourquoi ils sont là.
J'avais une certaine impatience, qui dépassait ma curiosité, l'envie de me rapprocher de ces lieux était de plus en plus présent. Est ce que je vais tomber sur une scène comme celles que je voyais dans les films?
Je nourrissais mes fantasme quelques temps sans jamais oser aller plus loin, toujours ralenti par ces craintes simples: est ce dangereux? Comment savoir si la personne est là elle aussi pour les mêmes raisons que moi? Et si on s'impose à moi?
La période estivale, du temps libre, et un désir de plus en plus fort eurent raison de mes craintes. Je commençais à oser m'égarer.
Le premier endroit fut un simple sexshop. Un petit magasin qui proposait plusieurs centaines de DVDs, des cabines de visionnage et des jouets intimes. Je me souviens encore de la sensation du cœur battant à tout rompre, du tournis d’excitation rien qu'en m'engageant dans la rue. Le pas rapide, craignant des rencontrer une connaissance, je poussais la porte et entrait enfin dans un de ces "lieux".
Je fus surpris d'abord par l'odeur. Elle m'était étrangère, mais avait ce coté "d'interdit". Comme une légère fragrance de transpiration cachée par un déodorant, de parfum d'huile pour le corps épicée et de produit d’entretien et de nettoyage.
Puis face à moi, des étagères et des présentoirs avec des objets de forme oblongue, des pénis moulés de toute tailles et de toutes couleurs, des vaginettes et d'autres ustensiles que j'identifiais encore mal dédiés au plaisir qui côtoyaient des habits en dentelle ou d'un noir brillant.
Sur le coté, des DVDs classés par catégories avec des affiches décrivant comment les visionner en cabine. Les jaquettes incroyables attiraient mon attention, des femmes généreuses, gourmandes, des hommes incroyablement membrés.
J'étais dans un "ailleurs" que je ne pouvais qu'imaginer, j'avais sous estimé l'ensemble de ces stimulus.
Assez pour oublier la personne derrière la caisse.
Cette dernière, amusée par un autre jeune majeur venant dans sa boutique pour la première fois lança un bonjour franc avec un sourire bienveillant. C'était un homme. Présentant bien, on identifiait de suite une image rassurante pour ce type de magasin: il était là pour conseiller et vendre à des clients. Loin d'une image sordide.
Le renvoi de politesse fut bien sur maladroit et bafouillant, mais je m'autorisais enfin l'exploration de ce lieu.
Dans cette petite boutique je découvrais une partie réelle de ce que je voyais ou imaginais, c'était incroyablement stimulant. Je passais rapidement à coté des jouets intimes, surpris par certains que je ne connaissais pas, impressionné par des moulages de beau pénis, curieux et excité par ces tubes pouvant accueillir ma verge et promettant milles plaisirs et sensations.
Puis je m'égarais sur les catégories de DVDs, j'y passais même un certain temps. Je découvrais des pratiques, "j'étudiais" minutieusement, et je traînais plus que de raison sur celles que j'affectionne le plus: les fellations, les jeux de sperme, la pluralité, la bisexualité, les fantastiques femmes généreuses... je finis même - quelle audace! - par en sélectionner un! Les affiches pour les cabines vidéo, l'ambiance et la bosse ferme dans mon pantalon semblait diriger mes actions.
Après un rapide passage en caisse, ou pour une petite poignée d'euros je réservais une cabine de visionnage, je pris la direction du fond du magasin. Derrière un rideau qui me semblait être là pour cacher la réserve se trouvait une dizaine de cabines numérotées.
Je me souviens encore du numéro que l'on m'avait octroyé, le huit.
Sans trop réfléchir, plus motivé par mon prochain visionnage qu'autre chose, j'avançais dans ce couloir rempli de portes.
Un bruit cassa mon élan.
Stoppant au milieu du couloir, je venais de comprendre que je n'étais pas seul. Ou plutôt "j'entendais" que d'autres cabines étaient utilisées.
Tout proche, un film était en cour de diffusion, derrière une des portes.
J'arrivais à deviner dans le son des haut-parleurs d'une TV des râles de plaisir et un claquement de la chair contre la chair. Une personne, dans sa cabine, visionnait un porno. A entendre le rythme des coups de reins, je me doutais que le film devait en être à un moment particulièrement cru. Sans pouvoir en être sur, il me semblait entendre une respiration forte supplémentaire. Quelqu'un, à coté de moi, prenait du plaisir. Rien que l'idée me donna chaud.
Je me moquais de qui était cette personne, de ce quelle regardait, mais cette proximité avec un inconnu aussi lubrique que moi me plaisait, m'excitait follement. J'ai du rester debout au milieu de ce couloir, alerte peut être deux ou trois minutes, profitant de cette ambiance pour moi incroyable.
J'avais dépassé le stade de la boule ferme dans le pantalon. Ma verge, totalement raide suivait la longueur de ma cuisse, serrée presque douloureusement. Elle sortait en partie de mon caleçon et frottait contre le tissus de mon pantalon. La bosse était clairement visible.
Je devais rentrer dans ma cabine. Je devais défaire mes habits, ouvrir mon pantalon, baisser mon boxer et donner la liberté à ma bite. Oui, je peux parler de pénis, de verge, mais à ce moment là, c'était ma "bite" vulgaire raide et veineuse, le gland gonflé et humide.
Je bougeais à nouveau, mes pas faisaient frotter ma cuisse et le tissus du pantalon contre ma bite raide et bouillante. Je m'approchais de mon numéro, la libération arrivait. J’avançais la main pour me saisir de la poignée, tout était secondaire. Je devais me toucher, me masturber, je commençais à peine à me demander si j'allais faire durer ce moment dans ce lieu unique pour moi ou juste évacuer la pression le plus vite possible.... non, je dois en prof ...
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